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Tiens, je connais ça! Le souricier gris! Mais à la base, je savais pas que c'était un cycle, et mon père n'en ayant qu'un... "Le chateau de Lankhmar" je crois.... Je me souviens par contre que c'est un livre excellent, avec deux héros plus qu'attachant!

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Petit comparatif habituel, cette fois entre "Le Quai des Etoiles", devenu "L'Embarcadère des Etoiles" :
Fafhrd connaissait déjà les Déserts Froids puisqu'il était né au pied de ces mêmes montagnes et que, dans sa jeunesse, il en avait souvent gravi les premières pentes. Il en indiqua le nom au Souricier Gris. Les deux hommes étaient installés au bord d'une caverne rocailleuse où ils avaient planté leur camp.
Natif de la Toundra des Glaces, Fafhrd avait passé une bonne partie de son enfance à s'aventurer sur les pentes des pics les moins abrupts. Alors que son compagnon et lui se tenaient à la lisière orientale de la ravine gelée où ils avaient dressé leur camp, le barbare se faisait un plaisir de présenter les montagnes au Souricier.

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Ah oui la retraduction fait plaisir! B) Comme quoi, d'une traduction à l'autre, on peut vraiment avoir 2 ouvrages complêtement différents! :o Faudrait que je m'y mette un jour à cette série... :sifflote:

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Une différence de traduction ça peut changer beaucoup de chose dans un livre.... Y a des traducteurs qui sont très carrés, traduction quasi scientifique, ce qui, à mon sens, rends les bouquins lourdingues....

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Gillossen a écrit :Petit comparatif habituel, cette fois entre "Le Quai des Etoiles", devenu "L'Embarcadère des Etoiles" :
Fafhrd connaissait déjà les Déserts Froids puisqu'il était né au pied de ces mêmes montagnes et que, dans sa jeunesse, il en avait souvent gravi les premières pentes. Il en indiqua le nom au Souricier Gris. Les deux hommes étaient installés au bord d'une caverne rocailleuse où ils avaient planté leur camp.
Natif de la Toundra des Glaces, Fafhrd avait passé une bonne partie de son enfance à s'aventurer sur les pentes des pics les moins abrupts. Alors que son compagnon et lui se tenaient à la lisière orientale de la ravine gelée où ils avaient dressé leur camp, le barbare se faisait un plaisir de présenter les montagnes au Souricier.
ouch, j'avais jamais capté à quel point une traduction pouvait avoir autant d'importance :huh:cette petite démonstration est plus que convaincante !le style un peu poussièreux s'en trouve bien revigoré je trouve :)

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C'est vraiment rare ce genre de retraduction...mais pour le coup effectivement la nouvelle version plaît plus (mais il faudrait avoir l'original anglais sous les yeux of course :p ). Si ils sont capable de retraduire un cycle de plusieurs volumes d'un auteur comme Leiber pourquoi est-ce qu'on n'aurait pas droit au même traitement pour Tolkien?? Il y a certainement un marché intéressant à se faire sous la dent non? :sifflote:(et puis cette retraduction a ses effets : ça me fait vraiment envie de lire du Leiber d'autant plus que c'était le seul autre auteur que Moorcock supporte donc je me demande ce qu'il a de particulier...)

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Etrange alors que précédemment, la retraduction semblait faire quelques sceptiques. :)C'est sans doute un peu plus dynamique, mais perso, je préfère par exemple le "quai" au terme "embarcadère". :)

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il a bien le droit de faire évoluer son trait depuis 17 ans quand même ;)tu regardes les gastons des débuts, c'est pas le même style qu'à la finMais moi j'aime bien ces dessins, font pas vieillots à mon gout

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J'en avais jamais lu que 5 sur les 7 je crois, il est pas mort avant d'avoir écrit la fin?me rappelle plus trop, cette réédition me tente bien surtout quand je vois les différence de traduction :)