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Le nouveau manga préféré de Guigz ! :D

Alexandre Ploutinov est maître des arts martiaux et président de la République de Prussie, à vie. Son désir insatiable de chevaucher et de conquérir toutes sortes de choses – des bêtes, des machines et même une nation – l’a conduit vers le triomphe et la gloire. Mais un jour, victime d’une attaque terroriste, il est écrasé par la tête de sa propre statue. Quand il se réveille enfin, il se retrouve dans un monde magique peuplé de créatures fantastiques !

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J'espère qu'on aura le droit à toute la collection : chevauche d'ours, pression sur des gros chateaux pour qu'ils rouvrent les portes aux pauvres péons jetés hors des enceintes, bisous aux toutous qu'on lui offre et tuti quanti :p

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A noter, si la note vous paraît trop élevée, que j'ai déjà croisé Grégoire Hellot - le directeur de collection de Kurokawa - deux/trois fois dans les couloirs d'Univers Poche il y a 8-10 ans et que j'étais un grand fan du magazine Joypad, dans lequel il intervenait. Qui sait, ça m'a peut-être influencé !

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Ecoute, c'est exactement ça.
Parce que c'est facile, je trouve, de créer un concept débilo-délirant. Mais il faut encore concevoir une histoire un minimum engageante et c'est (plus que) le cas ici. :)

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C'est vrai qu'en manga on mange de l'isekai à toutes les sauces.
Je viens d'ailleurs de me rendre compte que je n'avais pas fait de retour sur les tomes 1 et 2 de The Ride-on King.
J'ai été très agréablement surpris car le pitch était assez délirant. L'histoire se tient, j'aime Ploutinov et il me fait bien rire. Je ne dis pas que c'est un chef d’œuvres mais c'est divertissant et c'est tout ce que j'en attendais.

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De mon côté je me suis régalé. C'est barré et wtf juste ce qu'il faut. Mais derrière il y a quand même un scénar qui tient la route et un objectif. Du coup, je l'ai conseillé en achat au boulot, parce que ce serait dommage de laisser passer une petite pépite comme celle-là, qui amène un peu de plaisir à la lecture, en ces temps troublés.
"Il n'existe rien au-dessus du métier de bibliothécaire" Terry Pratchett