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Je préfère prévenir : tout ce qui suit ne concerne pas Critic, vu que je n'ai lu que très peu de leurs romans et que je ne sais donc pas comment ils s'en sortent niveau coquilles. Mais je trouve ton argumentaire un peu facile : équipe réduite ou pas, les éditeurs SF/Fantasy de cette dimension ont fait le choix de la professionnalisation. Ils s'exposent donc au même standard de qualité éditoriale que le reste de la production qu'on retrouve en librairie (surtout à des prix identiques) et il est normal que des lecteurs soient regardants à ce niveau-là.Surtout, c'est un peu facile de choisir ses batailles : on ne peut pas critiquer le manque de sérieux dans la mise en page des romans des Moutons électriques et exonérer d'autres éditeurs sous couvert de "hé, mais vous comprenez, c'est une petite équipe".Je répète, ce que je dis concerne plus ton argument que les éditions Critic ou la qualité éditoriale de l'Empire du Léopard que je n'ai pas encore lu.Dailleurs, pour revenir au roman, je l'ai acheté aux Imas, dédicacé par l'auteur qui a l'air plutôt sympaPour les coquilles, rappelons qu'une grande partie des équipes éditoriales qui bossent sur des bouquins de fantasy et SF sont généralement très réduites. Donc elles ont beau faire et être expérimentées comme chez Critic, il peut arriver que des petites choses passent. ça ne retire rien à la qualité générale de l'ouvrage que personnellement je salue. Je trouve l'objet très réussi, comme souvent chez Critic de toute manière.
Je comprends ton argumentation et je pense et maintiens qu'il était vraiment important de souligner cet état de fait sur le nombre de personnes susceptibles de bosser sur un projet dans une boite. Du strict point de vue du potentiel, Flammarion et ses 35 stagiaires n'auront pas les mêmes capacités qu'un autre éditeur sans ou avec très peu de personnes pour bosser sur la relecture du texte. Professionnalisation ou pas, n'oublions pas qu'une première édition a également davantage de chances de contenir des coquilles. En somme, les coquilles selon moi il y en aura toujours, sauf si on lit un livre multi-réédité.Je préfère prévenir : tout ce qui suit ne concerne pas Critic, vu que je n'ai lu que très peu de leurs romans et que je ne sais donc pas comment ils s'en sortent niveau coquilles. Mais je trouve ton argumentaire un peu facile : équipe réduite ou pas, les éditeurs SF/Fantasy de cette dimension ont fait le choix de la professionnalisation. Ils s'exposent donc au même standard de qualité éditoriale que le reste de la production qu'on retrouve en librairie (surtout à des prix identiques) et il est normal que des lecteurs soient regardants à ce niveau-là.
Je ne lis plus un seul Mouton depuis belle lurette donc je ne pourrais pas répondre spécifiquement là dessus.Surtout, c'est un peu facile de choisir ses batailles : on ne peut pas critiquer le manque de sérieux dans la mise en page des romans des Moutons électriques et exonérer d'autres éditeurs sous couvert de "hé, mais vous comprenez, c'est une petite équipe".
En même temps, c'est expliqué. ;)Au départ, je voulais appeler le roman "Les Conquérants de Xemballa", mais on m'a dit que ça évoquait trop FullMetal Alchemist.L'autre détail qui m'a un peu chagriné est la découverte de l'Empire qui semble être limité à la seule Xemballa...
Ça...Mon préféré de l'auteur reste Celestopol... que j'ai hâte de retrouver !
On. en. parle. pas. J'ai appris Gillossen que tu venais en Bretagne demain pour une séance de dédicace. Quel dommage pour une fois qu'un auteur que " je connais" vient dans ma ville et je ne pourrais même pas être là pour en profiter. Je suis dégoûtée. Tu as donc l'obligation de rester plusieurs jours dans cette belle région ensoleillée pour que j'obtienne ma dédicaceGuigz a écrit :Et une évocation douloureuse qui plus est.Au départ, je voulais appeler le roman "Les Conquérants de Xemballa", mais on m'a dit que ça évoquait trop FullMetal Alchemist. tongue
Finalement, je n'ai pas eu besoin de rester plus longtemps sur Rennes, comme quoi ! ;)Et j'ai pu partir sous la pluie comme ça, histoire de faire dans les clichés sur la Bretagne...Taraise a écrit :On. en. parle. pas. J'ai appris Gillossen que tu venais en Bretagne demain pour une séance de dédicace. Quel dommage pour une fois qu'un auteur que " je connais" vient dans ma ville et je ne pourrais même pas être là pour en profiter. Je suis dégoûtée. Tu as donc l'obligation de rester plusieurs jours dans cette belle région ensoleillée pour que j'obtienne ma dédicaceGuigz a écrit :Et une évocation douloureuse qui plus est.Au départ, je voulais appeler le roman "Les Conquérants de Xemballa", mais on m'a dit que ça évoquait trop FullMetal Alchemist. tongue!
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