

Effectivement, mais résumé ou non c'est censé te mettre dans l'ambiance d'un livre...Et oui, je confirme, Guigz, que Jaworski est vraiment excellent, notamment sur son dernier, "Même pas Mort" qui donne vraiment envie de s'y plonger corps et âme (ouais, j'en fais un peu beaucoup je saisAryawen a écrit :Juste pour dire que parfois, la quatrième de couverture est un extrait du livre, pas un résumé.
Généralement c'est l'éditeur qui prend en charge la 4e de couverture. Son but c'est de vendre des livres. Si le pitch est mal foutu/mal orienté, c'est un défaut marketing. Ça ne reflète pas forcément la qualité du livre mais ça n'incite pas à l'acheter.Au ciné on a eu un bel exemple avec John Carter. Le film en lui-même était bon. Pourtant il a été boudé par le public...Autre truc idiot que je me dis face à une couv' moche ou à un résumé peu emballant : "l'éditeur ne crois pas en ce livre, pourquoi j'y croirais plus que lui". C'est peu réfléchi puisque l'explication peu tout simplement tenir dans le fait que l'éditeur n'a aucun goût (dommage, c'est son métier^^), ou tout simplement pas les moyens de faire mieux ou encore pleins d'autres explication plus pertinente que le simple manque de motivation.Pourtant c'est un peu ce qui me passe par la tête en premier...EDIT :confirmation de Wikipedia (ça vaut ce que ça vaut) sur la responsabilité de la quatrième de couverture : http://fr.wikipedia.org/wiki/Quatri%C3% ... couvertureAtanaheim a écrit :C'est sûrement très bête de ma part mais les 2 phrases qui ouvrent ce pitch m'ont paru tellement obscures qu'elles m'ont immédiatement coupé l'envie de lire le livre.Là où c'est idiot c'est que souvent ce n'est pas l'auteur lui-même qui produit ce résumé. Il n'augure donc en théorie pas la façon d'écrire de celui-ci.N'empêche que ça me bloque. Pour moi, on a affaire ici à des approximations qui seront plus où moins rebutantes selon les lecteurs.
C'est bizarre... J'ai toujours cru qu'il n'y avait que 5 Die hard...Foradan a écrit :C'est à rapprocher du soin apporté à traduire un titre de film, avec un seul exemple : Die hard et Die hard 2, devenus Piège de cristal et 58 minutes pour vivre, des titres qui signifient qu'ils ont vu le film avant de choisir le titre, un titre qui personnifie le film plus que épisode 2 ou 8.
Pour les spoilers, on peut compter sur le topic de Guigz.Par exemple la jolie description de l'ouverture de Mistborn.Il se trouve justement que c'est le livre que je suis en train de lire (enfin !). J'ai parcouru 250 pages et je n'ai toujours pas eu l'explication donnée par Guigz...et la 4e de couverture est la suivante :Foradan a écrit :et j'ai une version de poche découpée et ponctuée de "parviendront-ils à échapper à "spoiler 1" ? trouveront-ils asile aurpès de "spoiler2 "? Qu'adviendra-t-il de X, revenu de la mort ? (pff nan mais là quoi, spoiler !)"
Non seulement les infos données un peu plus haut n'y sont pas mais en plus ce pitch est d'une banalité crasse. Bref c'était un mauvais exempleLes brumes règnent sur la nuit, le Seigneur Maître sur le monde.Vin ne connaît de l’Empire Ultime que les brumes de Luthadel, les pluies de cendre et le regard d’acier des Grands Inquisiteurs. Depuis plus de mille ans, le Seigneur Maître gouverne les hommes par la terreur. Seuls les nobles pratiquent l’allomancie, la précieuse magie des métaux. Mais Vin n’est pas une adolescente comme les autres. Et le jour où sa route croise celle de Kelsier, le plus célèbre voleur de l’Empire, elle est entraînée dans un projet fou : renverser l’Empire.
Tu n'exagères pas un peu ?Pour les spoilers, on peut compter sur le topic de Guigz.
Brandon Sanderson, fantasy's newest master tale spinner, author of the acclaimed debut Elantris, dares to turn a genre on its head by asking a simple question: What if the hero of prophecy fails? What kind of world results when the Dark Lord is in charge? The answer will be found in the Mistborn Trilogy, a saga of surprises and magical martial-arts action that begins in Mistborn.For a thousand years the ash fell and no flowers bloomed. For a thousand years the Skaa slaved in misery and lived in fear. For a thousand years the Lord Ruler, the "Sliver of Infinity," reigned with absolute power and ultimate terror, divinely invincible. Then, when hope was so long lost that not even its memory remained, a terribly scarred, heart-broken half-Skaa rediscovered it in the depths of the Lord Ruler's most hellish prison. Kelsier "snapped" and found in himself the powers of a Mistborn. A brilliant thief and natural leader, he turned his talents to the ultimate caper, with the Lord Ruler himself as the mark. Kelsier recruited the underworld's elite, the smartest and most trustworthy allomancers, each of whom shares one of his many powers, and all of whom relish a high-stakes challenge. Only then does he reveal his ultimate dream, not just the greatest heist in history, but the downfall of the divine despot.But even with the best criminal crew ever assembled, Kel's plan looks more like the ultimate long shot, until luck brings a ragged girl named Vin into his life. Like him, she's a half-Skaa orphan, but she's lived a much harsher life. Vin has learned to expect betrayal from everyone she meets, and gotten it. She will have to learn to trust, if Kel is to help her master powers of which she never dreamed.Readers of Elantris thought they'd discovered someone special in Brandon Sanderson. Mistborn proves they were right.
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