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Merci Elbakin et les Moutons, pour le volume que je viens de recevoir. Et bien sûr merci Stephan Platteau pour la dédicace. J'avais complètement oublié que les exemplaires seraient signés, ce fut la surprise :)Je le lirai dès que j'aurai fini les deux Tolkien et l'intégrale 2 de la Compagnie Noire déjà entamés, ça ne devrait plus tarder.
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Dévoreur constitue une belle novella avec des personnages soit attachants soit intrigants mais qui ne laissent pas de marbre, l'ogre en tête. La lente transformation est habilement décrite, les changements de point de vue interviennent à point nommé et donnent de la profondeur aux personnages, et le récit, relativement let, se lit sans heurts. De plus l'auteur ne s'embarrasse pas de faux semblants et son style de narration fait mouche. Dévoreur confirme s'il en est que Stephan Platteau a un talent fou qui donne on ne peut plus envie de découvrir ses autres écrits. Vivement la sortie du tome 2 de son cycle. 

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Idem que Belgarion, un récit court et cruel, avec notamment une deuxième partie passionnante, avec la
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Objectif pleinement accompli !Bref, une très bonne mise en bouche (ah-ah !:mrgreen:) avant la sortie de Shakti.Je voulais créer le malaise : induire l’idée que ce qui est arrivé à cette âme ordinaire pourrait sans doute arriver à n’importe qui, qu’il faut craindre les forces enfouies en soi. Parce que cette planète néfaste, le Dévoreur, sommeille aussi en chacun de nous.
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Lu, et beaucoup aimé. J'ai particulièrement apprécié la deuxième partie, et le syle de magie utilisé. Comme John Doe, c'est une confirmation, si tant est qu'il en faille une, de la qualité d'écriture de Stefan Platteau.Par contre, je ne pourrai parler des illustrations de la version physique : le livre est un petit bijou, et cela vaut autant pour sa finition que pour son prix. J'ai préféré opter pour les données.J'espère juste que les Moutons ne se tourneront pas trop à l'avenir vers le côté superbe finition + prix plutôt fumé. Un livre un chouïa plus simple et moins cher m'irait mieux, pour ce style d'assez court récit.
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Un roman court mais intense, confirmant les qualités d'écriture de Stefan Platteau. Ceux n'ayant pas apprécié le style de l'auteur dans Manesh, lui reprochant parfois de trop travailler ses phrases retrouveront la densité ayant pu les rebuter mais les autres seront ravis de cette brusque descente aux enfers sur les traces d'un monstre.
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Dévoreur se retrouve dans les sélectionnés du prix Elbakin.net:arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/news/242 ... innet-2016
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Terminé ce matin.C'est un plaisir de lire un livre de cet auteur, je savoure sa plume.Des personnages intéressants.Tout comme Glaurung, j'ai bien aimé cette magie !J'ai bien aimé aussi la première partie, avec cette description de la vie banale ou quotidienne, qui bascule à un moment.Un point négatif: à un moment, le combat devient un peu trop inhumain à mon goût.Je n'ai pas pu admirer les illustrations, elles ne sont pas présentes dans la version numérique.
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Bon, j'ai vu le livre en librairie.Un peu de décorations sur le bord de chaque page, mais pas tant d'illustrations que ça.Alors, oui, c'est un bel objet, mais... tout petit, petit ! En voyant la photo sur internet, je ne m'attendais tout de même pas à ce format.Bref, je ne regrette pas ma version électronique moins chère.
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Sympathique lecture qui en dévoile un peu plus sur la cosmologie et la magie de l'univers sous forme de conte horrifique (mais tous les contes ne le sont-ils pas ?). Si cela permet à Stefan Platteau d'en révéler plus sur son univers, je trouve par contre Dévoreur trop long ou trop court. Trop long car la dernière partie est inutilement verbeuse à mon goût (dans le sens où l'auteur veut presque tout expliquer alors qu'on aurait très bien pu garder une part de mystères) et trop courte car vu le temps qu'on vient de passer avec les personnages, on aimerait en voir davantage. Aube disparait complètement du livre à partir du retour de son mari et c'est un peu dommage.