Un nouveau membre dans la secte ?

Absolument.

Comme le Dominateur en son temps, la secte Cookienne (ça pourrait faire une bonne marque de gateau ça ) étant son influence sur le monde

Je viens de finir "L'eau dort", et, comme tous les autres tomes avant, j'ai été captivée et je l'ai fini en une journée.:)En fait, je dirais que le seul défaut de la Compagnie Noire est

Perso ,je ne trouve pas ,au contraire je trouve que chaque annaliste à sa patte !Mon seul regret c'est de ne pas avoir connu la compagnie "avant" les evenements du roman ,quand tout était plus simple, peut etre qu'un jour?

J'arrive au bout (milieu du 12e tome ), chaque annaliste amène en effet sa pierre à l’édifice, mais ma préférence pour Murgen et bien sûr Toubib.

Murgen c'est quand même plutôt confus, mais je ne vais pas spoiler :sifflote:Madame c'est assez froid et j'apprécie plutôt. Roupille c'est assez classique mais efficace. Toubib, c'est tout simplement génial ;)Mais le meilleur annaliste, c'est quand même Qu'un-Oeil

//mod gobelin onrien que pour ça, je dirais que c'est Murgen le plus intressant !

D'accord pour Qu'un Oeil mais bon j'en lirai pas 400 pages !

Je viens de finir Saison Funestes (sachant que j'avais déjà fini les 13 tomes y a des années). Et je suis pas fan de Murgen. En tout cas dans ce volume. Me rappelle pas de son style ensuite. C'est trop confus je trouve.Toubib reste le meilleur pour moi et j'aime bien aussi Madame qui va droit au but.

Je trouve que Murgen est pire , au point que j'ai eu du mal avec saisons funestes.J'ai bien aimé tout les autres.

J'avoue que Saisons funestes n'était pas mon préféré, mais j'ai beaucoup plus apprécié Elle est les ténèbres.Sinon je viens de terminer Soldats de pierre...Mon annaliste favori est Toubib (comme tout le monde j'imagine) mais il y a quelque chose que je n'ai pas compris : qu'est-il arrivé de Silence ? (et j'ai lu la Pointe d'argent)

J'ai volu l'emprunter aujourd'hui à la bibliothèque mais il commence la série à l'eau qui dort, c'est plutôt con non? Du coup, je n'ai pas pris... a moins que ça puisse être commencer par là?

Impossible Zygo... !!!

Il est interdit de rater un seul tome Zygo !!!A Aryawen :Edit : gaffe aux spoils

Merci mais c'est dans quel tome ?

C'est quoi ce spoil énorme indy ??? Cache moi ça immédiatement !!

Désolé je me suis planté ! Mais Gwendal à rectifié

Cycle terminé, ça m'a pris presque 3 mois, mais vraiment content de l'avoir lu! Difficile de savoir quoi dire de manière ordonnée après avoir avalé 13 tomes, mais on va essayé lol.Le point fort : les personnages, sans aucun doute, et en particulier les différents annalistes: Toubib, Madame, Casier, Murgen, Roupille, tous apportent un morceau d'âme à la Compagnie, à des degrès moindre (Casier et l'arc avec Cherie), Murgen (chaud de ne pas devenir schizophrène, très ardu à suivre au début de Saisons funestes, un peu plus clair lors de Elle est les ténébres)... Mais Toubib reste le grand perso de la saga, blasé, cynique, mais au final tellement humain.L'histoire, devient de plus en plus mystiques au fur et à mesure que l'on progresse, et les différentes révélations sur Kina, le Nuyng Bao, Shivteya, sont toutes intéressantes.L'ambiance est un autre point que j'ai particulièrement aimé, et je dois dire que de nouveau c'est Toubib qui retranscrit le mieux l’atmosphère de ce que traverse la Compagnie; et d'ailleurs dans Soldats de pierre, on sent un Toubib prêt pour une sorte de dernier baroud d'honneur, il était présent dès le début et se retrouve à la conclusion de l'histoire, il a radicalement changé, et à beaucoup subit, tant sur le plan affectif, sentimental, humain, mais est toujours resté droit et fidèle à ses convictions.Il y a sans doute encore beaucoup de chose à dire, je reviendrais sur ce topic avec plaisir pour continuer à faire perdurer l'esprit de la Compagnie, esprit qui pour moi se résume à cette phrase, qui peut aussi résumer ma foi, l'histoire entière:

C'est clairement la plus belle fin de saga que j'ai pu lire. Et comme tu dis Anarion, cette phrase résume tout. L'inspiration de Glen Cook a atteint son paroxysme à cet instant précis.