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Ah, c'est chouette qu'il ait droit à une chronique ici, ce roman-là :) Effectivement, il tient plus du réalisme magique ou du fantastique que de la fantasy proprement dite, mais il ne manquera pas d'intéresser les gens qui avaient apprécié L'Homme qui savait la langue des serpents et Les Groseilles de novembre.
A ce qui est dit dans la chronique, j'ajoute que c'est aussi un roman comique, dont on ne sait jamais exactement si le narrateur est tout à fait fiable. Et cet humour se mêle à la mélancolie évoquée dans la chronique pour former un mélange original.
Inutile de dire que je le recommande chaudement !

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Ah ben, on aime bien le réalisme magique par ici ! :)
J'en chroniquerai même volontiers davantage si on pouvait suivre le rythme des parutions à ce niveau-là aussi.

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L'aspect réalisme magique est en effet encore plus net ici que dans les autres œuvres de l'auteur. C'est une lecture qui sort de l'ordinaire et il est rafraichissant de pouvoir se confronter à des écrivains estoniens.