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Hey sympa tous tes avis, je vais débattre un petit peu du coup :PJe pense tout l'inverse concernant les perso ! Je trouve que ce sont d'énormes clichés :D Penny et julia les clichés du genre rebelle, insoumis.Quentin le cliché de l'ado dépressif, perso que je trouve en plus sur-joué et agaçant au possibleAlice le cliché de la coincée qui ne se sait pas jolie. D'ailleurs la concernant je te rejoins tout à fait sur ton commentaire :
fausse ingénue avec des petits cols bien proprets alors que sa jupe arrive en haut des cuisses... On dirait un cosplay de film érotique !!!
A elle seule elle ajoute beaucoup de sel au petit côté pervers sous jacent de la série. Ce petit côté malsain qui me dérange perso.Elliot le cliché de l'homo en mode gaypride et sa copine le cliché de la belle de promo supérieure une peu pupute (sorry)Le tout bien sûr avec zéro subtilité.Je reviens sur le rythme bancal que tu soulignes. Tout à fait d'accord là dessus. On suit le déroulement d'une histoire et de personnages qui ne suscitent aucun attachement. Leurs relations sont navrantes comme tu le dis et il n'y a pas de fonds pour l'instant dans cette histoire. Voila, une fois de plus je suis sévère avec une série, je m'en désole un petit peu mais bon. Ce n'est que mon honnête avis. :p

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Je suis assez largement d'accord, pourtant je garde une forme de complaisance coupable pour cette série...:rouge::sifflote:Personnellement je préfèrerai que la série assume la sexualité de ses personnages (sans pour autant faire étalage comme GoT), voir Eliot et Margo sauter sur tout ce qui bouge, les couples assumer cet aspect de leur vie, mais c'est tellement mal fait... comme si il ne fallait pas en faire trop pour rester bien dans les clous. Ce qui trahi l'esprit des livres.L'avenir dira si trop de déception au fil des épisodes me font abandonner...

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Oui en fait j'ai détecté assez rapidement dans la série des trucs qui me dérangeaient et qui ne passaient pas. Plus tard en lisant les avis des personnes qui ont lu le (ou les, je ne sais même pas) bouquin, j'ai vu que le récit était cynique, sans illusion, trash et vulgaire.Je pense comme toi que si c'était assumé et bien fait cette série pourrait avoir un tout autre intérêt, après que l'on aime ou non. :)

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7 épisodes vus des Magiciens et bordel cette série est d'un frustrant ! :( :angry:Passent encore les mauvais acteurs, de ceux qui surjouent (la blonde) ou de ceux qui ne jouent pas du tout (Quentin, le héros, pour le coup c'est un peu dommage), cela reste de toute façon assez subjectif, mais bordel ce découpage foiré, cet agencement de scènes bordélique, ces choix de sous-intrigues hasardeux (on s'en fout de ton fucking frère Alice, mais vraiment !!!).Comme Alana et Hiémain, je continue à regarder la série parce que j'ai envie de l'apprécier, j'ai envie de l'aimer car je sens un véritable potentiel derrière le potentiel caca qui s'expose à mes yeux. Il y a quelque chose dans cette histoire, le concept de l'école de magie, des jeux magiques, des devoirs magiques et des profs magiques ça me fait kiffer et je pense que je ne suis pas le seul. Mais tout est expédié comme si on voulait tout nous montrer de peur qu'arrivé au dernier épisode les showrunners aient oublié un truc. Sauf que du coup on a constamment l'impression de matter un grand trailer de 42 minutes à chaque épisode. Tout va très, beaucoup trop vite, le show ne prend jamais son temps, il est du coup impossible de s'imprégner de l'univers, de son atmosphère ou de ses règles. Le jeu magique par équipe de l'épisode 5 (ou 4, ou 6, bref, le jeu magique par équipe) ? Ben on s'en carre des règles, la scène sert juste à Quentin, le plus mauvais acteur de la planète, pour faire un truc un peu cool que le spectateur ne peut de toute manière pas comprendre. Le mentor du cool guy ? Ben on le voit une fois, on se dit que tel un Maugrey Fol Oeil il va permettre à l'intrigue de prendre une direction un peu cool, ben non, il vient, il dit au cool guy "T'es un Voyageur mec, ça peut être dangereux car tu pourrais te prendre un jour une montagne dans la gueule. Du coup va te faire un tatouage d'ancre sur le bras." et puis il se barre tranquilou. Voilà pour le mentor, j'espère qu'il touchera pas sa prime de tutorat lui.TOUT est comme ça dans The Magicians, tout va trop rapidement pour une série qui respire quelque chose d'autre de par l'ambiance qu'elle pourrait dégager. Cet épisode 7 qui se passe en Antarctique avait lui aussi (et comme toute la série) un potentiel énorme. On aurait pu passer plus de temps à essayer de comprendre en quoi le sort pour clouer une vis à une planche était aussi compliqué à réaliser, on aurait pu passer plus de temps à développer une tension dramatique quand Alice et Quentin se retrouvent à poil dans le froid pour ensuite aboutir à ce que l'on sait
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. Mais l'intrigue qui est faite en vrais poils de bas-les-steak préfère expédier le moment en 30 putain de secondes ! 30 putain de secondes !!!!!!! Marolité, etre un showrunner pourri c'est vraiment tout un art... :giveup:L'avantage c'est que du coup j'ai très envie de lire les bouquins, tellement l'histoire a l'air vraiment cool, mais quel gâchis mes aïeux... :angry: :angry: :angry:

