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Gillossen a écrit :Gemmell n'est pas sans défaut, mais tout de même... :sifflote:Je citais Légende car c'est souvent considéré comme son chef d'oeuvre, alors que perso, je préfère les Jon Shannow ou les Waylander justement (même si tout fonctionne sur les mêmes recettes).
lol, à chacun son chemin de croix^^Troie m'aurait vraiment intéressé, j'aime bien tout ce qui tourne autour de l'historique. Mais bon, je suis quand même bien refroidi pour le coup.

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Arkash a écrit :Gemmell, je suis un immense fan aussi du Lion de Macédoine, ou l'Echo du Grand-Chant (mon premier Gemmell, quelle claque), ou en effet des Jon Shannow !
Les Jon Shannow sont excellents.Mon meilleur Gemmell restera cependant Dark Moon. Dace, voilà un guerrier selon mon coeurI could swallow you whole if someone buttered your head and pinned your ears back ! :D

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Duncan Rahl a écrit :Troie m'aurait vraiment intéressé, j'aime bien tout ce qui tourne autour de l'historique. Mais bon, je suis quand même bien refroidi pour le coup.
Je dirais que l'écriture de Troie est bien plus "sobre", si c'est ça qui avait pu te gêner.

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Gillossen a écrit :
Duncan Rahl a écrit :Troie m'aurait vraiment intéressé, j'aime bien tout ce qui tourne autour de l'historique. Mais bon, je suis quand même bien refroidi pour le coup.
Je dirais que l'écriture de Troie est bien plus "sobre", si c'est ça qui avait pu te gêner.
je verrais d'ici quelques temps.merci

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En gemmell historique, perso, j'ai vraiment adoré le lion de macédoine, qui est pour moi son meilleur roman... Troie j'ai vraiment moins accroché, je ne sais pas pourquoi. Mais le lion de macédoine...un délice. (je sais, argumentation très développée!! :mrgreen: )

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Je suis au final très déçu, clairement l’auteur a écrit bien mieux que ce Waylander. Je mettrais généreusement un 5,5/10.(au début je partais sur un 3/10 ou un 4/10, puis c'est monté au fur et à mesure car il y a des passages assez sympas quand même...)Si je l’avais lu dans la foulée de Légende il y a 10 ans, j’aurais adoré… Mais là je n’ai pas beaucoup vibré. :mellow:Je serais sans doute moins sévère que Duncan Rahl, mais mes ressentis ne sont pas si éloigné des siens.Dès le prologue des visions, des prophéties, un Elu… S’il cela avait été un autre que Gemmell, je me serais arrêté là ! :angry:Côté psychologie Waylander, Dardalion évoluent tellement rapidement et radicalement que cela en est ridicule.
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Cela me rappelle l’excellent western Le Derniers Face à Face où un timide universitaire tuberculeux et un rude hors-la-loi analphabète s'influaient l'un l'autre, mais avec une finesse psychologique stratosphérique par rapport à ce roman.
Style haché et brouillon ?En fait on passe d’une scène à l’autre en alternant action et palabre sans aucune transition.Cela manque cruellement de liant voire de consistance et je peine à reconnaître l’auteur qui m’a séduit avec ses personnages et ses ambiances douces-amères dans ses œuvres postérieures (Lion de Macédoine, Rigante, Troie…).La quête de l’Armure de Bronze en territoire nadir ressemble à s’y méprendre à une aventure western ! :)Le siège de Dros Purdol fait alterner moment d’héroïsme et moment de désespoir ! :)Les 2 fils directeurs se laissent bien lire séparément mais forme un tout plutôt brouillon et décousu… <_<Sans parler de l’épilogue qui m’a laissé comme celui de Qushmarrah de Glen Cook un goût amer : on a l’impression de passer à côté d’une grande saga qui n’a pas été écrite tant les pistes ouvertes semblaient prometteuses.Il y a une foultitude de personnage secondaires assez intéressants (on retrouvera quasiment tel quel les trouffions de Dros Purdol dans Troie où les soldats thraces ressemblent beaucoup aux soldats vagrians) : comme l’écrivait Dark Schneider c’est assez frustrant qu’ils n’aient pas été développés car l’auteur préfère se concentrer sur un Dakeyras en pleine crise d’identité mais ce dernier n’est qu’un prototype de Jon Shannow (lui nettement plus travaillé et abouti).Pour le reste la magie gemmellienne peut quand même faire son œuvre : embuscades, escarmouches, poursuites et cavales, infiltrations et assassinats, batailles et sièges désespérés… avec ici et là des pépites d’humanité qui tirent la larme à l’œil.Ce qui m’a soûlé par contre c’est tous ces deus ex-machina pour sauver Waylander des pétrins dans lequel l’auteur l'a fourré :
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A ce stade, on a largement dépassé le cap du caricatural !!! :D :rolleyes:Le livre accuse son âge non dans l’absolu mais dans sa position dans la bibliographie de l’auteur :dans la même niche, Le Loup Blanc par exemple lui est nettement supérieur sur tous les plans !Mais c’est peut-être aussi l’esprit d’une époque (le livre est sorti en 1986) : je retrouve dans ces premiers Gemmell le manga Hokuto no Ken avec son univers violent et désespéré où les assassins vengeurs alternent bastons et palabres pour défendre la veuve et l’orphelin, rétablir paix et justice sur Terre tout en trouvant la rédemption dans les bras de leur dulcinée ! Sans parler des méchants qui se sacrifient pour le gentil et des femmes de caractère piégées dans le rôle réel ou symbolique de demoiselles en détresse...Attention spoiler sur la fin de la saga Waylander ! (enfin j'imagine... :sifflote:)
http://www.animeland.com/files/critiques/16768/hokuto_no_ken_film2_limite-2D.jpg
Dark Schneider a écrit :Et ce que j'aime toujours autant dans ce cycle de Drenai, c'est la façon dont s'imbriquent les éléments qui servent de fil conducteur à tout le cycle. On peut lire les romans dans un ordre non chronologique sans que ça ne dérange vraiment, et à chaque fois on en apprend sur d'autres tomes (untel et l'ancêtre d'untel, tel événement conditionne tel autre événement qui fera l'objet d'un autre roman, etc). Ses romans ont beau être des one-shot, ça n'en constitue pas moins un véritable cycle, une longue chronologie, sans obliger le lecteur à tous lire d'un coup.
C’est assez plaisant en effet que pour Drenai en particulier (les Nadirs, le Comte de Bronze, Dros Delnoch, les Trente…) et que pour son œuvre en général (le post-apo, le western, les vengeurs solitaires, les hommes-bêtes, l’Esprit du Chaos, la Source, l’amour rédempteur…) on sente une vraie cohérence voire une vraie unité qui s’étale sur 25 ans et 30 livres.C’est assez rare pour être signalé ! :)Sinon je persiste et je signe, si vous avez aimé Gemmell vous aimerez sûrement Paul Kearney ! ;)

