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Magnifique, sublime. :)C'est du Bottero dans le style et dans l'âme, récit initiatique narré sur ce ton que les amateurs reconnaitront dès les premiers coup de plume, tellement particulier à cet auteur.Une fin enfin qui ouvre tant de portes que nous n'explorerons malheureusement plus. Déception, tristesse, émotion. 

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Je ne fais que confirmer ce qui a été dit. Comme d'habitude Bottero nous embarque dès les premieres pages pour ne plus nous lâcher, ce qui est ici un euphémisme puisqu'on n'aura jamais la fin
Sinon au niveau de l'écriture en elle-même c'est merveilleux comme d'habitude, toujours empreinte d'une certaine philosophieCe qui me chagrine est que nous n'aurons pas la suite alors que toutes les portes étaient à portée de main. De plus l'univers très riche des Jurilans nous laissait présager bien des aventures.Bref, pour résumer, une lecture époustouflante que je ne peux que vivement conseiller 

Effectivement il s'agit du terme que j'aurais employé pour qualifier ce récit. On a évidemment reconnu la plume Bottero mais je trouve qu'il y a quelque chose qui change dans ce livre, à bien des niveaux je le place au dessus de ce qu'il a écrit jusqu'ici, je le trouve bien plus mature.Bien qu'envoûtés par la poésie marchombre et le monde de Gwendalavir en général on retrouvait toujours chez lui des personnages parfaits. On pourrait alors évoquer Shaé de L'Autre qui n'est pas décrite comme étant parfaite mais que nous percevons tout de même un peu en tant que telle. On est toujours happé par l'histoire mais on peut rarement s'identifier aux personnages. Ici, que ce soit Ergaïl ou Nawel, tous nous apparaissent humains.khedra a écrit :C'est du Bottero dans le style et dans l'âme, récit initiatique narré sur ce ton que les amateurs reconnaitront dès les premiers coup de plume, tellement particulier à cet auteur.
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Tout a fait d'accord avec toi Margravine Liselle pour ce qui est de l'humanité des personnages. En effet Nawel n'est pas sans défaut loin de là et j'ai moi aussi eu envie de la baffer à certains moment. :sifflote:Pour ce qui est de tes dernières suppositions, j'en était arriver aux mêmes déductions que toi. 

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Je viens de terminer cette lecture.mon projet était
, pas pu me retenir, c'est écrit gros, et les pages se tournent toutes seules, et ben oui, je me sens triste, car j'aurais bien aimé savoir la suite et puis je pense à la disparation de Bottero :(je pense que il manque une carte, j'aurais bien aimé voir le monde cartographié.Quant à l'écriture, je suis d'accord avec Margravine Liselle, l'écriture de Bottero est plus mature, le style plus efficace encore. je le trouve assez doué pour les débuts, , la première phrase d'emblée nous amène dans l'histoire. Bon elle ressemble un peu à la première phrase d'EWilan ... mais tant pis, j'aime quand même.J'aime bien les tempéraments des personnages, et Nawel est Pour moi, c'est une lecture chargée en émotion, ça a beau être de la littérature jeunesse (tes bouquins pour enfants, me dit une copine
:rolleyes:), ben ça me touche.j'aimerais beaucoup qu'il y ait une suite, et en même temps j'éprouve un sentiment double, à savoir les suites écrites par quelqu'un d'autres ou les archives oubliées etc. c'est jamais tout à fait pareil:(:(
car j'avaisessayer de faire durer un peu la lecture.
projet loupé :Dbien sûr, je l'ai lu super vitePeur d'être assez triste à la fin,

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Et c'est le prix Imaginales des collégiens 2011 ! :DUn très bon souvenir en ce qui me concerne de cette lecture (mon premier Pierre Bottero, et oui ! ) pour le prix Elbakin.net 2010.Ecriture limpide, histoire prenante, héroïne attachante... malgré un début un rien manichéen, mais voulu en tant que tel !