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Je plussoie ! La frustration devant le potentiel de l'histoire est ce qui ressort du tout.Surtout que cet épisode en Antartique, et d'abord le voyage pour y parvenir, est décrit dans le livre comme quelque chose de âpre, d'éprouvant. Ici, le ressenti du voyage est expédié en un plan et deux remarques. J'aurai bien aimé une séquence de plans genre "le peuple migrateur" pour donner une idée de ce passage.Mais non, tout est expédié... Et à côté de ça, des back-stories pourries sont rajoutées pour qu'on ne perde pas de vue les autres persos qui ne servent à rien (oui, c'est de vous dont je parle, Eliot et Margo), ou qui font du surplace (Julia la face d'huître).

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Bon au final je trouve la série beaucoup plus sage que les bouquins niveau sexe, on est plus au niveau de Grey's Anatomy que de GoT. Tout a déjà été dit, le casting de base me plaisait bien mais ça joue mal, c'est mal dirigé, les personnages popent de nulle part pour repartir aussitôt, problèmes de rythme, des sous-intrigues inutiles (le père de Quentin, Kady...), Elliot et Margo qui semblent échappés de Glee ou Ugly Betty... Après j'ai envie de continuer, je veux au moins voir la seconde partie du premier bouquin. Je me suis bien enquillé presque 3 saisons de Marvel Shield en attendant une étincelle (en vain) alors je peux être endurant.

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Episode 8 : enfin ça bouge, cet épisode est largement au-dessus du précédent, peut-être le meilleur depuis le premier...(Notons que Margo est absente, dire qu'il y a un lien de cause à effet, je ne m'y risquerai pas mais je gagerai que ça pèse dans la balance.)Alors, tout n'est pas excellent, loin de là, Julia est toujours aussi chiante dans son coin, et surtout, Alice est terriblement mal écrite. Oui, écrite, ses réactions sont totalement débiles par rapport à l'épisode précédent, et au final, elle cessera son comportement idiot à la fin de cet épisode... Un épisode où le personnage fait la girouette pour rien, quoi. Et l'actrice n'arrange rien, ne donnant pas vraiment d'émotion à son personnage.Côté héros, Quentin commence enfin à s'en tirer un peu mieux et à prendre des décisions, se plante parfois mais ne déprime plus. Un bon point pour lui, pour une fois il pige plus vite qu'Alice.Si Margo est absente, Eliot est sérieusement impliqué dans le plot de l'épisode et il y gagne tout ce qu'il faut : passif, émotion, implication, rien de tel que de mettre un personnage à nu et de lui briser le cœur pour le rendre intéressant. Et l'acteur se débrouille très bien, il faut dire que jusqu'à présent c'était à l'écriture de son personnage qui pêchait, et pas son jeu d'acteur, pas comme d'autres, qui cumulent les deux tares (suivez mon regard...).Penny, bien qu'au centre de l'histoire, est quand à lui relégué au rang de boudeur professionnel, mais heureusement, Alice et Quentin se fichent désormais de son attitude de drama queen/bad boy.A noter qu'on reprend davantage les personnages du corps professoral : le doyen, la prof principale et surtout, celle que les lecteurs connaissent bien, la fameuse intervenante (qui ressemble un peu trop physiquement à la guérisseuse principale, je les confondais parfois).C'est là que la série change beaucoup par rapport au livre en dévoilant une révélation fracassante qui concluait le premier tome, et en plus apporte un twist terrible qui n'était pas dans le roman. Bon sang, j'avoue que j'ai été sciée de voir ça ! :blink:Rien de tel que de mettre les personnages en danger pour donner du sel à une situation, l'épisode reçoit donc une bonne note dans l'ensemble, mais....Il y a toujours ces problèmes de rythme, en particulier les passages sur Julia, totalement déconnectés du reste. Une paresse dans la mise en scène bien proprette (en dépit de deux passages un peu gores, mais très brefs). On n'a toujours pas d'impression de groupe, de classe, d'université. Un élève apparait sur tel plan avec une phrase à dire, comme si il partageait les études des héros depuis le début, mais c'est la première fois qu'on le voit... On voit l'économie de moyen dans la scène de cours, quand la caméra est posé derrière deux épaules d'élèves pour suivre la prof. Au plan suivant, la salle est filmée en entier, quand les élèves sont partis... Les figurants, ça coûte cher, apparemment. Pourtant, le budget effets spéciaux est pas trop énorme pour le moment... La prod le réserve t-il pour Fillory ?Fillory qui devient le sujet principal des discussions, et qui sera vraisemblablement au centre du prochain épisode puisque la bande-annonce montre les héros aller enquêter dans la maison de l'auteur des Chroniques...

