Voilà qui fait plaisir. J'imagine que c'est surtout dû au fait que beaucoup de gens ont pu le chercher ces dernières années et le trouver épuisé.Et j'ai été plutôt surprise (en bien) de voir que le roman était en tête des ventes de poches Fantasy sur le site de la fnac ! smile.gif
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Je découvre moi aussi... Je dois dire que je ne m'attendais pas à un " pavé " de + de 600 pages, rien que pour le premier tome.
Pour l'instant, j'en suis rendu à la page 200 environ, et ça me plaît assez. C'est bizarre, mais à la lecture, j'avais l'impression de découvrir un roman des années 70 pour le style - j'aurais du mal à préciser, désolé
- alors que ça date de 1986... Mais je ne considère pas forcément ça comme un défaut. Comme prévu dirais-je, dans mon cas du moins, je ne supporte pas Erémis... Et j'attends un peu plus du système de miroirs, même s'il est vrai que l'idée est bonne. Par contre, sur un plan plus " technique ", le long passage d'explications données à Térisa avant qu'elle se fasse attaquer dans ses appartements, même si nécessaire, houla... 



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L'édition folio a fait quelques efforts : dans la version pocket, la police était minuscule, ce qui donnait un roman de 300 pages.Je découvre moi aussi... Je dois dire que je ne m'attendais pas à un " pavé " de + de 600 pages, rien que pour le premier tome. ohmy.gif Pour l'instant, j'en suis rendu à la page 200 environ, et ça me plaît assez.
C'est plutôt normal : le personnage est fascinant mais devient très vite antipathique.Comme prévu dirais-je, dans mon cas du moins, je ne supporte pas Erémis.
Il faut plutôt attendre la fin du premier tome pour commencer à avoir des idées sur ce qui est possible, sur la façon de les manipuler, etc. Je ne pense pas que tu aies déjà eu droit aux explications sur les particularités des miroirs plats par rapport aux miroirs normaux (au sens Mordant du terme)Et j'attends un peu plus du système de miroirs, même s'il est vrai que l'idée est bonne
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Et puis, une nouvelle traduction visiblement.L'édition folio a fait quelques efforts : dans la version pocket, la police était minuscule, ce qui donnait un roman de 300 pages.

En fait, au-delà du personnage, c'est plutôt les réactions de Térisa à son égard qui m'ont vraiment parfois donné en vie de refermer le bouquin. (Comprendre que j'étais bien content par exemple de voir Géraden les déranger !C'est plutôt normal : le personnage est fascinant mais devient très vite antipathique.



Ca commence à venir.Il faut plutôt attendre la fin du premier tome pour commencer à avoir des idées sur ce qui est possible, sur la façon de les manipuler, etc.


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A mesure que Teresa mûrit, elle se rend peu à peu compte de ce qui nous semble évident, et ses réactions deviennent beaucoup moins énervantes (surtout à partir du second tome).En fait, au-delà du personnage, c'est plutôt les réactions de Térisa à son égard qui m'ont vraiment parfois donné en vie de refermer le bouquin.
Ne t'inquiète pas, il réapparaît par la suiteJ'ai beaucoup aimé Artagel par contre, dommage qu'on ne le voit pas plus !
L'aspect "technique" des miroirs (en opposition thématique) est beaucoup plus poussé dans la suite de l'histoire, alors que Teresa et Geraden prendront peu à peu conscience de leurs relations particulières avec eux.j'ai plus l'impression que Donaldson s'en sert avant tout thématiquement par rapport à Térisa, que pour développer un bon gros système de magie rôdé dans les moindres détails
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Ca fait des années que j'enrage à cause de tous les romans de Donaldson qu'on trouve nulle part, alors qu'il est pour moi l'un des meilleurs auteurs du genre. Cette nouvelle réedition de L'Appel de Mordant ne peut que me réjouir. Enfin, de nouvelles personnes vont pouvoir découvrir cette petite merveille. :') (Mon pseudo est un signe je pense de mon amour pour cette oeuvre.
)Pour Thomas L'Incrédule, on peut toujours rêver j'imagine, par contre...Sinon, par rapport à ce qu'a dit Gillossen dans son dernier post: c'est donc une nouvelle traduction? Et si quelqu'un connaît les deux, elle vaut quoi vis à vis de la première?

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Je l'espère moi aussi.Cyrion,vendredi 11 février 2005, 12:27 a écrit :A mesure que Teresa mûrit, elle se rend peu à peu compte de ce qui nous semble évident, et ses réactions deviennent beaucoup moins énervantes (surtout à partir du second tome).






