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Merci pour la découverte. A la fois de la maison d'édition -m'ont l'air déjanté comme j'aime ces dénicheurs de pépites. De l'auteur et du titre. Quant à la 4eme de couv : tout ce que j'aime, tout. Une de mes prochaines lectures de quand j'aurai le temps. M'en fait déjà une fête.Le lien vers la maison d'édition : http://www.editions-attila.net/la_langu ... livre.htmlRudement chouette leur catalogue, rare.Merci Atanaheim.
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Comme quoi, on en avait eu raison de le nommer.
:arrow: http://www.elbakin.net/edition/21518-Le ... naire-2014

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Un prix mérité
Je l'avais lu il y a quelques mois et beaucoup aimé ! Quelques comparaisons pêle-mêle pour vous donner une idée : on est quelque part entre le réalisme magique, le conte philosophique et la fantasy humoristique à sujet préhistorique façon Pourquoi j'ai mangé mon père de Roy Lewis (même si L'Homme qui savait... se passe au Moyen âge). Il y a aussi un côté Rabelais, au fond (la tendance à boire et à fracasser joyeusement des crânes). Et pourtant, tout se passe en Estonie, et on plonge aussi à cette occasion dans un imaginaire à la fois familier et différent.Le seul défaut que j'ai trouvé à ce roman est (mais impossible de développer sans dévoiler des éléments importants de l'intrigue) :En tout cas, rien que pour le style, c'est un livre à lire ! J'espère que le prix aidera à faire connaître l'auteur en France et aussi à faire traduire plus de livres estoniens en français, parce que pour le moment on ne peut pas dire qu'on ait un grand choix en la matière.

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Un autre roman de Kiviräkh, lui aussi situé dans une Estonie teintée de mythes et de légendes, paraîtra chez le même éditeur (Le Tripode) en octobre 
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Présentation sur le site de l'éditeur a écrit :Les Groseilles de novembreLire Andrus Kivirähk, c’est à chaque fois se donner la certitude que l’on va entrer de la façon la plus naturelle dans un monde proprement extraordinaire. L’Homme qui savait la langue des serpents (Le Tripode, 2013, Prix de l'Imaginaire 2014 du roman étranger) nous avait habitués à l’idée d’une époque où il était encore possible d’épouser des ours, d’avoir pour meilleur ami une vipère royale ou encore de voler dans les airs à l’aide d’ossements humains. Les Groseilles de novembre démontre un peu plus les talents de conteur de l’écrivain. Nous voici cette fois-ci immergés dans la vie quotidienne d’un village au Moyen-Âge où tout pourrait sembler normal et où, très vite, plus rien ne l’est. Les seigneurs sont dupés par leurs serfs, des démons maraudent, des vaches magiques paissent sur les rivages, les morts reviennent, le diable tient ses comptes, une sorcière prépare ses filtres dans la forêt et, partout, chaque jour, les jeux de l’amour et du désir tirent les ficelles de la vie. À la fois hilarant et cruel, farce moyenâgeuse et chronique fantastique, Les Groseilles de novembre est considéré en Estonie comme le meilleur roman d’Andrus Kivirähk.
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Excellente nouvelle! Je cherchais d'autres romans de cet auteur, tant j'ai aimé celui-ci. Une vraie merveille, particulièrement sur le fond, frais et innovant. J'y ai ressenti une ode à la forêt, un conte célébrant la nature et sa relation avec l'homme d'antan, avant la contamination par les missionnaires, un peu comme dans la forêt des mythagos, de robert Holdstock, en moins sérieux. Cependant, ayant lu le fameux blockbuster de Tim Willock juste avant, essentiellement basé sur l'action et le grandiose, ça m'a fait un bien fou de revenir à quelque chose de moins cinématographique, et de sentir davantage de construction et d’originalité dans le scénario. Le contexte historique de "La Religion" est fabuleusement restitué, mais on sent que c'est du cinéma, et que tout est méticuleusement calculé, alors qu'ici, l'auteur parle de ce qui le touche au plus profond de lui-même, son peuple et ses origines, et qu'il cherche à faire partager son amour des valeurs estonniennes ancestrales. Bien sûr le livre n'est pas parfait, mais l'univers en question est si bien rendu, l'humour bien pesé et l'histoire si surprenante que j'aimerais beaucoup lire d'autres ouvrages de cet auteur dont on dit tant de bien sur le net, mais dont un seul ouvrage est disponible en français.Je me réjouis de lire ces histoires de groseilles! Merci pour cette annonce, c'est une excellente nouvelle.
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Les Groseilles de novembre approchent, a priori. Je suis assez impatient, je dois dire !EDIT : Hiii, ça paraît même le 9 octobre, donc vendredi !Il y a une vidéo de 11 minutes sur la page du livre sur le site de l'éditeur (lien deux lignes plus haut) avec une interview de l'auteur.
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Le 09 octobre c'est aujourd'hui, jeudi.Tybalt a écrit :Les Groseilles de novembre approchent, a priori. Je suis assez impatient, je dois dire !EDIT : Hiii, ça paraît même le 9 octobre, donc vendredi !Il y a une vidéo de 11 minutes sur la page du livre sur le site de l'éditeur (lien deux lignes plus haut) avec une interview de l'auteur.

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Oh ! En effet.Bon ben, c'est encore mieux.Zut, j'aurais pu tenter de le trouver aujourd'hui, du coup. Bon. Demain, alors.EDIT le 26 : trouvé, lu et beaucoup apprécié ! Je crée un sujet à part pour en parler plus en détail.
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Lu, découvert grâce à Elbakin. Et je dois bien dire "merci", parce que j’ai adoré !
Bon, il faut dire qu’un livre fantasy/historique qui se passe dans un pays du Nord dont on entend peu parler, il partait déjà avec une longueur d’avance pour moi. Mais c’est tout de même plein de bons points : une belle écriture fluide et plaisante à lire, des personnages bien construits et attachants (Hiie, que j’ai aimé son évolution !), un peu d’humour, et surtout la découverte d’histoires d’un pays dont je ne connais pas grand-chose.Je rejoins un peu l’avis de Tybalt :Mais ça n’a pas gâché mon plaisir de lecture. Et évidemment, Les groseilles de novembre est sur ma liste d’achats. 

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Excellente nouvelle, cette réédition poche ! C'est bon signe, ça veut dire que le grand format a fait de bonnes ventes, et le poche va permettre à un public différent de le lire. Je n'ai pas fini de l'offrir autour de moi, ce livre...
Du coup, si tu te sens d'en dire deux mots ici pour le faire découvrir à ceux qui ne le connaissent pas...justi a écrit :Beaucoup de choses m'y ont fait penser à Léo Perutz, un écrivain (un génie ?) dont on parle aussi trop peu.

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Je ne sais pas très bien s'il faut que je le fasse ici, dans le fil, au risque d'être hors-sujet ou s'il serait utile de créer un topic dédié.Du coup, je vais mettre ce que j'ai écrit sur le sujet ici, en spoiler, pour ne pas encombrer. S'il faut le déplacer, no problem.Tybalt a écrit :Du coup, si tu te sens d'en dire deux mots ici pour le faire découvrir à ceux qui ne le connaissent pas...
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