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Je citerai également l'adaptation SF du Comte de Monte-Christo/Gankutsuou, très chouette. Cowboy BeBop et Samurai Champloo, avec une bande son superbe, sont à voir, et pas que pour briller en société !:DDans un registre barré, FLCL/FuliCuli est excellent. Pour une ambiance fantastico-mélancolique, Garden of Sinners/Kara No Kyoukaï.Entre fantastique et SF, From the New World/Shin Sekaï Yori.Impossible également de ne pas citer Ghost in the Shell- Stand Alone Complex (1st & 2nd Gig)Celui là, on l'apprécie plus si on a lu le manga (Kenshin le vagabond), mais les OAV Rurōni Kenshin: Tsuiokuhen sont superbes.

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Glaurung a écrit :Finalement Guigz tu t'es mis à Psycho Pass ? J'ai dû regarder 7-8 épisodes de la première saison pour l'instant et j'aime bien. Je ne parlerai pas d'énorme coup de coeur mais c'est vraiment plaisant, l'idée même du niveau de criminalité étant assez géniale :)
J'avais commencé il y a 2 ans (!) la première saison et j'ai du m'arrêter au 3 ou 4e épisode. Il faudrait que je continue, j'avoue n'avoir tout simplement pas assez persévéré, la faute peut-être à une mise en place un poil longue ? Je vais m'y remettre !

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Ouais la mise en place est un peu longue, ça va mieux quelques épisodes après. Quelques personnages intéressants, un graphisme qui me plaît, comme dit c'est pas LA série mais je passe un bon moment devant :)

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Daodi a écrit :
Taraise a écrit :Cowboy Bebop ou Samurai Champloo, des classiques incontournables ! Personne ne les a vu mais tout le monde dit que c'est bien (:D) Pour briller en société y'a pas mieux. Mais les regarder c'est encore mieux !
perso je les ai vu ;)
Je ne te visais pas personnellement :D et puis des deux je n'ai vu que Samurai Champloo :P Cowboy Bebop est sur ma liste depuis trèèèès longtemps !
Un_nain_capable a écrit :Je plussoie, simplement je pense que GTO est une exception car le doubleur VF d' Onizuka a fait du bon boulot.Après, c'est sûr que si on parle d'anime comme FMA, vive la vostfr.
Oui pour GTO c'était plutôt pas mal. Je trouve que récemment les VF se sont améliorées mais pour moi il manquera toujours un je ne sais quoi de...profondeur. L'autre jour je regardais Kuroko's Basket en VF (ce n'était pas si mal pour un truc récent) mais quel manque flagrant de punch et d'intensité comparé à la VO !

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Vu la saison 2 de Noragami, et pas mal, j'ai préféré de beaucoup cette saison 2 à la première.Les antagonistes sont plus consistants, tout comme l'intrigue générale.Bien aimé le premier arc, avec le personnage de Bishamon, assez travaillé (et davantage vêtue !:mrgreen:).Deuxième arc intéressant également, mais eu un peu de mal à croire au lien Ebisu/Yato, ce qui a fait perdre un peu d'impact aux derniers épisodes.Pour le reste, je partage assez l'avis d'Eldwyst page précédente.L'un dans l'autre, une bonne petite série, un 6.5 - 7 pour moi.

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Je débarque un peu après la bataille mais je suis déçu que Taraise n'aie pas recommandé à Iselle Seirei no moribito dans la liste des animes intelligents, beaux et non manichéens de fantasy qui peuvent constituer une belle entrée en matière. Cela vaut bien la peine d'avoir pareil avatar :P

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K. a écrit :Je débarque un peu après la bataille mais je suis déçu que Taraise n'aie pas recommandé à Iselle Seirei no moribito dans la liste des animes intelligents, beaux et non manichéens de fantasy qui peuvent constituer une belle entrée en matière. Cela vaut bien la peine d'avoir pareil avatar :P
Effectivement :)Mais, c'est marrant, peut être à cause de l'avatar, j'avais cru qu'elle en avait parlé. Parait que le livre (Light novel / jeunesse) est pas mal.Mais seul le premier a été publié en France:|
http://ecx.images-amazon.com/images/I/51uinWtllxL._SX355_BO1,204,203,200_.jpg
Peut être que Oefelbe pourrait récupérer les droits :)

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Je plussoie également Seirei no moribito, très bonne série (réalisée par Kenji Kamiyana, à qui on doit également Eden of the East et surtout les Ghost in the Shell - Stand Alone Complex).Balsa est une héroïne très attachante.:)Et le choix de la lance comme arme change agréablement la donne dans la chorégraphie des combats.