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Comme l'épisode 4, qui se déroulait dans un asile psychiatrique, cet épisode 9 se centre sur un seul lieu et apparait comme un épisode isolé, car même si beaucoup d'informations sont apportée sur la création des romans de Fillory, le schmilblick n'avance guère. C'est l’épisode de la maison hantée.Note : C'est marrant que des thèmes reviennent assez dans les séries télés américaines, comme l'asile, la maison hantée, le retour au lycée ou le motel pourri... C'est comme des classiques que l'on va resservir au spectateur à la sauce de la série.On va commencer sur la partie concernant Julia, toujours en décalage du reste, et ce n'est pas un échange épistolaire entre elle et Quentin au début qui va y changer quelque chose. On en a toujours rien à faire d'elle. Son nouveau mentor, Richard, est donc un conseiller spirituel, magicien passé par l'école. Il cherche à lui montrer que la magie peut être vécue au quotidien mais ne change pas la vie.
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Un peu facile comme sujet pour secouer Julia dans son parcours. Ce qui cloche avec le fil rouge de Julia, c'est qu'on a droit qu'à moins de 10 minutes par épisode centré sur elle, et on a donc du mal à apprécier son évolution, parce que c'est entrecoupé avec la trame principale. Les deux trames se parasitent l'une l'autre. Le choix des romans consistait à ne dévoiler le parcours de Julia que dans le 2e tome, avec une série de chapitres flash-back qui alternaient avec l'intrigue centrale. Cela permettait de garder le lecteur en haleine, qui voulait savoir ce qui était vraiment arrivé à l'héroïne pour changer autant, tout en suivant les péripéties du présent : double effet d'attente et d'impatience.Ici, malheureusement, pour que Julia ait son "temps d'antenne", on a un effet de dilution des intrigues : ça ne marche pas.Quand à l'intrigue principale, elle est centrée sur seulement 4 protagonistes : Quentin, Alice, Penny et Eliott se rendent dans la demeure de l'auteur des Chroniques de Fillory. Ils ont en effet un indice pour trouver un artefact permettant de se rendre dans le royaume magique.Et on se retrouve dans un épisode à la Scream ou autre film d’horreur, les protagonistes étant séparés et cherchant à échapper aux intention maléfiques de la demeure... Mais aussi à rassembler des information, puisqu’ils assistent à des scènes du passé et découvrent que les mystères autour des romans de Fillory... ne concernent pas seulement Fillory.
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Accrochez vos ceintures, on se croirait dans un épisode d'Esprits Criminels niveau perversion humaine.Rien à dire sur la mise en scène de cet épisode avec fantôme, qui colle à celles du genre, mais ne marque pas vraiment.Au final, un épisode d'horreur assez sympathique dans son genre, mais guère plus. En fait, le thème est abordé assez légèrement, bien que le sujet ne soit pas du tout léger !! On a une sensation assez désagréable et malsaine au sortir de cet épisode, ce qui devait être le but. Mais voir les héros rentrer au QG à la fin et reprendre leur discussion est déstabilisant.Le seul acteur à tirer son épingle du jeu, c'est celui d'Eliott, qu'on voit encore très marqué par l'épisode précédent. Penny est comme toujours odieux et cela devient lassant. Quand à Quentin et Alice, rien à dire par rapport à d'habitude, hélas. Quentin est plus dynamique, mais l'acteur n'apporte pas grand chose, et la fibre morale d'Alice ne parvient pas à atteindre nos cœurs.Sinon, je me réjouis de voir que Margo est toujours absente.

