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Siriane a écrit :
Lisbei a écrit :Merci pour la chroniqueIl sera mien...
IdemEt aussi parce que j'ai lu tous les Estelle Faye et je les ai tous aimés.
Pour ma part, je me suis aperçue hier que j'en avais raté, et j'ai quitté ma librairie favorite avec les deux premiers tomes de La voie des oracles. C'est bien, ça va me faire patienter :-D.

62
J'attends ce roman avec une grande impatience... Estelle Faye a un style que je trouve extrêmement "visuel", là voir aborder un genre que j'apprécie particulièrement est comment dire... excitant ! Je passe de plus quasiment tous les jours devant la librairie critic et ils ont déjà la couverture en vitrine... J'ai l'impression d'être aussi impatient qu'un ado pré-pubère !

72
J'en suis au tiers du livre, et je regrette sans cesse de devoir aller au boulot et de devoir attendre le soir pour me jeter dessus à nouveau ! Outre les quatre personnages principaux, il y a également les points de vue de personnages secondaire ; la magie d'Estelle Faye fait que tout cela reste extraordinairement clair et cohérent. C'est bien rythmé, et les quelques interludes permettent d'apporter quelques explications bienvenues sur la geopolitique ^^
Memento mori

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J'ai trouvé cette critique très pédante et très froide. Qu'on n'aime pas, je peux comprendre, mais j'ai eu l'impression que l'auteur de ce blog prend plaisir à balancer des noms d'auteurs et de style de fantasy à tout va pour montrer sa grande culture.Et comparer Faye à Cartland est assez injuste. Si on veut jouer sur les petites cases des termes de la fantasy, alors oui ce n'est pas exactement de la "dark fantasy révolutionnaire épique à mousquets d'inspiration slave basé sur un monde proto-européen" mais un roman tout à fait agréable où on prend plaisir à suivre les différents personnages - mais peut-être ne sommes nous pas assez versés dans les Mystères de la Grande Fantasy pour savoir quand un roman est mauvais.Pardon, c'est le matin, je suis toujours de mauvais poil le matin. Mais je le répète : je comprends et respecte le fait d'avoir des avis différents (et je suis d'ailleurs d'accord avec certains point que l'auteur du blog développe), mais tant de pedance à tendance à me mettre en boule.
Memento mori

78
Tu peux y aller les yeux fermés Muhyidin, de mon côté je n'adhère pas du tout à ce que le critique de ton lien dit sur le roman, mais c'est son avis.

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je "plussoie"...Quand je veux me faire plaisir, je me glisse dans mon lit et je me plonge dans les romans d'Estelle Faye... Poésie, voyage, audace dans les choix d'intrigue... Et la mer en plus, ce qui ne gâte rien. Tout au plus peut-on reprocher à la psychologie de certains personnages quelques scories d'écriture "young adult". Mais après tout, cela fait aussi partie du charme de cette auteure, et ces histoires de "classer" les romans en adulte ou jeune adulte, je finis par trouver ça franchement artificiel. En tout cas, Muhydin, ce serait vraiment dommage de te priver de la lecture des Seigneurs de Bohen à cause de la critique d'Apophis.

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Coucou :)
j'ai eu l'impression que l'auteur de ce blog prend plaisir à balancer des noms d'auteurs et de style de fantasy à tout va pour montrer sa grande culture.
Je fais partie de cette catégorie de critiques qui pensent qu'on ne peut réellement donner une idée précise d'un livre qu'en donnant des points de comparaison avec des romans du même genre ("si tu as aimé ça, tu aimeras celui-ci" ou au contraire "si tu n'as pas aimé ça, il y a des chances que celui-ci te déplaise"), d'où le fait de citer d'autres livres et de détailler le plus précisément possible où classer ce livre. Et plus la classification est précise, moins il y a de chances que le lecteur de la critique prenne ce livre pour ce qu'il n'est pas forcément. La vanité n'a strictement rien à voir là-dedans.
L'auteur de ce blog ("Le culte d'Apophis", tout un programme...) a une insupportable tendance à la prétention littéraire la plus primaire.
Premièrement, le nom du blog est expliqué dans sa page de présentation et dans je ne sais pas combien d'articles, mais bon c'est pas grave, hein : Apophis, c'est mon pseudo sur le net depuis des lustres, et "le culte d'" c'est en référence à l'expression "roman culte", "album culte", "film culte", etc. C'est aussi un piège à abrutis qui vont prendre ça au premier degré, dans le style "culte de la personnalité". C 'est enfin un trait d'humour, d'auto-dérision, très bien compris et accepté par mes lecteurs (qui ont, heureusement, un sens de l'humour qui semble vous faire cruellement défaut).Deuxièmement, pour quelqu'un qui a une insupportable tendance à la prétention littéraire la plus primaire, je viens justement (c'est con, hein...) de publier une critique où je fais l'éloge de la littérature de genre populaire (du Space Opera des origines, pour être précis). Avant de me jeter du vitriol à la gueule, ce serait bien de savoir de quoi vous parlez. Ce qui me conduit à...
mais quand on voit qu'il porte aux nues Latium de Romain Lucazeau
Faux. Je "porte aux nues" (comme je ne sais pas combien de critiques et de lecteurs, vu les ventes hors-normes de ce livre) Latium-1, mais je suis beaucoup, beaucoup plus mitigé sur Latium-2. Avant de raconter n'importe quoi à mon sujet, ayez au moins la correction de lire les critiques en question (celle de Latium-1 précise clairement que cet avis ne concerne que ce premier tome et ne saurait refléter l'intégralité du diptyque).
Il se protège en détaillant grandement ses avis
Que ce soit clair, je ne compte pas m'excuser de faire un travail de critique digne de ce nom. Si vous préférez les critiques en un pénible paragraphe écrites sur un coin de table, c'est votre affaire, d'autres ne sont pas de votre avis. Et oui, j'argumente, je ne vois pas en quoi dire "achetez-le " ou "servez-vous-en pour caler un etable" sans expliquer pourquoi est intéressant.
la critique de ce fâcheux dépréciateur...
ça s'appelle avoir un avis, qui est tout aussi respectable que le vôtre. Je vous invite à consulter les commentaires de ma critique des Seigneurs de Bohen, vous verrez que moi, je ne fais pas que prêcher la tolérance pour les avis des autres, je l'applique concrètement.