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Merci pour cette critiqueAvec "l'appat" Jaworski, je me suis précipitée sur le livre...excellent!et je l'ai laissé tomber au cours du 3 ème récit....j'ai bien pensé qu'il était difficile de faire suite au sieur Jaworski,j'ai essayé de poursuivre... mais je m'endormais dessus....Je suis ravie du renouveau d' intérêt occasionné par ta critique!et de la curiosité induite pour le texte de Kloetzer ! (sur ce coup, j'ai revérifié l'orthographe! )
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Je l'ai fini hier soir, et de très bons textes dans l'ensemble. Déçu par celui de Catherine Dufour (j'ai jamais été pris dans le texte) et Rachel Tanner (dommage c'est bien écrit, mais trop de reprises de l'histoire de Jeanne d'Arc), après des bons et très bons textes , mais la qualité est là.C'est Julien d’Hem qui m'a sans doute le plus impressionné dans l'écriture, ça se lit véritablement en un souffle, impressionnant. :)Et découverte de Jean-Philippe Jaworski, magnifique aussi, j'ai acheté Janua vera, hâte de le lire désormais. 
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J'en suis à la moitié du recueil et pour l'instant mes impressions sont plutôt mitigées, autant les récits de Jean-Philippe Jaworski et de Lionel Davoust sont bons, autant ceux du couple Belmas, de Rachel Taner et de Maïa Mazaurette ne sont pas à la hauteur.Concernant Jean-Philippe Jaworski sa nouvelle nous conte un événement du vieux royaume, c'est la première fois que je le lis et je dois dire que le style fouillé et recherché de l'auteur accentuent l'impression de réalité, l'histoire tient la route et les personnages sont tout en niveau de gris qui contribuent à crédibiliser le texte. Du coup il est prévu qu'un exemplaire de Janua Vera disparaisse prochainement d'une librairie ;)Pour Rachel Tanner, j'ai au début été convaincu par l'écriture rapide (même si certains mots utilisés paraissent quelque peu anachroniques) les descriptions efficaces et sans fioritures, le problème tient ici à la construction de l'histoire plutôt brouillonne, le fait est qu'on s'attend au début à quelque chose d'original lorsque l'on lit la première moitié du texte, mais la deuxième moitié balaye est simpliste au possible, et la fin est décevante, sans surprise. A suivre donc.Pour la nouvelle du couple Belmas, ce récit se veut construit comme un conte avec des mini-chapitres durant parfois à peine une demi-page. Les problèmes ici sont multiples, l'histoire est incroyablement banale, dénuée de surprise quelconque. Le style adopté donne constament l'impression qu'on assiste à un résumé d'un autre roman. Dommage.Pour le récit de Maïa Mazaurette, celui-ci parait intéressant au début, l'écriture étant plutôt fluide. C'est la deuxième partie qui m'a géné et que j'ai pour ma part trouvé peu crédible. A noter qu'une petite révélation arrive à la fin et surprend quelque peu le lecteur, sans pour autant le marquer. Avis mitigéAvec l'impassible armada, Lionel Davoust ne m'a en revanche pas déçu. Cet auteur écrit vraiment très bien et le style adopté permet au lecteur de rentrer dans le récit facilement, c'est fluide et les dialogues restituent parfaitement l'ambiance de crainte qui règne durant tout le récit. Concernant l'histoire celle-ci rappelle quelque peu le mythe des sirènes d'Homère mais remplace lesdites sirènes par la glace. Le récit pourrait se ranger dans le genre "horreur-fantasy", c'est très original en plus d'être bien mené. Un auteur à suivre
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Rebelote, si je puis dire, le mois prochain !
