D'autant plus que si l'on cherche bien en SF il y a encore plus à faire qu'en fantasy si l'on cherche bien.Des auteurs britanniques de premier plan comme Eric Brown ( reconnu comme l'un des écrivains de Sf les plus importants des 15 dernières années par les blogeurs) ou Liz Williams sont toujours aux abonnés absents chez nous. Et l'on ne parle pas de John Meaney ( un temps annoncé chez Bragelonne), de Philip Palmer, de Jaine Fenn, de Gary Gibson ou encore de ces deux auteurs de Sf bien délirantes que sont Steve Aylett et Richard Calder. Et j'en oublie sûrement. J'ai fait exprès de ne citer que des auteurs récents, mais pas trop, histoire d'avoir du recul.Mais les Américains ne sont pas en reste.Chez nous on ignore encore Allen Steele, sans doute à la fois le plus abordable et le plus à gauche des écrivains américains de hard science. On attend toujours les traductions d'Elizabeth Bear. Jim Grimsley qui fut un des seul à s'attaquer au livre univers dans la décennie 2000 fait aussi partie des inconnus de la VF. Julie Czerneda, l'une des reine du space opera est également non traduite. Deux auteures qui se sont attaquées de manière intéressante au futur proche, Kathleen Ann Goonan et Maureen F McHugh sont tout aussi inconnues. Et là aussi je reste dans le récent. Parce que sinon, on a des tas de choses intéressantes qui ne sont pas disponibles dans la langue de Molière. On a beaucoup traduit Paul J MacAuley mais son oeuvre la plus ambitieuse, sa trilogie Confluence n'est pas traduite alors que l'on a fait paraître ses techno thrillers alimentaires. La critique anglosaxonne nous dit que la trilogie Starbridge Chronicles de Paul Park est l'un des meilleurs space opera publié en langue anglaise : on aimerait bien pouvoir le lire en Français. J'arrête là, parce la liste pourrait être bien longue. Georges Bormand a listé de son côté sur son site des tas d'oeuvres et d'auteurs intéressants qui ont malheureusement été oubliés. Donc je ne suis pas le suis à m'en plaindre.1
Aucune raison de ne pas frustrer le lecteur francophone encore un peu. D'autant plus que si l'on cherche bien en SF il y a encore plus à faire qu'en fantasy si l'on cherche bien.Des auteurs britanniques de premier plan comme Eric Brown ( reconnu comme l'un des écrivains de Sf les plus importants des 15 dernières années par les blogeurs) ou Liz Williams sont toujours aux abonnés absents chez nous. Et l'on ne parle pas de John Meaney ( un temps annoncé chez Bragelonne), de Philip Palmer, de Jaine Fenn, de Gary Gibson ou encore de ces deux auteurs de Sf bien délirantes que sont Steve Aylett et Richard Calder. Et j'en oublie sûrement. J'ai fait exprès de ne citer que des auteurs récents, mais pas trop, histoire d'avoir du recul.Mais les Américains ne sont pas en reste.Chez nous on ignore encore Allen Steele, sans doute à la fois le plus abordable et le plus à gauche des écrivains américains de hard science. On attend toujours les traductions d'Elizabeth Bear. Jim Grimsley qui fut un des seul à s'attaquer au livre univers dans la décennie 2000 fait aussi partie des inconnus de la VF. Julie Czerneda, l'une des reine du space opera est également non traduite. Deux auteures qui se sont attaquées de manière intéressante au futur proche, Kathleen Ann Goonan et Maureen F McHugh sont tout aussi inconnues. Et là aussi je reste dans le récent. Parce que sinon, on a des tas de choses intéressantes qui ne sont pas disponibles dans la langue de Molière. On a beaucoup traduit Paul J MacAuley mais son oeuvre la plus ambitieuse, sa trilogie Confluence n'est pas traduite alors que l'on a fait paraître ses techno thrillers alimentaires. La critique anglosaxonne nous dit que la trilogie Starbridge Chronicles de Paul Park est l'un des meilleurs space opera publié en langue anglaise : on aimerait bien pouvoir le lire en Français. J'arrête là, parce la liste pourrait être bien longue. Georges Bormand a listé de son côté sur son site des tas d'oeuvres et d'auteurs intéressants qui ont malheureusement été oubliés. Donc je ne suis pas le suis à m'en plaindre.
D'autant plus que si l'on cherche bien en SF il y a encore plus à faire qu'en fantasy si l'on cherche bien.Des auteurs britanniques de premier plan comme Eric Brown ( reconnu comme l'un des écrivains de Sf les plus importants des 15 dernières années par les blogeurs) ou Liz Williams sont toujours aux abonnés absents chez nous. Et l'on ne parle pas de John Meaney ( un temps annoncé chez Bragelonne), de Philip Palmer, de Jaine Fenn, de Gary Gibson ou encore de ces deux auteurs de Sf bien délirantes que sont Steve Aylett et Richard Calder. Et j'en oublie sûrement. J'ai fait exprès de ne citer que des auteurs récents, mais pas trop, histoire d'avoir du recul.Mais les Américains ne sont pas en reste.Chez nous on ignore encore Allen Steele, sans doute à la fois le plus abordable et le plus à gauche des écrivains américains de hard science. On attend toujours les traductions d'Elizabeth Bear. Jim Grimsley qui fut un des seul à s'attaquer au livre univers dans la décennie 2000 fait aussi partie des inconnus de la VF. Julie Czerneda, l'une des reine du space opera est également non traduite. Deux auteures qui se sont attaquées de manière intéressante au futur proche, Kathleen Ann Goonan et Maureen F McHugh sont tout aussi inconnues. Et là aussi je reste dans le récent. Parce que sinon, on a des tas de choses intéressantes qui ne sont pas disponibles dans la langue de Molière. On a beaucoup traduit Paul J MacAuley mais son oeuvre la plus ambitieuse, sa trilogie Confluence n'est pas traduite alors que l'on a fait paraître ses techno thrillers alimentaires. La critique anglosaxonne nous dit que la trilogie Starbridge Chronicles de Paul Park est l'un des meilleurs space opera publié en langue anglaise : on aimerait bien pouvoir le lire en Français. J'arrête là, parce la liste pourrait être bien longue. Georges Bormand a listé de son côté sur son site des tas d'oeuvres et d'auteurs intéressants qui ont malheureusement été oubliés. Donc je ne suis pas le suis à m'en plaindre.
