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A propos d'Internet, on peut également prendre le probleme à l'envers: selon les chiffres, si on sait qu'une maison d'édition va plus marcher via plate-formes de ventes en lignes que sur les étals d'un libraire/une chaîne de distribution...autant bâcler la couverture puisqu'elle ne joue pas de la même manière le rôle d'appât? Bref c'est bonnet blanc et blanc bonnet....et je plussoie la plupart d'entre vous: ce n'est pas un personnage sur cette couverture (je n'arrive même pas à voir si la pose est anatomiquement correct). De l'érotisme, du charme légèrement racoleur ou carrément pulp, bien sûr que ça marche, bien sûr que ça peut être approprié et surtout très beau selon les oeuvres....De même que les chevaliers aux gros abdos, aux torses velus et tout le tintouin. Parce qu'il y a une démarche artistique derrière, une réfléxion, et de ce fait une distanciation. En plus d'un côté commercial aussi également, parce que faut bien vendre, mais qui ne dénature pas toujours le reste. L'exemple qui me vient à l'esprit, c'est Kushiel...Là, c'est une fille encore moins bien proportionnée qu'une barbie, posée là, un cadrage très particulier et...euh rien. De la viande pour de la viande, une caricature de bit-lit.Ca ne m'empêche certainement pas de me moquer de la couverture, ceci dit
je ris jute un petit peu jaune 

