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J'ai vu after earth: de superbes paysages mais j'attendais un peu plus du scénario.
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Et il n'a pas l'air très solide le vaisseau spatial avec plein de voiles en tissus partout.Un moment sympa, du spectacle, mais il était peut-être possible de faire un peu mieux.Man of steel: en voilà des vaisseaux spatiaux qui ont l'air solides avec plein de blindages !J'ai bien aimé. Des personnages un peu trop parfois "surhumain". Mais le film est super.

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J'ai vu Mama, hier soir et je dois dire que j'ai été agréablement surpris. Le film m'a un peu fait penser à l'Orphelinat (aussi produit par Guillermo Del Toro). Certes c'est de "l'épouvante" mais à mes yeux c'est avant tout un drame extrêmement bien réalisé.On y retrouve un excellent Jaime Lannister Nikolaj Coster-Waldau et une Jessica Chastain méconnaissable (physiquement je parle :p). Les deux petites (Megan Charpentier et Isabelle Nelisse) sont bien flippantes au début...Pour tous ceux qui ne l'auraient pas vu, je conseille fortement !

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Vu "Man of Steel",Ou comment récurer les fonds de casserole d'une série ultra -exploitée parce qu'elle rapporte du pognon. Sauf qu'elle a été bien mieux exploitée auparavant.Tout plein d'explosions, de gratte-ciels qui volent en éclats, d'hélicos pulvérisés, c'est vraiment bien.Le (semblant de) repiquage tous azimuths est éhonté, et pourtant le résultat reste lamentable.On convoque quelques vieilles gloires, ça fait bien pour l'affiche.On prend une actrice inexpressive pour interpréter Loïs Lane.Le doublage est à caguer.Aux trois quarts du film, z'ont dû virer l'équipe de maquillage, ou alors elle faisait grève et ils ont continué de tourner : d'un coup et sur quelques plans le héros semble sortir tout droit du Rocky Horror Picture Show, et c'est évidemment le meilleur moment du film*. Bref, pour moi ce (long télé)film est la preuve que les studios hollywoodiens produisent et diffusent de la blocherie** gravissime, en usant jusqu'à la corde un sujet qui a toujours fait des tunes.En gros, pour moi ce film tient du foutage de gueule hollywoodien. Prochaine étape : Les Français étant toujours très malins, Josée Dayan rachète la licence d'exploitation et nous fait un "Superman Contre Navarro" avec Gégé dans le rôle-titre.*Pour qui ne l'a pas visionné : The Rocky Horror Picture Show. Un must. ** Marre de dire : "de la daube". La daube, c'est bon quand c'est bien préparé. Aucun plat français qui a une certaine tenue ne mérite d'être employé figurativement pour qualifier des bouses filmographiques. Que les amateurs de daube m'excusent.

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Vu "Expendables 2".Préférable à "Man Of Steel" pour une raison simple : au moins là, y'a pas tromperie sur la marchandise. C'est bien bourrin, et vous étiez prévenus.

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Vu After Earth ce soir. En effet, de superbes paysages, il y a de bonnes idées mais voilà il a certains détails qui tuent... un bout de tuyau en plastique par exemple, entre autres...Il aurait pu être bien...

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Tout pareil ! La salle était pleine d'adultes, ce qui n'a pas empêché les francs éclats de rire à plusieurs reprises. L'humour est toujours bien présent, les minions sont au sommet de leur art et les gamines sont encore plus chous que dans le premier. J'ai réussi à être un peu surprise par l'histoire, et surtout par le personnage de Lucy,
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En revanche, zéro pointé au projectionniste, qui s'est raté au milieu du film : écran noir, lumières rallumées et une attente de 5 bonnes minutes pour résoudre le problème (qui s'était d'ailleurs déjà présenté pendant les pubs). Le film est finalement reparti, mais les lumières ne se sont jamais ré-éteintes, ce qui n'aide pas vraiment à ce mettre dans l'ambiance cinéma...