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Nos avis sont proches, sauf que perso, je n'ai pas ressenti la "magie de Gemmell". et que les cavalcades, embuscades... m'ont plus ennuyé que captivé.ça me rassure un peu, j'avais peur d'être un extra-terrestre lol

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@ Duncan RahlIl y avait dans la quête de Waylander une petit parfum de western, et dans celle des défenseurs de Dros Purgol quelques moments épiques... mais noyés dans des répétitions, des précipitations, des incohérences et 1 ou 2 "contradictions" nuisibles à l'ensemble.Pour moi clairement c'était clairement de plus loin le moins bon Gemmell que j'ai lu, et pourtant j'avais déjà été échaudé par un Roi sur le Seuil stéréotypé et un Dark Moon très inégal : en one-shots comme en cycles, il a écrit bien mieux ailleurs !

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Albéric a écrit :ce dernier n’est qu’un prototype de Jon Shannow (lui nettement plus travaillé et abouti).
Je suis bien d'accord. J'ai aimé les Waylander, mais plus pour le style de Gemmell habituel, son talent pour les scènes d'actions et les moments d'héroïsme pur que pour le personnage en tant que tel. Comme je l'ai déjà dit sur ce même topic, je trouve que c'est un personnage assez "facile", voire même peu intéressant. Avec Jon Shannow, j'ai retrouvé le même type de personnage mais en plus abouti et approfondis, ne serait-ce que de part l'aspect religieux qui n'existe pas chez Waylander. D'ailleurs, que ce soit pour le 1er ou le 2ème tome, les personnages secondaires sont plus intéressants.
Le Loup Blanc par exemple lui est nettement supérieur sur tous les plans !Mais c’est peut-être aussi l’esprit d’une époque (le livre est sorti en 1986)
Oui, Loup Blanc est bien mieux maitrisé en terme de récit et d'écriture. Les personnages sont plus approfondis, le roman ne donne pas l'impression de reprendre un tas d'éléments déjà vu dans ces précédents livres. L'écriture est vraiment plus "mature". En revanche, les scènes d'actions sont moins spectaculaires et bien moins grandioses, l'aspect peplum est moins présent. C'est bien possible que Waylander soit le reflet de son époque, la plupart des Gemmell de cette époque sont assez proches, des batailles impressionnantes et hollywoodiennes, des sacrifices, des deus ex machinae, des personnages évoluant très rapidement (parfois trop, c'est vrai que Dardalion est un perso raté). On est pas si loin d'une certaine forme de blockbuster/actionner de cette décennie bien que Gemmell puise surtout dans les Western. Je me demande si Troie parvient à être une bonne synthèse de ces deux aspects de Gemmell, le côté plus posé et nostalgique des derniers Drenai mêlé aux grands moments épiques de ses premières œuvres? Ps : Waylander a son propre topic? Pourquoi pas Druss?

