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Je ne sais pas s'il faut être particulièrement fan d'uchronie pour l'apprécier mais pour ma part: aussitôt lu, aussitôt oublié.
J'ai été d'autant plus déçu que je l'avais acheté en grand format. En revanche j'avais apprécié l'époque et le contexte décrits.
Je lui ai largement préféré D'or et d'émeraude qui se déroule en Colombie bien que le contexte historique est moins fouillé dans ce dernier.
Quelqu'un a des recommandations sur des romans uchroniques se déroulant en Amérique du sud?
J'ai été d'autant plus déçu que je l'avais acheté en grand format. En revanche j'avais apprécié l'époque et le contexte décrits.
Je lui ai largement préféré D'or et d'émeraude qui se déroule en Colombie bien que le contexte historique est moins fouillé dans ce dernier.
Quelqu'un a des recommandations sur des romans uchroniques se déroulant en Amérique du sud?
8
Et je me suis laissé tenter. Clairement pas une lecture inoubliable.
J'ai surtout eu l'impression de lire le carnet de voyage d'un voyageur un peu trop idéaliste. Une multitude de contrées et de paysages qui nous est décrite par l'auteur et c'est tout.
Le contexte historique n'est vraiment pas développé, simplement un prétexte pour situer le roman.
C'est dommage car les quelques pages sur l'idée d'une porte des monde sont vraiment intéressantes et auraient pu donner un roman bien plus fouillé.
Là, ce n'est qu'un ersatz d'uchronie. Alors oui les Turcs ont dominé l'Europe, alors oui les Aztèques dominent la majeure partie de l'Amérique du Sud mais ça n'a finalement pas une si grande importance que cela dans le récit.
Comme je le disais, on se retrouve plus face à un voyageur décrivant les paysages qu'il voit et obnubilé par un idéal purement utopique. Il en devient même agaçant puisque les péripéties ne font que se répéter avec une flagrante similitude.
A oublier, donc.
J'ai surtout eu l'impression de lire le carnet de voyage d'un voyageur un peu trop idéaliste. Une multitude de contrées et de paysages qui nous est décrite par l'auteur et c'est tout.
Le contexte historique n'est vraiment pas développé, simplement un prétexte pour situer le roman.
C'est dommage car les quelques pages sur l'idée d'une porte des monde sont vraiment intéressantes et auraient pu donner un roman bien plus fouillé.
Là, ce n'est qu'un ersatz d'uchronie. Alors oui les Turcs ont dominé l'Europe, alors oui les Aztèques dominent la majeure partie de l'Amérique du Sud mais ça n'a finalement pas une si grande importance que cela dans le récit.
Comme je le disais, on se retrouve plus face à un voyageur décrivant les paysages qu'il voit et obnubilé par un idéal purement utopique. Il en devient même agaçant puisque les péripéties ne font que se répéter avec une flagrante similitude.
A oublier, donc.
