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Pierre Grimbert est souvent comparé à David Eddings. A juste titre. En effet, l'action est aussi trépidente que dans la Belgariade et les personnages, même s'il ne sont pas forcément originaux demeurent attachants tout au long de leur aventure. De plus, Grimbert ne perd pas de temps à décrire jour après jour, nuit après nuit, la vie de ses héros durant leurs trajets entre chaque ville. Et c'est peut être pour cela que le cycle ne fait que 4 tomes, contrairement à l'Arcane des épées par exemple. Bref, c'est un bon cycle, sans être excellent car je trouve que la magie de ce monde est un peu décevante (ma déception n'atteint pas le stade de celle que j'ai éprouvé dans la trilogie des magiciens de Kurtz ...
) et aussi que le happy end est décevant, sûrement pour laissé place au second cycle.J'attent donc avec impatience de lire les Enfants de Ji, qui, je l'éspère, ne va pas tomber dans le syndrome Mallorée, c'est-à-dire la répétition des premières aventures. Quelques échos me sont parvenus comme quoi le pari a été tenu 