Oui, je sais...Gillossen a écrit :On peut toujours lire les deux aussi, sinon. ;)Dieu (ou qui vous voulez...) sait qu'on aime China Miéville ici.
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Pour ceux qui n'ont pas comprisMerwin Tonnel a écrit :Non, les championnats du monde sont finis maintenant...Cédric Ferrand a écrit :Oh l'autre, et puis faire preuve d'éclectisme, aussi ?

Bon sinon je suis complètement hors sujet"nathalie, est ce que tu es pour l'éclectisme. Ben c'est à dire, l'écletischme, j'en ai fait quand j'étais jeune, du saut en hauteur tout ça, mais maintenant plus du tout.."


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Rector “Wreck ‘em” Sherman was orphaned as a toddler in the Blight of 1863, but that was years ago. Wreck has grown up, and on his eighteenth birthday, he’ll be cast out out of the orphanage. And Wreck’s problems aren’t merely about finding a home. He’s been quietly breaking the cardinal rule of any good drug dealer and dipping into his own supply of the sap he sells. He’s also pretty sure he’s being haunted by the ghost of a kid he used to know—Zeke Wilkes, who almost certainly died six months ago. Zeke would have every reason to pester Wreck, since Wreck got him inside the walled city of Seattle in the first place, and that was probably what killed him.Maybe it’s only a guilty conscience, but Wreck can’t take it anymore, so he sneaks over the wall. The walled-off wasteland of Seattle is every bit as bad as he’d heard, chock-full of the hungry undead and utterly choked by the poisonous, inescapable yellow gas. And then there’s the monster. Rector’s pretty certain that whatever attacked him was not at all human—and not a rotter, either. Arms far too long. Posture all strange. Eyes all wild and faintly glowing gold and known to the locals as simply “The Inexplicables.” In the process of tracking down these creatures, Rector comes across another incursion through the wall — just as bizarre but entirely attributable to human greed. It seems some outsiders have decided there’s gold to be found in the city and they’re willing to do whatever it takes to get a piece of the pie unless Rector and his posse have anything to do with it.
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sortie poche en mai du 1er tome Par contre, j'ai ouï dire qu'Eclipse était en difficulté. Espérons que ça bne remettra pas en cause les sorties suivantes...Petit HS : j'ai vu dans la même maison le titre "chroniques de l'armageddon". Quelqu'un sait ce que ça vaut ? En tout cas, les couv' de cet éditeur sont sympas.
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J'ai profité des dernières vacances pour relire Boneshaker (qui ne m'avait pas vraiment emballé à l'époque) pour pouvoir lire les volumes successifs. Mon verdict sur ce premier tome n'a pas changé.Par contre, j'ai trouvé la suite meilleure (voire même allant crescendo). Clementine est déjà mieux troussé, l'intrigue plus sympathique et j'ai eu plus de feeling avec les personnages. J'ai aussi lu une nouvelle (fantastique / horreur) qui se passe juste après et la forme courte convient bien à l'auteur.Enfin Dreadnought avec sa course poursuite au travers des Etats-Unis m'a vraiment bien plu et je l'ai dévoré rapidement. Il y a un petit coté far-west au ton du livre qui est très sympathique. Par ailleurs, l'auteur continue d'approfondir son univers et le tout fait un peu moins carton pâte (ce n'est pas encore tout à fait ça mais au moins on a envie d'en savoir un peu plus sur le pourquoi du comment de ces zombies).Je vais sans doute continuer avec la suite dès que j'aurais un peu de temps libre.
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Je viens de le finir. J'dois confesser en premier lieu que je n'aime pas, mais vraiment pas les zombies (zombies tout court hein ? Pas ceux du livre). Mais j'ai adoré ce roman. Déjà l'univers est bien conçu et bien ancré dans notre histoire, et la marque de l'uchronie est bien nette (j'avais pensé à "la scission uchronique" mais finalement non
). Le roman démarre doucement mais dès l'instant où Briar se retrouve de l'autre côté du mur, l'ambiance se pose et on commence à frissonner avec elle. J'ai particulièrement aimer le traitement apporté aux Pourris, où tout est quasiment sonore, les grognements, les bruits de pas, etc. On les entend littéralement arriver et pour ma part ça m'a donné des sueurs froides (bon peut-être pas à ce point). Bref ils présentent le côté effrayant mais pas le côté gore, pour le coup ça change de la mode actuelle et je trouve ça sympa. Quand ils sont visibles, on se retrouve plus dans de l'action que dans l'horreur.Autre bon côté dans l'ambiance, l'ambiance visuelle. Une semi-obscurité permanente, teintée du jaune maladif du Fléau. Les bâtiments délabrés, rongés. On se croirait presque dans du Post-Apocalyptique.Le seul côté négatif se trouve pour moi dans les personnages. On est pas dans la caricature mais on est certainement dans le cliché.Bref c'est avec plaisir que je lirais le second tome lorsque Panini Books le publiera (ou re-publiera plutôt).

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Lu Drzadnought entre deux lectures plus consistantes et assez sympathique.Un peu terne au début, mis à part le plaisir pour l'amateur de western de se plonger dans l'ambiance d'une Amérique déchirée par une guerre qui se prolonge.A partir du moment où Mercy découvre les premiers , pour arriver à une deuxième parite dans le véhicule qui donne son nom au livre excitante.La fin fait le lien avec Boneshaker, il est agréable Du coup j'attaque la suite.Par curiosité, comment ça a été traduit en français, sap (la drogue évoquée dans Boneshaker) ?
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John si c'est bien ce à quoi je pense c'est le suc-citron (y'avait du lemon en vo ?)Pas encore attaqué Clementine, donc j'ai le temps d'ici que Dreadnought sorte en vf 

Si l'enfer est ici alors autant s'en faire, si l'enfer est ici alors autant s'en faire, s'en faire un paradis. --- Shaka Ponk