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Je me permets de remonter le sujet^^On me l'avait chaudement conseillé sur un autre forum, du coup j'ai lu Waylander il y a quelques mois. Je ne sais pas ce qu'il en est pour les autres romans de cet auteur, mais je n'ai vraiment pas apprécié ma lecture... Pour tout dire, je me suis... ennuyée, car je n'ai pas réussi à impliquer, à ressentir quoi que ce soit devant les aventures des personnages. En temps que lectrice, j'accorde beaucoup d'intérêt à la psyché des personnages, et là... ben...

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Ayant fini ce roman, je souhaite partagé mon appréciation sur ce roman :)Alors, fini l'héroic-fantasy avec ses héros certes torturés mais héros par leurs actions et bonjour à ce qu'on appelle la western spaghetti-fantasy : en effet tous les ingrédients sont présents: un pistoléro fine de la gachette ici un assassin maîtrisant l'arbalète, un acolyte faible mais astucieux qui secoure le héros , ici sous les traits de Dardalion, une jeune femme en détresse( Danyal), un anti-héros immoral (Waylander), des amis louches(spoiler: Durmast), un fort ( spoiler : celui de Dros Purdol ou l'on va assister à des batailles) et une quête( spoiler : l'armure de bronze). Le mariage se révèle efficace, addictif et assez curieux pour le lecteur aficionados de fantasy! De plus l'auteur a pris le soin de faire dérouler son histoire bien avant légende pour apporter les réponses manquantes notamment dans légende ( spoiler: les trente, qui est waylander, qu'est ce que l'armure de bronze, qui est egel et karnak N'a-qu'un-oeil). Mais il offre aussi d'autres surprises comme une secte d'assassins redoutables, mais aussi un changement d'ambiance au vu du contexte: ultra violent, a faire vomir les tripes, efficace et presque réaliste. On y découvre aussi une montagne assez speciale, la fin d'un régime ( bref), meme si l'on découvre peu du paysage et que la majorité de l'action se passe a drenai et en territoire nadir dont on en apprend rien de neuf.Un univers bien renouvelé qui apporte son lot de surprises et de promesses.L'intrigue reste le reflet classique du savoir-faire de Gemmell, en même temps venant d'un western il fallait s'y attendre: un héros doit remplir telle et telle quête. Il sera accompagne d'un tel d'un tel et rencontrera bien des dangers sur son chemin. Ce qui réflète bien le pitch classique d'un western américainJ'ai adoré à quel point l'auteur laisse planer le mystère sur le personnage de waylander. Je trouve que cela donne le tempo de ce récit épique et que cela attise l'intérêt du lecteur. Surtout que le récit est consacré en partie à l'évolution de ce personnage et les raisons de sa quête, ses questionnements liés à son changement ce qui rend le récit plutôt passionnant et il est intriguant de se mettre à la place d'un anti-héros assassinant pour son compte , sans pitié et d'une froideur glaçante. Les rebondissements sont de qualité et très souvent inattendus grâce à une gestion du suspense efficace et de part le rythme qui reste assez soutenu du début à la fin. L'auteur ne se prive pas de jouer avec les relations entre waylander et Dardalion et Danyal qui se révèlent très intéressantes, offrant quelques touches d'humour sordides dans ce monde de brute. La trame reste autrement simpliste et l'on connaît à l'avance le fin mot de l'histoire. Seules les aventures sont réservées à la surprise du lecteur et cela est réussi. Les élements propres au western spaghetti restent respectés, ainsi qu'a la fantasy au grand plaisir du lecteur. Le récit reste ponctue de batailles et de scènes d'action épiques et sous haute tension dans la veine westernienne et l'auteur le montre bien à travers l'arbalète lorsque waylander tire ses carreaux: on s'imagine bien voir un pistolero , as de la gachette tuer ses ennemis et l'etirement de ces scènes offrent davantage de tension et de suspense chez le lecteur. Autre point positif la tension ressentie durant les batailles et les moments de calme chez les soldats reste forte sans atteindre le niveau de legende, mais l'on y sent l'ambiance de guerre et les doutes et les peurs des combattants comme à l'acoutumé chez notre cher gemmell.Le point négatif de l'intrigue reste sa simplicité dans laquelle on devine le fin mot de l'histoire en dépit des rebondissements bien tranchés, ce qui retire un peu d'intérêt au lecteur.Ensuite la romance évoquée reste toujours perfectible et un peu invraisemblable: on s'imagine mal voir une actrice maîtriser en quelque chose les bottes de l'épée et les lancer de couteau, sans compter que la personne n'a jamais tué de sa vie, mais bon cela reste un défaut mineur et l'on suit sans déplaisir l'aventure!Que dire de neuf sur le style de gemmell? Allez aidez moi... ah oui... :p. Style concis, brutal sans concession quand il le faut et euphémisant quand il le faut quand il faut faire pleurer le lecteur, l'exciter, le rendre en colère, le faire rire. D'ailleurs c'est le premier