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John Doe a écrit :Je plussoie également Seirei no moribito, très bonne série (réalisée par Kenji Kamiyana, à qui on doit également Eden of the East et surtout les Ghost in the Shell - Stand Alone Complex).Balsa est une héroïne très attachante.:)Et le choix de la lance comme arme change agréablement la donne dans la chorégraphie des combats.
Alors j'ai vu le premier épisode il y a 2 ans de cela et impossible de continuer tellement j'ai trouvé ça supra chiant de mémoire. Le rythme conserve cette espèce de lenteur lancinante durant toute la série ?Sinon quelqu'un a essayé Erased ? Je vois des notes de dingue sur Sens Critique (plus de 8,5 de moyenne) qui me donnent bien envie de tenter ma chance.

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Alors j'ai vu le premier épisode il y a 2 ans de cela et impossible de continuer tellement j'ai trouvé ça supra chiant de mémoire. Le rythme conserve cette espèce de lenteur lancinante durant toute la série ?
Idem, j'avais maté les 3-4 premiers épisodes de Seirei no moribito à l'époque (en 2007 donc je crois) et j'avais trouvé ça super chiant et pas du tout intéressant ni poétique ou quoi que ce soit.

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Guigz a écrit :Sinon quelqu'un a essayé Erased ? Je vois des notes de dingue sur Sens Critique (plus de 8,5 de moyenne) qui me donnent bien envie de tenter ma chance.
Aya le lit, je ne sais pas s'il a regardé l'anime. Je vais lui poser la question :)

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Guigz a écrit :Sinon quelqu'un a essayé Erased ? Je vois des notes de dingue sur Sens Critique (plus de 8,5 de moyenne) qui me donnent bien envie de tenter ma chance.
J'en suis à l'épisode 9. Je les enchaînes par 2-3.Toujours étonnant ces notes sur une série pas fini qui doit se clôturer sur 12 épisodes. ^^En fait, c'est pas étonnant car Erased est la série animé "respectable" de la saison d'hiver 2016. Donc, il est de bon ton d'en dire du bien, même si au final on ne sait pas où mène sincèrement l'intrigue.Après, difficile d'essayer de vendre (ou pas) cette série sans spoiler le plaisir de la découverte qu'on a sur les premiers épisodes.Ce que je peux dire, c'est que si le premier épisode donne pas envie d'enchaîner sur le second, ben c'est que la série ne correspond pas au désir du moment ou de la personne.Et après visionnage des épisodes 2-3, on sait à quoi s'en tenir.

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Je regarde aussi Erased. J'ai vu le 11eme épisode hier donc il ne me reste que le final à voir. Globalement je trouve que c'est une bonne série avec une intrigue qui se tient malgrès les craintes que j'en avais au départ. Elle est intéressante à regarder et j'avais envie de voir la suite. Au début j'ai enchainé 3-4 épisodes ce qui m'a permis de bien rentrer dans l'intrigue.Maintenant cette série n'est pas non plus un chef d'oeuvre qui marquera les annales je penses. Très sympa à voir mais surement pas une série que j'aurai envie de revoir par la suite (bon j'attends toujours de voir le final). Je suis d'accord pour dire que c'est une des seules bonnes séries de la saison donc ca fixe peut être un peu les gens dessus et du coup c'est surévalué.

