

Surtout que les écrans de liseuses sont spécialement adaptés à la lecture et n’abîment pas plus les yeux qu'un livre papier...SkyBook a écrit :j'aime pas lire sur un écran...on use déja assez bien nos yeux avec le PC, TV, etc) pas besoin d'en rajouté pour lire...De plus, rien ne vaut de sentir le bon vieux bouquin !!Oui, je suis un anti-liseuse, oui, j'aime sentir le papier...
L'analphabétisme tourne autour de 16%.Le reste, ce sont des gens qui sont capables de lire les titres des journaux, mais guère plus.Faut voir ça du bon côté : 49% des Québécois sont immunisés à la prose de Terry Goodkind.Plus sérieusement, le Québec est sorti de la Grande noirceur dans les années 60.Je ne veux pas vous faire un cour d'histoire, mais traditionnellement, les canadiens francophones étaient des ouvriers tandis que les emplois de cadres étaient tenus par les anglophones.Et l'alphabétisation va de pair avec le niveau de vie (en gros, hein, y'a d'autres variables à prendre en compte).Du coup comme les canadiens français étaient les plus pauvres, ils étaient logiquement les moins lettrés.Évidemment, les choses changent, mais je connais des gens qui ont des carrières très normales mais qui ne sont pas capables de lire un livre. Ils ont plein de techniques d'évitement pour s'en sortir sans perdre la face.Le cas le plus célèbre au pays est celui de Jacques Demers, grand entraîneur de l'équipe de hockey de Montréal. C'était une sommité, il a fait gagné plusieurs coupes à son équipe... et a avoué tardivement qu'il était incapable de lire.On a aussi de gros problème de décrochage scolaire chez les jeunes hommes, mais là on va verser dans la sociologie, ce qui n'est pas le mandat d'Elbakin.Gwendal a écrit :49%? illettrisme ou autre chose ?
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