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J'ai bien aimé cet épisode même si j'ai encore plus de doutes sur la tenue dans la durée car une des révélations importantes sur l'auteur est donnée ici beaucoup plus tôt que dans le bouquin. Mais l'intégrer dans un épisode maison hantée, pourquoi pas.@alana : j'ai l'impression que d'autres paragraphes de ton message mériteraient aussi d'être mis en balise spoilers

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@ Curunir : J'espère que ça convient mieux !Moi aussi j'ai finalement assez apprécié l'épisode. C'est peut-être le meilleur de la série, pour le moment. Il faut dire que la tension et les infos qu'ils apporte sont assez conséquents !J'ai bien aimé aussi le moment où Penny essaie de se rappeler le passage du bouquin qu'il a lu, et où il change le mignon petit animal à chaque version (chiot, cochon, furet.... Tous trop mimi !). Un peu d'humour ne fait parfois pas de mal.

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Indeed,je confirme après visionnage de l'épisode 9 qu'il s'agit du meilleur épisode depuis le 1 selon moi. Bon après ça reste toujours un peu foutraque et au début on a un peu de mal à saisir qui sont les gamins dont les héros parlent et la différence notable entre
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L'ambiance assez sombre est comme d'habitude atténuée par une mise en scène pas toujours heureuse (vous l'avez senti la vraie menace de la soeur ?) et des explications encore une fois trop rapides et presque wtf-esque, notamment concernant
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. Franchement, j'ai énormément de mal à voir pourquoi le récit a choisi de partir dans cette direction :/La révélation sur qui est la Bête tombe également comme une soupe sur un cheveux puisque soit tu le déduis toi-même (alors qu'il reste mine de rien pas mal de possibilités)
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, soit tu attends tranquillement que Quentin (qui a pris au moins 3 cours d'arts dramatiques depuis, l'improvement est presque palpable, mais pas trop quand même) t'annonce qui est la bête au détour d'un dialogue, comme ça, pouf. Bref, un épisode qui m'a mine de rien bien tenu hier soir, même si le tout reste largement en dessous de mes attentes, j'ai le (très) maigre espoir que cela s'améliore par la suite. Et promis dès que je termine 22/11/63, j'attaque les bouquins parce que pour le coup cet épisode en dévoile VRAIMENT le potentiel ! :)

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Guigz a écrit :Bon après ça reste toujours un peu foutraque et au début on a un peu de mal à saisir qui sont les gamins dont les héros parlent et la différence notable entre
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L'ambiance assez sombre est comme d'habitude atténuée par une mise en scène pas toujours heureuse (vous l'avez senti la vraie menace de la soeur ?) et des explications encore une fois trop rapides et presque wtf-esque, notamment concernant
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. Franchement, j'ai énormément de mal à voir pourquoi le récit a choisi de partir dans cette direction :/
Pour le coup c'est limite plus développé dans la série que dans le bouquin... mais je trouve pas ça spécialement WTF. Ou alors si j'apprécie ce côté WTF et je trouve intéressant l'impact sur Quentin qui idolâtrait l'auteur,
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En fait rajouter cela à l'intrigue ne me dérange pas en soi, ce qui m'embête c'est qu'on ne m'explique pas l'intérêt qu'il y a pour le récit de faire de Plover
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On aurait pu faire sans mais
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Guigz a écrit :Indeed,je confirme après visionnage de l'épisode 9 qu'il s'agit du meilleur épisode depuis le 1 selon moi. Bon après ça reste toujours un peu foutraque et au début on a un peu de mal à saisir qui sont les gamins dont les héros parlent et la différence notable entre
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Parce que Martin et Jane
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Je ne l'avais pas du tout compris jusque là, tu l'as déduit avec cet épisode ?

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Non, non, je crois que Guigz s'est mal exprimé, Martin et Jane sont deux enfants de la fratrie Chatwin, héros des romans de Fillory.
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Je viens de regarder l'ep 10 et c'est quand même complètement what the fuck ! xD Je me demande comment les acteurs peuvent croire en ce qu'ils font tellement c'est chelou ! ^^ Vraiment cette série est étrange pour moi.

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Qu'as tu trouvé d'étrange dans cet épisode? Il paraissait assez clair, du moins de mon point de vue de non lecteur du livre (lecture prévue... cela viendra).Je dois dire que j'aime assez et attend les épisodes avec plaisir. Les critiques concernant le jeu d'acteur du personnage principal ne me paraissent pas si fondées... quand on ne le connait que par la série on a juste l'impression qu'il souffre d'Asperger, dans une forme légère, ce qui ma foi, est assez cohérent avec ce que l'on nous dit du personnage. Quand on l'observe à travers ce prisme le jeu est plutôt cohérent.