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Aslan a écrit :Et acheté pour la France...
La VF arrive cette semaine !

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Bon finalement je me suis lancée dedans, parce que ce titre ne décolle pas trop chez nous.
Mon ressenti à plus de la moitié est assez ambivalent ; je trouve le style assez lourd et artificiel, il y a un côté rigide et empesé, et pourtant je n'arrive pas à le lâcher. Clairement, ce n'est pas un livre qui m'apporte de la joie ou de l'évasion, je dirais même qu'il a tendance à me déprimer, mais j'ai envie de connaître la fin (et j'espère que ça vaut le coup)
Mon ressenti à plus de la moitié est assez ambivalent ; je trouve le style assez lourd et artificiel, il y a un côté rigide et empesé, et pourtant je n'arrive pas à le lâcher. Clairement, ce n'est pas un livre qui m'apporte de la joie ou de l'évasion, je dirais même qu'il a tendance à me déprimer, mais j'ai envie de connaître la fin (et j'espère que ça vaut le coup)
Memento mori
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J'ai été totalement réfractaire au style lors de ma lecture. D'un côté lourd et empesé comme tu le soulignes Kaellis, et de l'autre extremement... Vide?
Des amorces d'idées pour pas grand chose, des retournements de situations' auxquels je n'ai pas cru ou bien trop deviné à l'avance...
Cependant ça se lit vite. Je m'attendais néanmoins à quelque chose f'autre, de plus poétique, de plus... Autre chose.
Quelques réflexions sont intéressantes néanmoins, mais pas assez pour sauver le roman à mes yeux. Trop lourd, trop poussif à mon goût... Tant pis !
Des amorces d'idées pour pas grand chose, des retournements de situations' auxquels je n'ai pas cru ou bien trop deviné à l'avance...
Cependant ça se lit vite. Je m'attendais néanmoins à quelque chose f'autre, de plus poétique, de plus... Autre chose.
Quelques réflexions sont intéressantes néanmoins, mais pas assez pour sauver le roman à mes yeux. Trop lourd, trop poussif à mon goût... Tant pis !
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Visiblement pas ?

Avant, quand l’air était si imprégné de magie qu’il laissait un goût de cendres sur la langue, les sorcières étaient féroces et intrépides, la magie flamboyait et la nuit leur appartenait. Ce temps n’est plus, les hommes ont dressé des bûchers, et les femmes ont appris à se taire, à dissimuler ce qui leur restait de magie dans des comptines, des formules à deux sous et des contes de bonne femme.
Mais la vraie sorcellerie n’a besoin que de trois choses pour renaître : la volonté de l’écouter, les vers pour lui parler, et les voies pour la laisser pénétrer le monde. Car tout ce qui est important va par trois.
Ainsi des sœurs Eastwood : Bella, Agnès et Genièvre. Mues par la colère, la peur... et une pulsation écarlate qui ne demande qu’à revivre, des dons qu’elles découvrent peu à peu. Il suffit pour cela de s’unir, et d’y croire, de traquer tous les interstices où elle se dissimule. Car la magie, c’est d’abord penser que chacun est libre d’agir, même si le mal rôde. Le temps des Sorcières pourrait alors bien revenir, pour notre plus grand bénéfice à tous, hommes et femmes.
Alix E. Harrow signe un nouveau roman magistral qui réinvente la figure des sorcières. Une épopée magnifique tissée de fantaisie, nourrie de promesses et d’un imaginaire sans limites, qui est aussi une ode à la liberté des femmes... et des hommes. Lauréat du British Best Fantasy Award 2021.
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Le poche des Dix Mille Portes sort cette semaine. 
http://www.elbakin.net/fantasy/roman/les-dix-mille-portes-de-january-5865

