Pour les éventuels intéressés, un concours arrive bientôt...
7
Et le concours annoncé !
http://www.elbakin.net/fantasy/news/25568-Concours-Elbakinnet-:-Le-Chant-mortel-du-soleil
9
Den a écrit :Tzeentch a écrit :Den a écrit :Je me laisserai bien tenter! D'autant plus que la critique fait vraiment envie!
Merci Den !
Puis qu'est-ce que ça fait du bien de torpiller un bon one-shot au milieu de toutes ces séries.
C'est clair!
A qui le dites-vous !
Sinon, je suis en train de le terminer : c'est du Howard pur jus, mais très bien écrit (et construit).
10
Aslan a écrit :Et le concours annoncé !http://www.elbakin.net/fantasy/news/25568-Concours-Elbakinnet-:-Le-Chant-mortel-du-soleil
Dernier jour pour participer !
13
Je viens de terminer Le Chant mortel du Soleil.
J’ai trouvé ça très moyen. J’ai eu l’impression de voir un documentaire sur les barbares des steppes.
Ça avait bien commencé avec une scène entre deux esclaves, mais la suite des aventures n’est qu’une succession de décisions étranges et illogiques. Illogique car dans un monde dur et violent, la vie a-t-elle si peu de valeur qu’elle peut être risquée sur un coup de tête.
Et on se demande : mais comment ce personnage a-t-il survécu aussi longtemps sans se faire broyer ?
Ok, c’est howardien, c’est de la low fantasy, c’est le monde qui veut ça … une fois, ça passe, mais au bout de la dixième fois, on se pose des questions.
Il y a de bons personnages, de bonnes idées, de belles scènes mais je ne suis pas arrivé à me les approprier. Je suis resté spectateur sans m’identifier.
Le style est riche et dense mais on croise souvent des termes peu usités. La lecture en est donc ralentie. C’est particulièrement dommage dans les scènes d’action. Et ça renforce l’aspect « documentaire ».
L’histoire est pas mal mais sa mise en place ne m’a pas convaincu.
Un 5/10
J’ai trouvé ça très moyen. J’ai eu l’impression de voir un documentaire sur les barbares des steppes.
Ça avait bien commencé avec une scène entre deux esclaves, mais la suite des aventures n’est qu’une succession de décisions étranges et illogiques. Illogique car dans un monde dur et violent, la vie a-t-elle si peu de valeur qu’elle peut être risquée sur un coup de tête.
Et on se demande : mais comment ce personnage a-t-il survécu aussi longtemps sans se faire broyer ?
Ok, c’est howardien, c’est de la low fantasy, c’est le monde qui veut ça … une fois, ça passe, mais au bout de la dixième fois, on se pose des questions.
Il y a de bons personnages, de bonnes idées, de belles scènes mais je ne suis pas arrivé à me les approprier. Je suis resté spectateur sans m’identifier.
Le style est riche et dense mais on croise souvent des termes peu usités. La lecture en est donc ralentie. C’est particulièrement dommage dans les scènes d’action. Et ça renforce l’aspect « documentaire ».
L’histoire est pas mal mais sa mise en place ne m’a pas convaincu.
Un 5/10
15
Fini il y a peu ! C'est pas mal, mais très sec. J'ai bien aimé la relation de Kosum avec ses compagnons de voyage, mais des passages entiers m'ont perdus (et le final m'a achevée), et si j'ai lu le roman jusqu'au bout, je ne pense pas que d'autres aventures dans le même univers m'intéresseraient.
Memento mori
16
Kaellis a écrit :Fini il y a peu ! C'est pas mal, mais très sec. J'ai bien aimé la relation de Kosum avec ses compagnons de voyage, mais des passages entiers m'ont perdus (et le final m'a achevée), et si j'ai lu le roman jusqu'au bout, je ne pense pas que d'autres aventures dans le même univers m'intéresseraient.
Ce n'est pas prévu. Franck Ferric est parti dans une toute autre direction pour son prochain roman. Le Chant mortel du soleil est un stand-alone et a priori devrait le rester.
GD
17
Je suis resté assez perplexe face à ce livre dont je ne suis pas certain de comprendre ce qu'il veut me dire. Le déicide évoqué par la quatrième de couverture n'est au final pas le point central de l'histoire
La quête des origines du petit groupe me semble complètement vaine et le final me laisse aussi sceptique que celui de 2001 : l'Odyssée de l'espace (et ce n'est pas un compliment).
Ceci étant dit je n'ai pas détesté cette lecture loin de là et, malgré quelques passages douteux (les premières pages sont pénibles et tout le récit à la deuxième personne complètement forcé et grotesque), je ne me suis pas embêté et n'ai pas été gêné par cette plume qui en a visiblement dégouté certains. Je regrette surtout que ce livre ne soit pas vraiment ce qu'il ait prétendu être et n'ait pas exploré plus à fond le thème de la mort des dieux et de la disparition de la religion.
Au lieu de cela j'ai l'impression d'être plongé de force dans un monde dont la laideur n'a aucun pareil dans ce que j'ai pu lire en Fantasy jusqu'à présent, dans lequel chacun essaye de dépouiller son voisin et de détruire ce qui ne lui ressemble pas ; où tous les personnages sont plus troubles les uns que les autres et où, au final, rien n'a de sens. Je suis peut-être passé à côté de quelque chose mais je ne comprends pas ce que Franck Ferric a essayé de me dire.
► Afficher le texte
La quête des origines du petit groupe me semble complètement vaine et le final me laisse aussi sceptique que celui de 2001 : l'Odyssée de l'espace (et ce n'est pas un compliment).
Ceci étant dit je n'ai pas détesté cette lecture loin de là et, malgré quelques passages douteux (les premières pages sont pénibles et tout le récit à la deuxième personne complètement forcé et grotesque), je ne me suis pas embêté et n'ai pas été gêné par cette plume qui en a visiblement dégouté certains. Je regrette surtout que ce livre ne soit pas vraiment ce qu'il ait prétendu être et n'ait pas exploré plus à fond le thème de la mort des dieux et de la disparition de la religion.
Au lieu de cela j'ai l'impression d'être plongé de force dans un monde dont la laideur n'a aucun pareil dans ce que j'ai pu lire en Fantasy jusqu'à présent, dans lequel chacun essaye de dépouiller son voisin et de détruire ce qui ne lui ressemble pas ; où tous les personnages sont plus troubles les uns que les autres et où, au final, rien n'a de sens. Je suis peut-être passé à côté de quelque chose mais je ne comprends pas ce que Franck Ferric a essayé de me dire.