2
Du coup je remets sur ce fil ce que j'en avais dit dans un autre sujet :Dévoré en une journée pour moi, ce fameux Dieu Oiseau. Nous avons une société fortement inspirée de la civilisation inca, des personnages qui flirtent avec la folie - quand ils ne tombent pas à pieds joints dedans - une quête désespérée de la part de notre héros pour retrouver sa liberté, et des passages plus gore les uns que les autres - cannibalisme, sacrifices humains - mais qui ont leur sens dans le récit.J'ai beaucoup aimé, alors que la civilisation inca n'est pas forcément un cadre qui me plaît. Cela confirme surtout que j'aime le style de l'auteur, qui parvient à chacun de ses romans à me faire ressentir toutes sortes d'émotions :wub:
Memento mori

3
La critique très positive fait envie en tout cas!En revanche tu parles d'inca, mais pour ce que j'en ai lu ça aurait tout aussi bien pu être une ambiance aztèque, voire même polynésienne. J'ai trouvé le cadre de l'histoire peu développé et explicité. C'est dommage.

4
Je viens juste de recevoir le mien et dedicace :)Hate de lire ca.Mais j'avais bien aime ce cote epure de l'environnement ou on se concentre l'essentiel.Surtout pour des livres qui ne sont pas des trilogies voir plus

5
J’ai trouvé la faible exposition didactique de la civilisation une force narrative. Le lectorat comprend et évalue à travers le personnage principal.

7
Les éditions Scrineo ont l'habitude d'éditer des romans pour un public plus mature que le lectorat jeunesse ou ado habituel. Perso, quand je conseille un de leurs livres (et j'en adore beaucoup chez eux :wub:) c'est pour des jeunes de 15 ans et plus, ou des adultes.
Memento mori

8
Terminé aujourd'hui et ... quel bonheur de retrouver la plume d'Aurélie !Efficace, direct, dur, et surtout des scènes qui prises séparément sont gores et difficiles à lire mais qui servent parfaitement l'histoireLe tout complété d'un héros intéressant et complexeAu final, je le trouve moins dur que le Roi des fauves, bien que j'ai l'impression qu'il y a plus de violence

10
Un livre difficile à lâcher mais aussi un livre coup de coeur. Sombre, violent, jamais vulgaire mais toujours subtil, si au départ l histoire peur sembler simple ça n'a que peu d importance face au déchaînement de violence et à la maîtrise de la narration. Une histoire comme un mythe antique : initiatique et horrifique.

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Bon bah avec les déménagements, j'ai mis du temps a le lire mais une journée aura suffit pour le dévorer (vu l'ambiance du livre, ca s'y prete bien)
Globalement je le trouve beaucoup plus équilibré que le roi des fauves, dans la narration des personnages et de leur sentiments. J'aurais juste voulu que la fin soit plus complexe, plus noire ou plus je ne sais trop quoi xd
J'ai eu vraiment l'impression que c'etait expédié un peu. Apres j'ai vraiment bien aime le livre

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Et donc j'ai lu le Dieu oiseau et j'ai encore plus aimé que le roi des fauves. J'y ai retrouvé ce que j'aimais dans le roi des fauves (l'atmosphère sombre, une plongée ans la psychologie du personnage qui bascule vers plus de noirceur) mais en plus abouti. Ici l'univers est encore plus sombre, gore même, Faolan plonge totalement dans la folie et la violence et en plus l'intrigue m'a encore plus prise par surprise. C'était une excellente découverte et je vais lire d'autres oeuvres de l'auteure avec plaisir.