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Alors c’est qui,
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Tout cela, c’est fort décousu.

J’essaie de voir ce qui manque à cette série pour m’enthousiasmer. J’en reviens aux cours que la plupart d’entre nous ont connus.
Par exemple, la fameuse règle des trois unités :
D’abord, l’unité de temps. Elle nous est imposée d’emblée avec l’objet céleste que tout le monde remarque. Implicitement, on nous fait admettre que tout ce que nous verrons se déroule à la même période. Sauf que, ça ne peut pas coller avec les écrits de Tolkien. Même si l’on fait abstraction de cela, ce procédé artificiel reste difficile à avaler.
L’unité de lieu. Je n’ai rien contre le fait qu’on nous balade de droite et de gauche sur la Terre du Milieu ; et même au-delà. Sauf que : à quoi cela sert-il ? À part nous proposer toujours plus de décors de moins en moins crédibles. Un simple arrêt sur images de
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Le pire pour moi, ça reste l’unité d’action. La série concurrente a le mérite de rester focalisée sur cet aspect ; ce qui fait qu’on y adhère à cent pour cent. Ici, c’est trop éclaté.
On part du principe que les gens gardent en tête la trilogie du Seigneur des Anneaux où,
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Fort bien ! Ça fonctionne dans les livres comme dans les films. C’est même génial comme trouvaille. Et là ils se sont dit :
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Sauf que dans la trilogie,
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Il y a
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Il y a
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Il y a les déboires
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Du coup, on a droit à des arcs inattendus :
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Et ce personnage lambda,
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Tout ce beau monde va se retrouver à un moment ou un autre et se rendre compte qu’ils sont complémentaires.
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Ce sera la conclusion. Est-ce que je tiendrai jusque-là tellement c’est téléphoné ?

À part le grand tape-à-l’œil visuel, qu’est-ce qu’on peut trouver d’exaltant avec des personnages aussi fades ?
Vivement lundi !
