qui n'ont pas les clés en fantasy
Quelles sont les clés en fantasy ?
Il y a une paresse des lecteurs qui préfèrent prendre un livre anglo-saxon médiocre plutôt que de chercher un bon titre français.
« Il faut des auteurs exceptionnels »
Fabien Lyraud a écrit :Je renvoie à ce sujet (celui du temps passé) à l'ancien mais passionnant Chasseurs de chimères, publié en Omnibus
On était dans la SF ancienne, là. Mais je suis prêt à parier qu'il y a eu à la même époque quelques œuvres relevant de la fantasy mais qu'il faudrait aller rechercher. Callidor a prévu quelques surprises dans le domaine.
que la frontière entre les genres n'existait pas vraiment jusqu'à l'arrivée de la production anglo-saxonne.
Joxer007 a écrit :qui n'ont pas les clés en fantasy
Quelles sont les clés en fantasy ?
Mais c'est justement mon argument : que la frontière entre les genres n'existait pas vraiment jusqu'à l'arrivée de la production anglo-saxonne. Dans l'Omnibus en question, des textes (superbes, au demeurant) comme Les dieux rouges, de Jean d'Esme, paru en 1922, ou Le peseur d'âmes, d'André Maurois (eh oui !), paru en 1931, ne seraient classés par personne en SF, aujourd'hui.
Gwendal a écrit :Pour ceux qui ont Twitter (ce n'est pas mon cas mais on m'a filé l'info) le thread de Samantha Bailly est intéressant à ce sujet ICI. Il y a des choses dont je n'avait pas idée j'avoue.
Tous les auteurs Anglo-saxons n'ont pas des cachets de nabab à leurs débuts j'imagine avec une serie télé tiré de leur oeuvre.
Arckhangelos a écrit :D'autre part, même s'il y a un risque, je pense que traduire un auteur étranger à succès, il est moindre qu'un auteur maison pour la raison simple que tu sais que cela a déjà marché ailleurs et le travail en amont de la publication (tous les aller-retour éditeur/auteur) sont plus limités (il y en a quand même entre le traducteur et l'éditeur). Ca coûte peut-être plus, mais c'est rattrapé par le risque. D'autre part, la rémunération de la traduction, il me semble se fait au forfait et non à la quantité de vente.
Et si on doit citer les auteurs français talentueux, j'aimerais bien qu'on n'oublie pas les autrices : Sylvie Denis, Catherine Dufour, Estelle Faye, Nathalie Henneberg (dont Les dieux verts a été publié pour la 1ère fois en 1961), Sylvie Lainé, Lea Silhol, pour ne citer qu'elles, ont un vrai talent et un style très personnel. Et ce n'est pas que j'oublie Jeanne-A Desbats ou Christine Renard, mais elles écrivent ou ont écrit plutôt de la SF, ou du fantastique, comme d'ailleurs Anne Duguël.
Et si on doit citer les auteurs français talentueux, j'aimerais bien qu'on n'oublie pas les autrices : Sylvie Denis, Catherine Dufour, Estelle Faye, Nathalie Henneberg (dont Les dieux verts a été publié pour la 1ère fois en 1961), Sylvie Lainé, Lea Silhol, pour ne citer qu'elles, ont un vrai talent et un style très personnel. Et ce n'est pas que j'oublie Jeanne-A Desbats ou Christine Renard, mais elles écrivent ou ont écrit plutôt de la SF, ou du fantastique, comme d'ailleurs Anne Duguël.
Pour ce qui est du niveau des auteurs/autrices françaises ou de la réflexion sur le « style Européen », c’est de la belle connerie.
de la réflexion sur le « style Européen », c’est de la belle connerie.
Il y a des auteurs qui y arrivent très bien comme Marge Nantel dont le "Dans l'ombre des miroirs" est un hommage assumé à la littérature populaire française mêlant l'hommage aux mousquetaires de Dumas à des clins d'œil à Arsène Lupin le tout extrêmement bien écrit.
Benedick a écrit :Pour ce qui est du niveau des auteurs/autrices Françaises c'est de la belle connerie.
la réflexion sur le style "Européen"
Tarann a écrit :Si ce choix est basé sur son propre ressenti, il n'y aucune raison pour qu'il relève de la "connerie".
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