By printing Harry Potter and the Order of the Phoenix on ancient forest friendly paper, Raincoast Books is minimizing its impacts on the environment and helping safeguard biodiversity and the world's ancient and endangered forests.Using 1,121,049 kilograms of 100% post-consumer recycled, processed chlorine free paper and fibre instead of virgin fibre means that Raincoast Books is making the following ecological savings :29,640 trees (a forest area equivalent to 95 times the size of a football stadium)47,007,044 litres of water (water to fill 31 Olympic sized swimming pools)633,557 kgs of solid waste (equivalent to 155 average female elephants)20,248 BTUs of electricity (195 years of electricity to power the average North American home)1,215,443 kilograms of greenhouse gases (3.9 million kilometers traveled by car with average fuel efficiency)8486.4 kgs of air emissions

Aoineko,jeudi 24 février 2005, 19:06 a écrit :En tout cas c''était une super idée de mettre ça en news !

Hedwig the Owl visits Bloomsbury in London to ask them to print the next Harry Potter on 100% ancient forest friendly paper.

Publivore,lundi 28 février 2005, 09:30 a écrit :Mouais, mais elle n'est pas blanche normalement Hedwige ?

Gillossen,dimanche 06 mars 2005, 14:21 a écrit : http://www.elbakin.net/fantasy/news/2005/mars.htm#06

Bien entendu, Greenpeace se félicite de cette prise de position, mais aimerait bien que d'autres poids lourds de l'édition, tel que Random House ou HarperCollins, adopte la même conduite.

Pendant cinq jours au Salon du Livre de Paris, Greenpeace va sensibiliser les auteurs et les maisons d'édition à l'usage de papiers recyclés ou certifiés FSC. Chaque jour, une équipe de militants invitera des auteurs à s'engager au côté de Greenpeace, pour que l'industrie du livre ne participe plus à la destruction des forêts anciennes. Près de 20% des papiers utilisés en France, provient de régions de forêts anciennes, en particulier des dernières zones de forêts primaires finlandaises. Parce que l'industrie culturelle à aussi son rôle à jouer dans le développement durable, les éditeurs doivent changer leurs méthodes d'approvisionnements de papier en provenance de Finlande comme de Russie.Alors que la Russie est à l'honneur cette année au Salon du Livre de Paris, il est nécessaire de rappeler que la production de papier qui arrive des régions forestières russes provient souvent de sources douteuses et qu'il serait bon d'opter pour des certification crédibles telles que le Forest Stewardship Council ou Conseil de bonne Gestion Forestière (FSC) qui assure la traçabilité et la gestion durable des forêts.Tout au long de ce Salon, nous serons en contact avec Emilie, activiste de Greenpeace, qui se trouve dans les dernières forêts anciennes de Finlande. Greenpeace se mobilise pour protéger les territoires des peuples lapons et la biodiversité qu'elle recouvre. Nous vous invitons à suivre le journal d'Emilie durant tout le Salon.Nous communiquerons à la fin du Salon, le nom des auteurs et des maisons d'éditions, qui se seront engagées a nos côtés. Ils seront en piste pour l'obtention du Prix Plume Verte qui récompensera, cet automne, les auteurs et éditeurs engagés dans la protection des forêts anciennes.Pour en savoir plus, nous vous invitons à consulter le dossier Plumes Vertes et le document de Greenpeace intitulé "L'industrie finlandaise à l'assaut de la forêt et de la vie".Passez à l'action en signant la cyber-pétition(en anglais) destinée au gouvernement finlandais et à Stora Enso le principal papetier utilisant les ressources des dernières forêts finlandaises.