21
Une lecture confortable qui a la bonne idée de nous présenter un héros qui ne part pas sauver le monde - pour une fois. Ça se lit vite et bien, et j'ai bien aimé les deux personnages principaux - et même Chicots, qui se révèle être un filou touchant dans sa débrouillardise. Le monde esquissé à l'arrière-plan est suffisamment fascinant pour que j'espère que l'auteur nous offre un autre roman dans le même univers...
Memento mori

22
Le premier mot qui m'est venu à l'esprit en refermant l'ouvrage ce fut "rafraichissant". Je ne fut donc pas étonné de le retrouver dans la critique en la relisant. Ce fut une lecture agréable, rapide, sans prétention mais bien ciselée. Un livre qui vous donne envie de reprendre les routes lors d'une campagne de jdr en incarnant un barde.

30
Voilà que j'en ressors avec un sentiment très étrange. Le même sentiment qu'après ma lecture de Malboire du même auteur. A vrai dire, je n'arrive vraiment pas à me décider si j'ai adoré ou si j'ai trouvé cela agréable mais quelconque.

Il faut dire que tout est minimaliste ici mais cela renforce la "symbiose" que l'on a de l'ensemble. L'histoire, sans être folichonne, est prenante voire intrigante. Les deux personnages principaux ne laissant pas de marbre, certes. Cependant, au fil des 300 pages, rien ne m'a permis de m'y attacher.

C'est bien écrit, je l'avoue. Je rejoins ici la chronique, c'est difficile de se dire qu'il s'agit là de l'un des premiers romans de l'auteur tellement c'est bien écrit, soutenu et bien ficelé. Cela permet de s'imprégner très rapidement de l'ambiance médiévale du roman.

En fait, rien ne m'a déplu mais cela ne m'a pas non plus transcendé.