Bergelmir a écrit : ven. 12 déc. 2025 20:18 Sans précision, ils pourraient donc croire que le prix auquel a été vendu le bureau est 330 000 £

Mais c'est bien le prix auquel il a été vendu puisqu'on ne pouvait pas repartir sans payer les frais.
Comment ça, je ne veux pas lâcher ?

Et puis, faut un déménageur. Et du papier bulle.

Ah tiens, c'est une bonne question ça.
Je savais pas qu'il y avait des frais supplémentaires lors d'une vente aux enchère. Du coup je veux bien savoir aussi.
Quand on les voit lever leur carton dans les films pour le prix final (adjugé, vendu au monsieur en noir dans le fond avec un regard louche), c'est frais compris ? Ou ils ne sont pas encore annoncés et c'est la surprise du chef ?
Parce que ça change tout, si Gérard claque tout son pognon pour s'acheter un bureau mais qu'il n'a pas pris en compte qu'il y avait un bonus sur la douloureuse et qu'il est à sec...

@Médicastre/Coeurdechene, vous avez bien compris le problème

Comme je le disais, le "prix du marteau" est le prix de vente de l'objet lui-même, avant l'application de frais supplémentaires.
C'est donc ce prix là qu'il faut retenir concernant la valeur de l'objet, puisque c'est lui qui servira à estimer l'objet s'il est revendu un jour ; les frais de vente sont certes proportionnels à ce prix mais ils restent indépendants (et par ailleurs différents selon les salles de vente, les pays, etc etc).
Le prix de vente n'est donc pas le montant que doit débourser l'acheteur, puisqu'il doit y rajouter les frais de vente.

Et c'est finalement assez logique : le prix de vente de l'objet revient ainsi au vendeur, alors que les frais de vente reviennent à la salle pour son travail (authentification et garantie de l’objet, promotion de la mise aux enchères, organisation de l'évènement, etc etc).

Mais peu importe pour l'acheteur, il aura dû payer les deux.
Pourrait-on au moins tomber d'accord là-dessus ?