Alors comme convenu voici la critique, je n'en suis pas super super content parce que je sais pas si j'ai réussi à faire passer correctement passer mes sentiments pour cette trilogie. N'hésitez pas à me demander plus d'informations.
CritiqueAuteurEt j'avoue que je suis pas très fier de mon travail, ca sonne pas très bien tout ca. Et je suis pas sur que ca motive les gens à lire...

Bref si vous avez pas peur des (petits) spoilers, je vous mets également les quatrièmes de couverture francaise qui sont plus poétiques que mes résumés:Sabriel:Neuf Plans dans la Mort, patrie des âmes défuntes et des morts-vivants de sang assoiffés.Sept cloches ensorcelées pour ces monstres maîtriser.Cinq Grandes Chartes pour l'univers régenter.Trois puissantes Maisons pour les faire respecter.Deux mondes en tout opposés.Un seul pour rétablir l'équilibre menacé :Abhorsën, qui la Charte défendet les morts-vivants pourfend.Face à lui, Kerrigor, l'ennemi juré, l'âme corrompue,Kerrigor, celui par qui le malheur s'est abattu...Abhorsën a échoué. Seule sa fille, Sabriël, peut le sauver.Sabriël, l'enfant élevée dans ce que d'aucuns appellent « la réalité ».Sabriël, qui de magie devra user pour l'esprit de son père retrouver.Méfie-toi, Sabriël ! Certains sur toi veulent se venger…Lirael :Au commencement était la Franc-Magie, fruste et indomptée.Au commencement, les Neuf, surpuissantes entités, dominaient.Sept cet univers sans pitié décidèrent de régenteret par la Charte d'en faire un monde où régnerait la paix.Cinq se sacrifièrent pour la Charte incarner;Trois, de leur propre Sang, créèrent les trois Lignées;Deux, dans la pierre, durent se transmuter.Les deux dernières ne furent pas tout à fait oubliées,et des Sept, le nom fut toujours conservé.Des Neuf pourtant, deux, dès l'aube des temps, avaient résisté.Une seule fut domptée, tandis que l'autre parvint à conserver sa liberté.Et de quel prix ses sœurs la lui firent payer !Mais, aujourd'hui, l'heure de la vengeance a sonné.Et les forces de la Charte peuvent déjà tremblercar Orannis, qui sommeillait, bientôt va se lever.Et, quand elle aura, de tous, triomphé,la vie même aura, à jamais, cessé d'exister...Abhorsen :Laissez-moi vous chanter un vieux péan :Le lai des Sept étincelants.Que faisaient donc les Sept, en ces temps reculés ?Ils tissaient la Charte, il faut bien s'occuper !Cinq pour la chaîne, de l'aube du monde à son prochain déclin.Deux pour la trame, pour filer le destin, ravauder au besoin.Voilà pour les Sept. Mais qu'advint-il des Neuf originels ?De ces deux qui refusèrent le mirage d'une paix éternelle ?Le Huitième choisit de se cacher et ne fit pas les choses à moitié.Mais les sept le trouvèrent et le lui firent payer.Le Neuvième était puissant et lutta pied à pied.Las ! Orannis, le solitaire, fut à jamais chassé, Brisé en deux et enterré,Condamné à un éternel oubli, Désarmé et maudit,Nous vouant tous aux Gémonies.Voici venu le temps de sa formidable vengeance...