Bon, aujourd’hui je vous propose de découvrir un certain Mickey Newbury. Je vais reprendre ce que j’avais écrit sur mon blog.
Sardequin a écrit :Encore une autre découverte musicale. je la dois cette fois à un collègue sur le forum Shelter From The Storm. Cette découverte musicale, c’est Mickey Newbury. Je vous laisse aussi le soin de lire sa bio sur wikipedia. Mais encore une fois, comme un Sixto Rodriguez, comme un Townes Van Zandt, il fait parti de ces « perdants » magnifiques que l’histoire de la musique, et surtout que l’industrie de la muzak a laissé sur le bas coté. Et en même temps, il est de ces mêmes artistes dont l’intégrité humaine et artistique a rejeté cette industrie. Le résultat c’est une musique forte, sincère, poignante.Comme pour Townes Van Zandt, en écoutant Newbury, on ne peut s’empêcher de penser qu’il tient à coté de lui, pendant qu’il chante, une bouteille de whisky et un pistolet (ou une corde pour se pendre). Mais comme Townes Van Zandt, il ne fait en fait que chanter « sa tristesse ».J’ai découvert aujourd’hui Mickey Newbury au travers d’un album de reprises (un « cover » comme il est d’usage de dire). Accompagnement minimal, une guitare, un violoncelle. Et pour vous faire écouter, une reprise d’un standard éternel : « Summetime ». C’est beau, c’est poignant, c’est magnifique, c’est magique ! À ne pas écouter un soir d’intense cafard quand même. Me reste maintenant à trouver ces disques… La magie d’internet c’est de permettre de découvrir ces merveilles et de les partager, n’en déplaise à certains esprits chagrins

Et puis comme ce disque est introuvable ailleurs que sur la toile, un extrait à écouter.Pour des raisons pratique, je vous mets le lien vers mon blog et le billet en question. Le titre en écoute est une totale relecture d’un standard - Summertime (de Gerswhin). Je crois bien en avoir déjà parlé d’ailleurs dans ce fil de discussion.
Mickey NewburyHabituellement, je ne télécharge pas, étant adepte du matérialisé sur vinyles. mais là c’est introuvable. Bref, pour ceux qui ne connaissent pas, c’est à découvrir. Et ponctuellement, je peux vous partager ce disque, sublime.