L'édition folio a fait quelques efforts : dans la version pocket, la police était minuscule, ce qui donnait un roman de 300 pages.
Et puis, une nouvelle traduction visiblement.

C'est plutôt normal : le personnage est fascinant mais devient très vite antipathique.
En fait, au-delà du personnage, c'est plutôt les réactions de Térisa à son égard qui m'ont vraiment parfois donné en vie de refermer le bouquin. (
Comprendre que j'étais bien content par exemple de voir Géraden les déranger ! 
Mais ce que tu soulignes dans ta critique est effectivement à remarquer, on peut enrager de cela, mais l'auteur le gère avec doigté. Je dois être trop fleur bleue...

J'ai beaucoup aimé Artagel par contre, dommage qu'on ne le voit pas plus !

(Quoique, il me reste encore quelques pages, on ne sait jamais...)
Il faut plutôt attendre la fin du premier tome pour commencer à avoir des idées sur ce qui est possible, sur la façon de les manipuler, etc.
Ca commence à venir.

Le principe est très bien trouvé, maintenant, j'ai plus l'impression que Donaldson s'en sert avant tout thématiquement par rapport à Térisa, que pour développer un bon gros système de magie rôdé dans les moindres détails. Mais je ne vais pas m'en plaindre.