roman que l'auteur a écrit à plein temps ce qui explique le changement radical de style, plus abouti que les deux romans précédants.D'ailleurs c'est la première fois qu'il développe autant un changement de psychologie au niveau du personnage et le choix d'un anti-héros sombre immoral et violent et tourmenté est très bien choisi pour son exercice de style puisque le déroulement de l'histoire et les rencontres de Waylander sont idéales pour sa réalisation et donc son changement. D'ailleurs il se met davantage à l'humour et emploie davantage d'ironie et à choisi un cadre violent et assez immoral pour pouvoir y intégrer le western spaghetti avec la fantasy compte tenu de la simplicité de l'intrigue et de la symbolique de Waylander. Et son initiative est réussie! Mais les couacs sont toujours là avec des descriptions minimalistes parfois floues où l'on a parfois du mal à s'orienter dans l'action mais malgré tout avec de l'imagination on y arrive.Nous en venons aux personnages. Alors beaucoup à été dit sur Waylander car il est difficile de ne pas le rattacher au style et à l'intrigue tant sa symbolique est diversifiée: évocation d'un héros de western spaghetti et son changement psychologique un fil moteur de l'intrigue. Waylander est un personnage finement construit ambigüe et incroyablement paradoxal, sûr de ses compétences et donc de son corps, son esprit reste tourmenté par ses remords et ce qu'il était et ses actions violentes. Il est entouré de mystère et a un passé comme à l'accoutumé violent et l'on apprécie en dépit de ce qu'il a fait, de le suivre dans sa quête aussi symbolique que rédemptrice.Danyal elle casse le stéréotype de la demoiselle en danger que l'on doit sauver qui sait pas tirer, qui hurle qu moindre danger et qui globalement finit soumise à la gente masculine. À l'exception de sa révolte envers les travers de la gente masculine, elle reste une femme forte, désabusée, insoumise et assez imposante. Et non dénuée d'intelligence( eh! Je ne suis pas sexiste!!!) qui va aider de plusieurs manières notre héros.Dardalion est un personnage pour le moins qui m'a paru discret. Et cela est très harmonieux en tant que prêtre défenseur de la vie et serviteur de son Ordre qui s'attache à l'humilité et au refus de la violence et le jugement. Son évolution est aussi intéressante et paradoxale et l'on voit l'antithèse de ce qu'est Waylander et parfois il évolue sur certains domaines qui montre une evolution antithétique dans ces mêmes domaines chez Waylander( spoiler: le goût de la violence: si Waylander finit par la répugner et haïr le tueur qu'il est devenu, Dardalion va y être attiré malgré ses doutes et ses peurs et cette violence sans atteindre la noirceur de Waylander va faire partie intégrante des principes du prêtre dans la fondation des Trente sans renier l'humilité et la défense de la vie.). Rajoutons dans cette ambiance westernienne, un chef de guerre charismatique et patriotique, des soldats désemparés, un libérateur symbolique que l'on voit presque pas du roman que je trouve à la fois excellent pour entretenir le suspense un peu à la tartuffe mais le problème c'est que l'on ne s'attache pas à ce personnage et il aurait mérité un meilleur traitement. Les enfants de Danyal on ne les voit pas beaucoup ce qui est dommage. Car l'un d'entre eux va jouer un grand rôle dans la suite de ce roman. Nous avons aussi une vieille sorcière assez repoussante et intriguante qui va jouer un petit rôle dans la mission de Waylander et dans ce qui va lui arriver et un shaman nadir qui jouera un rôle dans la suite mais ici ne fait office que d'ennemi pour un jeu du chat et de la sourisce qui est plutôt réducteur. Après David GEMMELL voulait préparer le rôle de ces persos dans le tome 2 mais il aurait quand même du augmenter son nombre de pages au roman pour développer un minimum leur motivation et qu'on ai un peu de leur nouvelle car la symbolique, l'ambiance westernienne et le centrage sur Danyal, Dardalion et Waylander lâche un peu les personnages secondaires cités. Dans le roi sur le seuil et Druss la légende, on retrouvait aussi ce léger problème mais assez moindre qu'ici.Univers: 17/20Intrigue: 17/20Style: 18/20Personnages: 17/20Note finale: 17,25 > 17/20Conclusion: David GEMMELL développe une véritable évolution dans son style et il faut dire qu'il apprend vite de ses erreurs! Mais cela crée un déséquilibre au niveau des personnages qui restent sublimes mais certains personnages secondaires passent à la trappe. L'intrigue reste riche en rebondissements et evoque à merveille la psychologie de Waylander et son changement, mais reste prévisible et la romance reste toujours maladroite mais mieux développée. L'univers s'impreigne de Western et le rythme reste effrené loin des guerriers de l'hiver et ce livre est donc recommandé aux aficionados de GEMMELL et de la fantasy :)Source : http://lectureslitterairesvoyageurgalac ... mmell.htmlMerci de ne pas poster de lien vers ton blog, le forum n'est pas là pour ça. :)