« L'enchanteresse devina que le sorcier ne se laissait pas abuser par tous les charmes hallucinatoires ; derrière le voile chatoyant de la fantasmagorie, il percevait la réalité première de l'île, et il se déplaçait en fait sur le court trajet menant de la grève à la demeure de sa cible. Il traversa les landes aux tourbières dangereuses ; il s'enfonça dans les bois enchantés en trébuchant sur les racines, mas sans marquer la moindre hésitation. » Réalisée en partenariat avec les Imaginales, le festival d'Épinal où le meilleur des auteurs de la fantasy française et mondiale se retrouve chaque année, Magiciennes & Sorciers s'inscrit dans la lignée de Rois & Capitaines, salué par une critique enthousiaste qui y a vu « sans doute la meilleure anthologie de fantasy francophone parue à ce jour » (ActuSF). Autour de l'un des grands thèmes du genre, cette seconde anthologie a convoqué les maîtres de la fantasy épique − et quelques révélations issues de la nouvelle génération −, victimes des sorts les plus puissants. Magicienne du « Vieux Royaume » ou sorcière basque, femme humiliée vengeresse ou victime des forces du Mal, sinistres Moires de la famille Tengelli ou « chiens rouges » revenus d'entre les morts, ils sont tous là... Entrez dans les mondes fascinants de Magiciennes & Sorciers !Au sommaire : Pierre Bordage, Charlotte Bousquet, Fabien Clavel, Lionel Davoust, Jean-Claude Dunyach, Laurent Gidon, Julien d'Hem, Jean-Philippe Jaworski, Maïa Mazaurette, Sylvie Miller, Justine Niogret, Sire Cédric, Rachel Tanner, Philippe Ward, Érik Wietzel. L'Anthologiste :Critique littéraire, essayiste, formatrice, anthologiste (on lui doit, en 2009, Rois & Capitaines), rédactrice en chef de la revue Galaxies de 1996 à 2007, Stéphanie Nicot compte parmi les meilleurs spécialistes des littératures de l'imaginaire. Elle assure depuis sa création, en 2002, à Épinal, la direction artistique du festival Imaginales.
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Lu Rois et capitaines et un bon moment de lecture, même si l'ensemble est (nécessairement) hétéroclite (encore que l'ensemble soit assez cohérent thématiquement).Je connaissais déjà Montfelone, qui figure dans la réédition de Janua Vera et qui est excellent.Les deux meilleurs textes du recueil sont à mon avis ceux de Thomas Day, concis, efficace et poétique à la fois, et celui de Lionel Davoust, à l'ambiance et à l'humour froid très biens rendus. J'ai bien aimé aussi celui de Laurent Kloetzer qui clot de manière très appropriée le recueil.Les autres vont du correct au très bon, et plusieurs auteurs sont assurément à suivre.:)Et mention spéciale à la superbe couverture.
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Critique de la nouvelle anthologie dirigée par S. Nicot, Magiciennes & Sorciers ::arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/roman/magiciennes-sorciers-1771
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Maintenant que j'en suis venue en grande partie à bout (les nouvelles c'est toujours pas mon truc) je rejoins pas mal l'opinion de Gillo, bien que n'ayant pas lu l'anthologie précédente. Sire Cédric m'a presque donné envie de céder aux sirènes howardiennes que l'on fait résonner depuis si longtemps à mes oreilles 
Et j'ai vraiment beaucoup aimé la nouvelle de Bousquet pour sa construction. Donc si comme moi vous n'aimez pas particulièrement les nouvelles mais que vous avez envie de savoir quels sont les auteurs français dont la plume pourrait vous convaincre c'est un bon moyen. C'est mieux que de se retrouver avec le livre d'un inconnu dont on n'aime vraiment pas la prose.
Et j'ai vraiment beaucoup aimé la nouvelle de Bousquet pour sa construction. Donc si comme moi vous n'aimez pas particulièrement les nouvelles mais que vous avez envie de savoir quels sont les auteurs français dont la plume pourrait vous convaincre c'est un bon moyen. C'est mieux que de se retrouver avec le livre d'un inconnu dont on n'aime vraiment pas la prose.15
Une bien bonne lecture pour ma part également. Dans un registre comique qui n'est pas trop habituellement ma tasse de thé, la nouvelle de Jean-Claude Dunyach m'a beaucoup fait rire.:)Et la plupart des textes sont d'un bon niveau, voire très bon pour certains.
J'ai rayé la seule erreur de la phrase...:pDu coup j'ai très envie de découvrir les romans de Sire Cédric.Witch a écrit :Sire Cédric m'a presque donné envie de céder aux sirènes howardiennes que l'on fait résonner depuis si longtemps à mes oreilles .
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Ca y est maintenant il me censure !John Doe a écrit :J'ai rayé la seule erreur de la phrase...:pDu coup j'ai très envie de découvrir les romans de Sire Cédric.Witch a écrit :Sire Cédric m'a presque donné envie de céder aux sirènes howardiennes que l'on fait résonner depuis si longtemps à mes oreilles .
Pareil pour Sire Cédric 
