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Gillossen a écrit :
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Son prochain roman, pour novembre, a l'air bien barré aussi. ;)
A hitman, a hooker, a homosexual kid, and a hobo suicide make the ultimate prison break...escape from Hell itself! But when news of their attempted escape gets out, the souls of the damned are transformed into a rioting mob, and all Hell truly does break loose. It's Escape from New York meets Jacob's Ladder, by one of fantasy's rising stars.
Je dois recevoir les épreuves d'"Evadés de l'Enfer" cette semaine ! :)Mise à jour :arrow: La critique de Gillossen

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Ayant adoré Vélum et Encre dans le genre expérience littéraire extrême, je suis assez partante pour une nouvelle expérience Hall Duncan. Je l'ai ajouté sur ma shopping liste :lol:

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Et en cherchant des info complémentaires je suis tombée (sur le site du Cafard Cosmique pour ne pas le nommer B) ) sur une interview très intéressante de l'auteur présentant ce livre. Du coup je l'ai commandé. :sifflote:L'auteur annonce en particulier qu'il est en train d'écrire la suite et qu'il y aura ensuite un troisième tome.

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Bon je l'ai reçu hier et illico commencé.Mais en ce moment je suis en plein mood du mois de novembre, mood genre fatiguée, maussade, moral dans les chaussettes... :( Et on ne badine pas avec le mood du mois de novembre, t'as envie que d'une chose te mettre au coin du feu, bien au chaud enroulé dans une couette avec le chat qui ronronne sur ton ventre, un bol de chocolat chaud et un livre qui fait du bien (sauf que je n'ai ni chat ni cheminée :sifflote:). Tout ça pour dire que mon mood du mois de novembre a trouvé ce livre beaucoup trop sombre et déprimant et n'a pu en supporter que 50 pages avant de faire une sorte de rejet épidermique. Je l'ai donc laissé tomber, je vais attendre d'être dans un mood plus adéquate pour le lire...

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C'est un roman rapide, très rapide... Ça va vite, très vite, je n'ai pas eu l'impression de la moindre pause dans ce livre. Ça se lit facilement, pas prise de tête (hormis la réflexion d'un copain : "C'est parce qu'il est homosexuel qu'il va en enfer?" effectivement.... ) :mellow:

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Ça se lit facilement, pas prise de tête (hormis la réflexion d'un copain : "C'est parce qu'il est homosexuel qu'il va en enfer?" effectivement.... )
Je ne sais pas si j'interprète bien la phrase dudit copain, mais Hal Duncan est homosexuel et parle énormément et ouvertement de ça dans ses livres. Je n'ai pas lu Evadés de l'Enfer, mais je pense qu'il faut prendre cet aspect de l'histoire avec beaucoup d'ironie ;)Sans compter le rapport du monsieur avec la religion et donc le concept d'enfer et de paradis. ;)

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Je vais le lire en février. J'ai vu de bons retours globalement dessus et je ne connais pas encore Duncan. Merci pour la précision Merwin, ça donne un pré-éclairage intéressant à la lecture ^^

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Un peu en retard, mais bon.j'ai adoré ce livre, Hal Duncan a écrit un court récit qu'on lit en une soirée, simple, avec beaucoup d'auto-dérision et sans se prendre au sérieux, et pourtant c'est génial, ça fait rire, parfois même réfléchir, ça peut prendre aux tripes...Comme un film de série B américain, mais avec une toile de fond intelligente...Pour répondre à plus haut: dans la religion chrétienne on considère que le suicide et l'homosexualité sont des péchés, ce qui mène donc directement en enfer... Même si on est plus souples avec l'homosexualité aujourd'hui....Et puis si le message de l'auteur se voulait homophobe, il n'aurait pas fait de Matthew un personnage principal....

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Je crois que ça fait bientôt dix ans que ce bouquin traine dans ma biblothèque. J'ai commencé à le lire en début de semaine et vient de lire les dernières pages.
Eh beh, c'était bien cool ^^ Un bon petit film d'action, bien orchestré par le sieur Duncan (notamment une certaine narration qui commence discrètement par une ou deux phrases en plein texte, avant de nous rendre compte que ça cache bien plus que ça)
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J'ai aimé, c'était cool et savoureux ! Ce qui peut paraitre bizarre, notamment vu la dureté de ce que peuvent subir certains au début (Belle, par exemple). Mais bon on est en Enfer, donc il faut s'y attendre. Et puis Hal Ducan ne tombe jamais dans le vice de certains auteurs quant à la manière sexuelle/envieuse de décrire certains sévisses.

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Je relis régulièrement ce roman quand j'a besoin d'une lecture courte sans me prendre la tête, à chaque fois j'y trouve un défoulement jubilatoire plus qu'efficace.