Foradan a écrit : mar. 15 juil. 2025 20:10 J'ai cru comprendre que l'auteur se réserve matière à une suite pour résoudre les fils, mais après un retour chez les celtes, donc il faudra être patient. Un peu.

J'ai cru comprendre la même chose. Nous aurons a priori droit à la troisième et dernière branche du cycle celtique courant 2027, avec une sortie resserrée (comme pour le chevalier aux épines), et Jaworski reprendra ensuite l'écriture des prochaines aventures dans le vieux royaume. Je ne sais pas s'il continue avec le plan initialement présenté il y a de nombreuses années en interview, mais on devrait avoir droit à un roman centré autour des paladins de Sacralia, et un autre dans l'empire de Ressine. Ce sera peut-être des séries de romans, ou bien complètement autre chose, si de nouvelles idées sont venues remplacer ces vieilles infos ! Le chevalier aux épines, bien qu'étant une unité narrative à part entière, vient s'inscrire dans cette grande fresque, ce qui explique aussi pourquoi le tome 2 est ce qu'il est.

Aea a écrit : jeu. 17 avr. 2025 14:11 Deuxièment, la dilution des intrigues. Depuis Chasse Royale 2, j'ai l'impression que la "quantité de scénario" de chaque ouvrage a diminué tandis que les volumes grossissent.
Pour le Chevalier, c'est surtout le cas sur les tomes 2 et 3, un sentiment que la pagination est trop élevée par rapport à ce qui a été raconté ?

Je viens de finir le troisième tome, et j'ai un peu la même impression, même si je mettrais aussi le tome 1 dans le lot.

L'histoire est plus diluée, les dialogues longuets et le style Jaworski vire un peu à la démonstration littéraire, au détriment de l'histoire. On ne sait pas toujours où il veut en venir. Aussi, ça finit un peu en queue de poisson, par une pirouette pas trop convaincante. Je me demande si trois tomes valaient vraiment la peine.

En fait, Gagner la guerre excepté, qui est intouchable, je crois que je préfère Jawroski en format nouvel.

Ca reste malgré tout du très, du très très haut. C'est juste une légère déception parce qu'on sait que cet auteur peut mieux faire.