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Etant donné que l'édition précédente est quasiment introuvable, reprendre le découpage de l'édition anglaise aurait sans doute été plus judicieux (d'autant que les titres anglais appartenaient à un poème, ce qui ne se retrouve pas dans la version française).Sans doute pour respecter le premier découpage de l'édition francaise (même si il est malheureux). Ca permet sans doute de ne pas perdre le lecteur dans les numéros.
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Bon, je me réponds à moi-même ! :)Je reste sur un sentiment mitigé avec ce tome 2. J'avais parfois trouvé le premier un peu lent, et sans que ça soit vraiment le cas ici, on dirait que Donaldson fait parfois un peu durer les choses, notamment dans la première moitié...
Et si Géraden s'émancipe enfin de sa condition de "maladroit maladif", je trouve que c'est moins évident pour Térisa. Si "l'action" s'emballe, les personnages m'ont paru un peu en retrait, tournant en rond au bout d'un moment.Mais ça reste pas mal du tout ! 


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J'ai pas l'habitude de critiquer un roman avant la fin, mais vu que Hwi vient de remonter le sujet
Je l'ai recu ce week end en VO, et je l'ai juste ouvert pour "voir".J'ai juste eu le temps de lire les premières lignes, mais si le reste du bouquin continue comme ca, je sens que je vais bien me marrer. En tout cas j'ai un bon à priori pour la suite (enfin quand j'aurais épuisé ce que j'ai à lire avant
)


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Serait-ce ironique ?Edit:Ouf, Luigi, tant mieux si j'ai mal interprêté le sens de tes paroles !L'originalité du début est encore un autre point qui va pousser à acheter cette histoire,quand le coffret final sortira.Est-ce que quelqu'un pourrait ayant lu les deux oeuvres peut me dire si cette fausse trilogie possède, comme j'en ai l'impression, de sérieuses similitudes avec Lyonesse,dans sa narration et ses dialogues ?Si c'est le cas, je me l'achète immédiatement !J'ai juste eu le temps de lire les premières lignes, mais si le reste du bouquin continue comme ca, je sens que je vais bien me marrer. En tout cas j'ai un bon à priori pour la suite


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A mon avis, tu ne vas pas en rire longtemps.
Et je ne vois guère de rapport avec Lyonesse, après deux tomes, pour répondre à John Athan.Sinon, aucune réaction à mon avis ?
Je sais qu'on n'est finalement pas beaucoup de lecteurs, même maintenant avec cette sortie poche, mais j'aurais bien voulu confronter mon opinion. 



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En réponse à Hwi Noree
: Au niveau des longueurs et des ruptures de rythmes, je pense que le problème provient vraiment du découpage peu judicieux (pour ne pas dire complètement irréfléchi) de l'édition française. J'ignore s'il s'agissait, lorsque Pocket a sorti le texte, d'éviter de publier des ouvrages trop longs, si les trilogies étaient tellement à la mode à ce moment-là qu'il fallait absolument tout publier sous ce format, ou s'il s'agissait juste de motifs purement commerciaux. Mais il est dommage que Folio, dont la politique éditoriale est vraiment digne d'éloge par ailleurs, ait commis la même erreur. Tout ça pour dire que je pense qu'une partie des longueurs du début du roman (avant que Terisa n'arrive dans le domaine du Domne) viennent peut-être plutôt du fait que tu as dû le lire deux mois après la lecture du Miroir de ses rêves, car il n'y a pas vraiment de différence de rythme : on reste dans celui d'Orison. La différence par la suite est d'ailleurs assez marquante (avec l'attaque du domaine puis le périple de Terisa et Geraden). Au niveau des personnages, que veux-tu dire par "plus en retrait" et "tourner en rond" ? Certes, ils ont plus tendance à réagir qu'à agir, surtout dans la seconde partie mais ils restent tout de même au coeur de l'histoire. Et l'évolution de Terisa (surtout le fait qu'elle finisse enfin par refuser de se soumettre aux désirs d'Eremis) est tout de même notable
@John Attan : n'ayant pas lu Lyonnesse, je ne peux vraiment pas te renseigner sur les points communs entre les deux textes@Luigi : j'espère en tout cas que tu y prendras plaisir (mais je suis surpris, ce n'est vraiment pas le texte ayant pour but de faire sourire, en-dehors de quelques passages épisodiques)

