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Tout ça m'a l'air fort sympathique ! Je note.
Si l'enfer est ici alors autant s'en faire, si l'enfer est ici alors autant s'en faire, s'en faire un paradis. --- Shaka Ponk

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J'aime beaucoup la couverture et l'histoire a l'air original. Mai 2013, c'est bien, ça me laisse le temps de rattraper mon retard de Sanderson avant d'acheter celui-là. :P

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Young adults = teenager en fait? Encore une appellation mensongère/marketing...Pour moi, young adults c'était 18-25 ans, mais bon.Un nouveau livre de Sanderson devrait arriver rapidement en france, je pense... Fin 2013 début 2014?

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Nous sommes bien d'accord, c'est une appellation marketing. C'était jusqu'à 25 ans (en gros) et la limite d'âge augmente. Récemment, une étude a démontré que les plus de trente ans étaient ceux qui en lisaient le plus.

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Ça tombe bien, Xavier Mauméjean, qui dirige la collection Pandora (young adult chez Le Pré aux Clercs), vient tout juste de parler de la définition de cette catégorie dans une interview donnée à ActuSF :
Xavier Mauméjean a écrit :Reste à savoir ce que l’on désigne par young adult. Contrairement à ce que l’on entend ici ou là, ce terme n’entretient aucun rapport avec le qualificatif de « Young Person » apparu dans l’Angleterre victorienne pour désigner l’état d’enfance et sa littérature. Sur « la création de l’enfance » en Angleterre, André-François Ruaud peut vous en parler durant des heures…Young adult est une notion apparue après l’émergence du phénomène, pour désigner ce que l’on devait constater a posteriori. A savoir un phénomène non prévu, ni prémédité, apparu avec Harry Potter, pour faire simple, et qui a pris tout le monde un peu par surprise. Jusqu’alors, chaque tranche d’âge avait ses livres. Avec J. K. Rowling, et par la suite Twilight de Stephenie Meyer, sont apparus des romans et séries qui rencontraient l’enthousiasme de tous. Enfants, adolescents, adultes. Voilà ce que l’on entend par young adult.
Pour moi c'est surtout un habile procédé commercial que cette dénomination. En disant young adult, on peut toucher le public jeunesse et le public adulte. Certaines personnes ne regarderaient même pas un livre estampillé "jeunesse" : la honte, que vont penser les gens si on me voit avec ce genre de livre, etc.Le marketing au service de la déculpabilisation. C'est beau ! :D

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Je viens de voir ça également!En fait, c'est jamais que ce qu'on appelait le "tout-public" avant, mais adapté à une logique commerciale de place sur les étals, de marketing, ...L'ado-adu-lescent, quoi! En tant que bibliothécaire, l'avantage c'est que j'ai jamais culpabilisé de lire les p'tits bijoux qui se voient parfois confinés au lectorat jeunesse (cad pas majeur, quoi), mais "young adults", vraiment, j'accroche pas, ça fait trop mûr pour des enfants ou ados et trop gamin pour des gens ayant la vingtaine.:sifflote:Bah, si ça peut permettre de faire sortir des titres que les éditeurs n'arrivaient pas à mettre dans des cases, moi, j'prends!

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Aléthia a écrit :Nous sommes bien d'accord, c'est une appellation marketing. C'était jusqu'à 25 ans (en gros) et la limite d'âge augmente. Récemment, une étude a démontré que les plus de trente ans étaient ceux qui en lisaient le plus.
Bon je vais lancé un troll Gentil ^^, En fait Young Adult pour un homme ça va jusqu'à 45 ans, pour une femme jusque 15 ans ^^. Et voila je sors tout doucement ;)

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Ça fait un petit moment que ça se développe... avec plus ou moins de succès. Les auteurs un peu connus y ont droit régulièrement (Goodkind, Hobb, maintenant Sanderson...).Celui-ci est plutôt réussi. Je n'avais pas besoin de ça pour mettre le livre sur ma PAL, mais c'est un complément intéressant.

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Difficile de choisir entre couverture UK et couverture US. Je préfère généralement les UK, mais cette fois-ci les deux me parlent. :)J'irai voir l'extrait, mais je me laisserai probablement tenter par ce nouvel univers de Sanderson.