





Non ce n'est pas repompé d'Ursula Le Guin. Il n'y a aucun lien psychique entre les h'ros et les dragons dans son oeuvre. Par contre Anne McCaffrey a abordé le sujet dans son cycle de Pern (qui est un mélange de space opera et de fantasy). Il a été relevé aussi que la relation Fitz / Oeil de Nuit (par Hobb) ressemble a celle décrite par Paolini. Mais bon c'est le cas de pas mal de relation héros / familier (il doit d'ailleurs un vieux sujet à ce propos qui traine qq part).evanesco,mardi 11 juillet 2006, 16:54 a écrit :J'aurais seulement voulu poser une questionen ce qui concerne le lien mentale dragon/héros: je sais que c'est du repompage (Ursula K.le Guin je crois) mais je n'ai pas lu le livre en question: quelqu'un pourrait-il m'en donner le titre afin que je voie un peu comment une "pro" le met en scène?
Y'a pas de quoi, ton premier post était au moins argumentéVoilà, désolé pour le reste :ph34r:
"Exactement ce qui se passe", entre les retenues qu'on peut avoir concernant un roman et le cas de figure d'un condamné à mort, ou même à la prison à vie, c'est sûr, c'est parfaitement mesuré.Je trouve même ma comparaison pertinente
Ben oui. Il y a des livres, comme ça, moi ça ne me choque pas qu'on décide de les arrêter au bout de deux chapitres. Je crois même que dans le cas d'Eragon, un seul suffit à deviner 90% de l'intrigue à venir......quoique, dans le cas d'Eragon... =)
Alors, déjà, ça, je ne l'ai pas fait dans ma critique, et ensuite, personne ne le lui a "reproché", on en a plaisanté, nuance.Euh... juste un bête truc
Sauf que Mozart était vraiment doué alors que là, ça se discutelambertine,mercredi 12 juillet 2006, 13:09 a écrit :Qui que soit Paolini, ça n'a aucune importance (a la limite, on pourrait aussi reprocher à Mozart d'avoir été "pistonné".
Malheureusement oui.De toute façon, quoiqu'on fasse, y'aura toujours des gens pour râler
Ca a été plus que fait...lambertine,mercredi 12 juillet 2006, 13:28 a écrit :Ben, justement, s'il n'est pas doué, qu'on en discute !
Ca, c'est ton point de vue. Je trouve que tous les lecteurs n'ayant pas apprécié le roman et/ou sa suite se sont exprimés tout à fait clairement et avec une relative acuité.et que les critiques "pertinentes" étaient plutôt rares.
Ca aurait été plus simple de le préciser d'emblée... :)Maintenant, oui, le point de départ est le même, mais Paolini est surtout critiqué pour n'avoir pas su quitter et/ou sublimer cette situation cliché, mais au contraire les enfiler comme des perles.lambertine,mercredi 12 juillet 2006, 14:18 a écrit :ce n'était pas une comparaison des livres.
Mal choisi pour le coup vu que Kaines ne critique absolument pas le livre (qu'il n'a pas lu), il explicite juste pourquoi il ne l'achetera pas (en se basant sur les informations qu'ils possedent). Par contre c'est vrai que certains cassent un peu le livre alors qu'ils n'en savent rien. Fin de la parenthèse.lambertine,mercredi 12 juillet 2006, 13:18 a écrit :Mais des "critiques" à la Kaines, par exemple (pour ne prendre que la plus récente) ont l'art de me faire sortir de mes gonds... et il faut bien reconnaître que ce genre de critiques négatives de non-lecteurs sont assez nombreuses ici.
Mais justement ce n'est pas cela que l'on reproche directement. L'utilisation de situations classiques n'est pas négatif en soit (cf The Lightstone par exemple ou d'autres). C'est juste que à partir de cette base, l'auteur doit pouvoir prouver qu'il est capable d'ajouter sa patte à la sauce et créer quelque chose d'interessant, d'ambitieux... Ce qui n'est malheureusement pas le cas dans Eragon (je sais pas si j'ai été clair).C'est aussi pour ca que je trouve la discussion sur la repompe du lien vide de sens. On s'en moque de savoir s'il a repompé ca ou non, et de qui il a pu le repomper. Ca n'a aucune importance. L'interessant est de voir ce que l'auteur en a fait, et malheureusement encore une fois, je trouve qu'il ne s'en est pas très bien sorti... Voila quoiEDIT : doublet avec GilloLe héros (ou l'héroïne) qui sort apparemment de nulle part, c'est tout bêtement l'archétype du "prince caché"... Alors, condamner Paolini là dessus... boff, quoi... Comme sur le lien "humain-animal". C'est classique, là aussi...