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Ohhh, non ! :( Mince, alors !

J'ai adoré la dixième muse. J'ai justement trouvé qu'il y avait une magie dans ce texte incroyable. Florent est banal, clairement, mais comme tout un chacun; du coup, j'ai pu le suivre facilement, parce qu'il me ressemble, en quelque sorte.
J'ai bien aimé le dynamisme des points de vue alternés, les allers-retours dans le passé; ça crée un aspect un peu décousu comme ça mais au final, cette multitude de chœurs donne aussi quelque chose d'unifié. Comme un puzzle.

Et c'est assez rigolo, parce que c'est là vraiment affaire de perception, je m'en rends compte : j'ai trouvé ce récit très chaleureux. J'ai été émerveillée de ces touches de réalisme magique un peu partout, sous le voile de la banalité du quotidien. J'ai eu la sensation que ça réchauffait le récit.
Sensation : c'est le mot parfait, parce que dans ce texte, j'ai senti, touché, écouté, goûté, tous les sens y sont passés.

Du coup, je rejoins effectivement le mot de la fin : étant une affaire de ressenti, et de sensations, on peut en effet parler de séduction, et je comprends tout à fait que ça ne marche pas pour tout le monde. En attendant, ça a rudement bien fonctionné avec moi !

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Je crois que les critiques de littérature générale lui ont fait bon accueil, cela dit.
Perso, la chronique a même renforcé ma curiosité, c'est déjà pas mal ! ;)