Voilà, je viens de finir Pratès (la 2e partie du Coeur de la Tramorée donc), et quel final grandiose, pas loin du coup de maître de Syfron pour moi...L'histoire de Tariman est passionnante de même que
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les révélations sur les origines de Zémal, ou encore la manipulation génétique de Derguin pour s’approcher au plus près du premier Zémalnit
La plongé dans Agarta
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l'envers de la Tramorée est captivante et constitue un pendant crédible à la terre d'origine de nos héros
Le Bardaliut et le style de vie des Dieux vaut aussi le coup, et je constate que l'auteur est à l'aise pour tout: les moments épiques, les batailles, les liens des persos, les explications scientfiques, etc...Les persos justement, j'ai bien aimé qu'il évite l’écueil de faire de Derguin
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un super-héros super lisse et irréprochable, sa condition de Zémalnit lui pèse, mais il arrive à se transcender grâce à elle justement
Togul Barok m'a agréablement surpris sur cette fin de cycle, et je dois dire qu'il est présent dans un sacré moment de bravoure
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avec la charge des ses Noctivagues en ahritahitei, la 5e accélération, pour pourfendre l'armée des Atagaires d'Agarta et sauvé les miches de Darkos et des Invaincus
Pour Kratos, rien à redire non plus, à part peut-être
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qu'il ai finalement lui aussi droit à son épée, mais quelle scène là encore quand il affronte Anfioun avec les chiffres de la 5e accélération gravée sur la lame... Cela dit on est content pour lui, il ne peut y voir qu'u seul Zémalnit, mais il vaut bien plus qu'un Tahédoran alors on accepte facilement la "facilité"^^
Voilà, un avis touffu et sans doute un peu brouillon, mais les Chroniques de Tramorée constituent un sacré cycle, et le virage SF passe tout seul, cela reste crédible avec la fantasy présente.Bravo Javier Negrete et merci

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