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Ce sera sans moi, j'ai le 1 en poche à la maison que j'ai adoré, j'ai bcp accroché au héros et j'ai lu le 2 et 3 à la médiathèque et là, j'ai bcp moins accroché. Je ne m'explique pas trop pq d'ailleurs, ma lecture remonte à pas mal de temps, faudrait que je réessaie mais vu ma PAL, ce n'est pas pour tout de suite.
Initiative sympa quand même, que ce soit en terme de coût ou de place, 1 livre au lieu de 3, c'est mieux non ^_^?

Edit : Autant pour moi, je viens de voir le prix... Je l'ai mis en parution mais je passe définitivement mon tour !!!
Expert ès calamités
"Nous adorons tous les histoires. Nous vivons pour elles" Comme un diamant dans ma mémoire GG Kay

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Dakeyras a écrit :Bragelonne sortira une intégrale collector de la trilogie Waylander le 1 er septembre.

Et voici donc la couverture :
https://www.bragelonne.fr/media/cache/cat_w272/80/9791028119980.jpg


Quelqu'un a des informations sur ce sujet ? Serait-ce une nouvelle collection qui prévoit de publier tout le cycle Drenaï de Gemmel en version intégrale/collector ? Ces 3 romans étant, chronologiquement parlant, les premiers du cycle, il me paraît légitime d'imaginer qu'ils puissent démarrer une nouvelle collection. Il me semble qu'il y aurait une certaine logique à sortir enfin une édition de cette qualité pour un auteur qui a été si important dans l'histoire de Bragelonne.

Quoi qu'il en soit, à première vue, cette bande bleue unie me fait rappelle celles des intégrales sorties ces dernières années (Conan, Solomon Kane). J'imagine que le format sera donc assez proche.

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L'éditeur a annoncé sur Twitter qu'il n'y avait actuellement pas de suite prévue ce volume.
Cela commence à faire beaucoup d'éditions pour Gemmel mais ce qui est dommage celles qui sont dites "collector" ne soient pas harmonisées entre elles...

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Ce qui est bizarre, c'est que Bragelonne n'a rien communiqué sur cette intégrale seulement 2 pauvres photos, pas de teasing quelques semaines avant comme les intégrales Conan, Solomon ou Nom du vent. On sent qu'il y a un souci de communication chez Bragelonne. Leur twitter est nul comme leur site et leur forum à l'abandon. Waylander en collector méritait le même traitement que leur édition illustrée des nouvelles de the witcher à savoir présentation des illustrations, des illustrateurs, de la mise en page etc....