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Suprachiant, lancinant, pas du tout intéressant, et pas du tout poétique ? Seirei no Moribito ? Mais, mais, WHAT ????Seirei no Moribito c'est de l'or pur, l'un des meilleurs contes de la japananimation !Cet animé c'est un conte pour enfants. S'y rattachent donc des avantages et des inconvénients.Au niveau des avantages: Avec ce titre, pas de propos racoleurs pour appâter le spectateur, pas de surenchère d'action pour combler la faiblesse du scénario, pas de psychologie de comptoir pour faire croire à un semblant de profondeur. On a donc un univers travaillé cohérent et très beau visuellement parlant. C'est l'ancienne Chine mythifiée que l'on représente à travers l'empire de Yogo dans les palais impériaux, dans les faubourgs ou à travers les rizières et les montagnes. Les personnages ne sont jamais dans le jeu excessif, pas de "surréaction" et d'une manière générale cela les rend d'autant plus crédibles. ( Oui Eren, c'est toi que je vise.) Cette retenue dans le comportement, cette délicatesse dans les interactions entre personnages s'exprime aussi dans les combats. Ici pas de Power Up, de fanfaronnade ou d'introspection de 10 minutes pendant en pleine bagarre. Les combats sont brefs intenses bien chorégraphiés et savent se finir. Si cela ne vous donne pas envie...Comme dans tous contes, un parcours initiatique est mis en place les personnages sont amenés à évoluer et à grandir et c'est particulièrement vrai pour Chagum (le héros de l'histoire) qui change aussi bien physiquement que mentalement tout au long des 25 épisodes. D'un petit garçon geignard et ramolli du premier épisode, il change petit à petit pour s'affirmer et grandir au contact de toutes sortes de gens et de toutes sortes d'épreuves.Et que dire de Balsa ? L’héroïne de la série, une femme de 30 ans au passé embrumé, garde du corps entêtée bourrue parfois un peu revêche parfois un peu froide mais avec un coeur en or, un honneur à toutes épreuves et une détermination sans faille. Balsa est une rareté dans le paysage de la japanimation et rien que pour elle il faudrait avoir vu Seirei no Moribito.Au niveau des inconvénientsSeirei no Moribito reste un conte pour enfants alors n'allez pas imaginer une intrigue de 600 pages à multiples rebondissements. Non l'histoire est plutôt simple et la fin n'est pas une réelle surprise bien qu'elle soit
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Les péripéties, les découvertes que fait Chagum peuvent sembler parfois enfantines et gentiment naïves et peuvent lasser. Oui Seirei no Moribito, c'est long. Long dans le sens où l'intrigue principale s'étale et se perd au milieu de la saison au profit d'intrigues secondaires. Long dans le sens où on prend le temps de construire le background, de montrer la vie quotidienne, les paysages qui changent au fil des saisons... Ce n'est absolument pas un animé au rythme enlevé.Et c'est cela qui fait je pense sa poésie. Seirei no Moribito est un voyage, le voyage d'un petit garçon pour devenir adulte, le voyage d'une garde du corps sur son propre passé. Le voyage d'un groupe de personnes qui quittent la capitale traversent le pays pour s'aventurer dans les montagnes sauvages. Il y a des plans fixes sur un arbre ou un caillou, il y a des passages où les personnages ne disent rien, il y a des passages où la musique fait juste tout. ( Ah oui l'OST c'est Kawai Kenji, what else ? L'une des meilleures...). ça prend son temps, ça fait des détours, ça relate de petites scènes de la vie ordinaire, c'est naïf parfois gentillet, c'est contemplatif, éperdument mélancolique, un peu angoissant parfois un peu triste aussi...
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Bref c'est beau.Et c'est Seirei no Moribito.La seule et unique raison pour laquelle je n'ai pas mentionné cet animé un peu plus haut dans le topic c'est que pour moi cet animé ne s’embarrasse pas d'une vague mention :D, faut 6 paragraphes au moins...et encore là j'ai pas trop le temps...:P

