Zébulon a écrit :en tout cas, en voila un qui aime les cartes http://www.npr.org/2013/01/06/168631403 ... ilt-worldsest-ce le worldbuillding et les cartes qui nous font aimer la fantasy ?

Zébulon a écrit :en tout cas, en voila un qui aime les cartes http://www.npr.org/2013/01/06/168631403 ... ilt-worldsest-ce le worldbuillding et les cartes qui nous font aimer la fantasy ?
(que je trouve en plus élégamment traduit)J'ai beau comprendre cet attrait pour les cartes je dois bien avouer qu'il me dépasse complètement, une carte en début d'un roman je vais la regarder une fois penser que "c'est bien dessiné quand même" et ne plus jamais y revenir. C'est peut-être lié au fait que j'ai un sens de l'orientation déplorable et que tout compte fait je me fiche complètement que telle ville soit à l'Est ou à l'Ouest d'une autre. D'ailleurs s'il y a des fautes de continuité géographique dans un roman (ou un film) il y a très peu de chances que je m'en rende compte sauf cas exceptionnel qui relève de la téléportation.Je comprend l'utilité pour l'auteur d'avoir une carte de son monde pour mieux le visualiser dans son ensemble et faire évoluer ses personnages. En tant que lectrice par contre une carte ne m'a encore jamais été utile, je préfère me laisse promener.Peter Turchi affirme que tous les écrivains sont des cartographes et que toute écriture est une carte. Pour Turchi, la carte est plus qu’une métaphore : il s’agit d’un procédé narratif organisé. La langue est comme une terre, les paragraphes comme des quartiers, les phrases comme des rues et les mots sont simplement les lignes et les courbes construites de la même manière que les lignes et les formes des cartes. Les lettres sont comme des canyons désertiques et des mers chaotiques que l’écrivain transforme en mots, puis en phrases et enfin en scènes.
On maps, Martin pointed out—in a rather knowing and weary tone—that you must be very careful about fantasy maps, because someday your publisher may want a poster, and you will have to fill in the blanks you left before and also discover that details of the map you’ve drawn contradict the things you wrote in the book. He added, “If you want to know where fantasy maps come from, take the map at the front of your favorite fantasy novel, and turn it upside down. Westeros began as upside-down Ireland. You can see the fingers of Dingle. Robin Hobb’s Six Duchies? Upside-down Alaska.”Rothfuss noted that a writer should ask why they feel compelled to do something like create a map, especially if they don’t particularly care for maps. It’s a fantasy convention, of course, but it’s a convention because Tolkien did it—but he did it in The Hobbit because it was part of the story. Similarly, he went on, fantasy writers feel that they need to invent languages, again because of the Tolkien influence. “But Tolkien didn’t do it for tradition; he did it because he was a language geek! [...] If you’re a geek for something, and if that’s herbology, or the nature of the night sky, or plate tectonics, revel in your geekery, roll around in it, and make that a part of your world.” But if you do something because you feel like you’re supposed to, “I don’t really feel like that’s the best way to enjoy yourself and make a vibrant world.”
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