Bon on parlait de tranches de vie dans le topic de la disparition des rayons fantasy & SF et donc je me décide à vous parler d'un de mes coups de cœur récent et à donner une petite liste des super tranches de vie (selon mes goûts évidemment).
Tout d'abord mon coup de coeur le plus récent :
Jimbôchô Sisters de
Kei TOUME et édité par
Mangetsu.
Jimbōchō, le paradis des bouquinistes.
Les sœurs Karakida s'y installent comme elles peuvent, après la reprise de la librairie de leur regretté grand-père Véritable mine d'or pour les collectionneurs, elle abriterait des chefs-d'œuvre de l’édition et certains semblent prêts à tout pour mettre la main sur ces trésors de la littérature.
Entre la gestion de la librairie pour Tsugumi, les soirées arrosées et les peines de cœur d’Ichika et la vie lycéenne rebelle de Minoru, le quotidien déjà haut en couleur de ces trois jeunes filles risque de ne pas être de tout repos !
Après Sing Yesterday For Me et Les Mystères de Taishô, Kei Toume revient avec Jimbôchô Sisters, une comédie aux personnages féminins haut en couleurs dans le célèbre quartier japonais de Jimbôchô.
C'est de la tranche de vie, j'aimais bien le résumé (ça parle de librairie/bouquiniste) et en plus c'est une série courte en 6 tomes (4 parus chez nous pour l'instant).
Alors j'ai testé le tome 1 en ayant peu de doutes sur le fait que j'allais aimer.
Mais je ne pensais quand même pas que j'allais avoir un petit coup de cœur et il est certain que je me prendrais les tomes suivants.
On a des personnages féminins bien écris qui ont chacune leur personnalité propre, on a une histoire qui tourne autours des problématiques rencontrées par les libraires/bouquinistes ainsi que des détails sympas sur le métier, et la série se permet même, ce qui est plutôt rare dans une tranche de vie, d'avoir une intrigue sous-jacente liée à un autre personnage qui sers de fil rouge "secondaire".
Bref pour ceux qui aiment la tranche de vie (d'autant plus si le monde des librairies indépendantes/bouquinistes vous intéresse) je ne peux que le conseiller à 200%.
"Je parle moins, maintenant. Plus je vieillis, plus je ferme ma gueule. Ce qui me faudrait, c’est le médaillon d'Harpocrate, avec le doigt sur la bouche comme ça. Je suis... désolé de n'être jamais revenu vous voir." - Arthur, Kaamelott livre V