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Je suis en train de terminer le tome 2 de la Science du Disque-Monde et ça y est, Pratchett s’est définitivement hissé en tête de mon panthéon personnel d’auteurs fantasy (et d’auteurs tout court d’ailleurs). :DAvec ses deux co-auteurs sur la Science, il a réussi quelque chose d’inédit, quelque chose d’énorme, quelque chose qu’on ne reverra plus jamais. Il a réussi à m’intéresser à la science. Nan, je plaisante (presque). Il a su expliquer la science de notre monde en prenant comme base l’univers le plus biscornu, le plus improbable qui soit. Inventer le narrativium, l’atome des histoires, il fallait le faire. Et ça marche. C’est même carrément cohérent. On finit par croire qu’on est vraiment le fruit d’expériences foireuses des mages du Disque-Monde et on finit par suivre avec autant d’avidité leurs aventures que les chapitres scientifiques.On retrouve l’humour déjanté des annales, c’est plus qu’intelligent, bien écrit… Que demande de plus ?