

LOS ANGELES (AP) - La Guilde des réalisateurs américains a décerné samedi soir à Los Angeles son principal prix à Rob Marshall pour sa comédie musicale "Chicago", avec Catherine Zeta-Jones, Renee Zellweger et Richard Gere dans les principaux rôles.Depuis la création de la Guilde voilà 55 ans, le réalisateur ainsi récompensé a presque toujours (il n'y a que cinq exceptions) obtenu l'Oscar dans la foulée. Avec ses 13 nominations, dont celle de meilleur film, "Chicago" fait figure de grand favori pour la grand messe du cinéma américain, qui aura lieu le 23 mars.Nouveau venu derrière la caméra, Rob Marshall, 42 ans, s'est fait nom pour ses spectacles à succès sur Broadway et ses chorégraphies. Il s'est montré très ému en recevant le prix de la Guilde. "Je ne m'y attendais pas vraiment", a-t-il ensuite confié.La Guilde a également décerné un prix spécial à Martin Scorsese, 60 ans, pour l'ensemble de sa carrière. Le réalisateur italo-américain, qui n'a encore jamais obtenu l'Oscar du meilleur réalisateur, était aussi en compétition pour son nouveau film "Gangs of New York".Outre Marshall et Scorsese, Roman Polanski figurait parmi les nominés de la Guilde pour son film "Le Pianiste". Le réalisateur d'origine polonaise n'avait plus été sélectionné par ses pairs américains depuis sa comparution en justice en 1977 pour relation sexuelle avec une mineure de 13 ans. Parti des Etats-Unis en 1978, il n'y est jamais retourné.
Depuis la création de la Guilde voilà 55 ans, le réalisateur ainsi récompensé a presque toujours (il n'y a que cinq exceptions) obtenu l'Oscar dans la foulée. Avec ses 13 nominations, dont celle de meilleur film, "Chicago" fait figure de grand favori pour la grand messe du cinéma américain, qui aura lieu le 23 mars.
ils disent tous ça :diablotin:"Je ne m'y attendais pas vraiment", a-t-il ensuite confié.
C'est faux, ça ne marche pas toujours !Tu veux un Oscar: fais un film avec le drapeau américain comme icone, des gesn qui se sacrifient pour ce beau pays, de la belle musique qui te met la larme à l'oeil pendant les ralentis, des acteurs US sur le retour ou qui viennetne de nulle part, et voilà...![]()
Scorcese loved both films, especially for their storytelling and visuals. The interviewer asked Scorcese as a film historian, what he thought of how the LOTR films fitted into cinematic history. Scorcese said PJ had taken on the epic qualities of an older Hollywood period, as well as film traditions from Italy and England and brought them into the 21st century.
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