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Une critique sur une série (automne 2015) qui a certainement passé inaperçue auprès des bonnes gens d'Elbakin..J'ai donc placé une référence à games of throne pour attirer le chaland 2.0 !
http://pm1.narvii.com/5912/86cd7ae061bd4c0979a54dfe0e2e64994ab0914a_hq.jpg
Rakudai kishi no kyabarurii (Chivalry of the fallen knight)Dans un univers analogue à notre monde actuel, il existe des individus dotés de capacités magiques, les Blazers. Ces blazers sont capables d'invoquer des armes mystiques, appelé Device, et d'utiliser la magie pour altérer les lois physiques. L'existence des Blazers est connu du grand public et ces derniers suivent des cursus spéciaux jusqu'à leur adolescence avant de servir leur pays.La nature de Blazer est innée, tout comme la capacité magique absolue du Blazer. Et notre héros Ikki possède le potentiel le plus nul de son lycée et a obtenu les plus mauvaises notes lors de sa précédente année. Pire, il est la honte de sa famille, une des plus puissantes dans la sphère internationale des Blazers. Cependant, l'année scolaire qui s'annonce lui laisse un espoir: il est désormais possible de réussir son année si l'élève remporte le tournoi qualificatif préparant la rencontre Nationale : le Seven Stars Sword Art Festival ! Et Ikki, qui dès son plus jeune âge ne s'est jamais menti sur ses limites, a développé quelques techniques/tactiques/stratégies de "lâche-rien" qui va lui permettre de peser dans le monde des Blazers. Surtout que dans son lycée, il y a la belle et talentueuse Stella, la princesse-guerrière d'un pays étranger avec qui il partagera assez rapidement une chambre à coucher.Rakudai est à l'origine un light novel(LN) dont le contexte, les moteurs narratifs et les fantasmes développés sont là pour plaire à la jeunesse nipponne. Au neuvième volume paru, Rakudai c'est vu doté d'une adaptation en 12 épisodes correspondant aux 3 premiers volumes. Dans le but évident de faire parler de lui au milieu des 350 LN utilisant les même lieux communs. J'ai toujours aimé le mot "lieu-commun". Car c'est dans les lieux communs que les gens se rencontrent !Bref, qu'est ce qui permettrait à Rakudai de se distinguer du lot ? Quels éléments marquant prennent le dessus sur les écueils, faiblesses et facilités qui viennent toujours avec ce genre de production Japonaise mêlant vie scolaire, romance, combat, magie et érotisme coquinou ? Et bien, déjà, cela a été énoncé plus haut : le couple des héros se forme assez rapidement. On évite une situation de harem, où une galerie de personnage féminin gravite sans se poser de questions autour d'un héros talentueux et chaste. On esquive aussi la romance qui démarre TRES lentement pour se déclarer, ou pas, au dernier ou avant-dernier épisode. Là, on a un couple qui se forme avec un minimum de maladresse et beaucoup de conviction. Ce qui est assez raccord avec le caractère déterminé et opiniâtre de Ikki et le tempérament intrépide et confiant de Stella. D'ailleurs, les moments hésitant, voir difficile, de leur rapport amoureux sont plus dû à l'éthique sociale et familiale en vigueur qu'à des failles grossières de personnalités. Cependant, au final, la romance est là pour donner de la légèreté et de la douceur au récit. Pas de pathos ou d'aspect malsain. Bon, Ok, il y a la petite sœur de Ikki. Mais bon, elle a games of throne dans le parcours de lecture la petite ! Donc ça passe !Passons à l'autre mamelle de ce genre de fiction : les duels de combats-magiques. Sur les 12 épisodes, Rakudai se révèlent ni avare, ni malhabile. Le tournoi avance et des scènes d'actions variées se placent régulièrement au travers de la romance et des développements autour de nos protagonistes. Il est intéressant de noter que plus la série avance et plus les antagonistes progressent en puissance et technique (logique) mais aussi en noblesse de combattant (logique, mais pas évident). En effet, après les harceleurs de bas de classement, on passe à des individus frustrés par leur passé, puis des purs en quêtes d'adversaires puissants. Jusqu'à arriver à ceux qui sont habités par des motivations et des convictions plus grandes qu'eux. Avec, au final, des familles régnantes qui tirent les ficelles. En somme, une progression nerveuse. Et une galerie de personnage secondaires sympathiques, somme toutes assez conventionnels, mais au service de la proposition de départ : "action et romance chevaleresque". L'amateur de belles scènes d'animation et d'arts martiaux magiques a de quoi être servi. Tout ce qui est plaisant est là : passes d'armes dynamiques et lisibles, bluffs à base de techniques plus ou moins secrètes, effets magiques grandiloquents, commentaires extérieurs utiles et discrets... Rien que l'épisode 10, a lui tout seul, place Rakudai au dessus de la plupart des séries de 2015 en terme de scène d'action. Même les saisons précédentes d'ailleurs. Et l'affrontement final, le climax de l'épisode 12, il se pose là comme une démonstration puissante et respectueuse de ce qui a été proposé depuis le début. Et d'ailleurs, Rakudai délivre une vraie conclusion pour ses personnages et aux gens qui ont suivi le Show. Jusqu'à la fin, le sentiment aurait été d'être en face d'une production qui s'assume avec passion et honnêteté. Une série qui respecte la notion de divertissement avant de vouloir être l'exception ou de donner une leçon de nouveauté.

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John Doe a écrit :Je n'avais entendu parler que des deux dernières, je note les deux autres avec intérêt.:)
Effectivement Jojo est un "taulier" qui a recruté de nouveaux fans avec la série animé. Même si le manga se vend toujours moyennement en France.Kabaneri bénéficie de sa parenté avec l'attaque des titans.En tant que série de "fantasy survivaliste" (j'ai déposé le nom à l'INPI !), elle continue à faire le taff avec une bonne utilisation de ces moteurs narratifs (les monstres, les trains, les castes et les gens qui lâchent rien). Et surtout une très bonne maîtrise du rythme. Les personnages sont des archétypes, pas très originaux, mais cohérents. J'attends vraiment de voire ce qu'on aura en 13 épisodes. Pour ce qui est des deux "outsiders". Stray Dog c'est un peu le même bazar que Noragami mais avec plus de personnages et de nervosité. Cela me fait penser à ces séries Shonen du début des années 2000s comme Sayuki, Getbaker, Full Metal Alchemist, etc... La semi originalité, c'est qu'on a un "jeune" entouré de "vieux". C'est pas la classe de magie rempli d'ado ou les bad-boys de Tokyo.Pour ce qui est de Zero, c'est vraiment le truc que personne n'a vu venir avec son statut d'adaptation de "Light Novel fantasy" de service. Elle essaie de faire quelque chose avec son gimmick et son univers et ne tombe toujours pas dans le putassier. Ce qui la rend supérieure à pas mal d'adaptation de LN (Overlord, Grimmgar,..). Et puis, il y a un chat familier qui parle. Mais j'entends vraiment de voir ce que cela va donner. A partir de l'épisode 4 (qui est le cinquième car le pilote est un double, attention !) on commence à voir un peu d'explication sur les enjeux.De toutes manières, je ferais 4 critiques à la fin du visionnage.