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Vu "Django Unchained".Du Tarentino comme je l'aime, léché sans en avoir l'air, qui prend son temps et déroule son intrigue sans trop se presser, comme il sait faire, pour surprendre ensuite, même si on commence à connaître les tics du bonhomme.Et juste pour emmerder un Spike Lee soudainement bien-pensant qui feint de ne pas savoir qu'à l'époque les Noirs étaient appelés "Niggers" (donc "Négros" en français). Ben Spike, le film t'avais qu'à le faire, 'spèce de brêle.* :D* Une brêle, c'est comme une bloche, ça n'a pas de couleur. C'est juste une brêle. Ou une bloche.Bref, un peu long, mais bien.

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narsil_99 a écrit :Un petit avis rapide en passantHansel et Grethel, est une merde sans nom totalement ennuyeuse même par un jour de mauvais tps et hotel transilvania est totalement consternant
Ben je l'ai vu, c'est assez niais, bien fait dans le genre "Matez comme on sait empaqueter les sushis chez nous", ça pampe de partout et tout le temps, le scénar est à trous multiples, le héros a le charisme d'un bulot dépressif mais les sorcières sont hilarantes de, euh... sorciéritude aggravée.Sinon, une fois qu'on débranche le cerveau, faute reconnaître : c'est plaisant. Si tu vas à Punta Cana, ça peut te faire passer 1H45 dans l'avion en oubliant que tu as mal au derche dans ton siège large de 8cm, avec ce connard de gamin insomniaque qui te défonce le dossier toutes les 5 secondes. Ce qui évite un meurtre, et quand même, c'est bien. Quoique... :rolleyes:

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Vu le grand méchant loup Quelques dialogues drôles de Poelwoorde, sinon le film s'écrase dans tous les écueils et clichés possibles... Une comédie franchouillarde assez pathétique sur l'adultère -_-Je déconseille

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Vu "Mon Bel Oranger" qui sort fin août et qui est adapté du roman du même nom.Ayant été très marqué à la lecture du livre quand j'avais onze ans, tout m'est revenu devant le film, et j'ai fini la dernière demi-heure en larmes. En dépit de l'économie de moyens, le film réussi à être tendre, drôle et en tout point charmant. Et triste, aussi.

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Vu Les Reines du Ring, et j'ai passé un très bon moment à rire tant et plus !!!et vu aussi Monstres Academy et là par contre j'ai été déçue, nettement moins drôle que le premier...

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Mayliandra a écrit :et vu aussi Monstres Academy et là par contre j'ai été déçue, nettement moins drôle que le premier...
Je m'attends fortement à une déception pour celui-là, depuis quelques long-métrages, Pixar n'est plus que l'ombre de lui-même alors que Dreamworks ne cesse de monter en puissance.Et puis, franchement, vu le joyau qu'était Monsters & Cie, quel besoin de cette fichue préquelle ?Au passage, ma critique de Mama, récemment posté (avec un retard considérable) :Il y a cinq ans, deux sœurs, Victoria et Lily, ont mystérieusement disparu, le jour où leurs parents ont été tués. Depuis, leur oncle Lucas et sa petite amie Annabel les recherchent désespérément. Tandis que les petites filles sont retrouvées dans une cabane délabrée et partent habiter chez Lucas, Annabel tente de leur réapprendre à mener une vie normale. Mais elle est de plus en plus convaincue que les deux sœurs sont suivies par une présence maléfique…Depuis quelque temps, le cinéma fantastico-horrifique made in Espagne fait son trou dans le paysage cinématographique européen voir mondial. Initié par la découverte de Guillermo Del Toro, celui-ci peut depuis se permettre de produire de jeunes réalisateurs espagnols prometteurs. Après L'orphelinat, voici donc Mama, de l'illustre inconnu Andres Muschietti. Entre histoires de fantômes et de famille, c'est un peu la recette gagnante des derniers long-métrages horrifiques qui nous est resservi. Muschietti peut-il apporter du neuf ?En introduisant très rapidement son intrigue et les deux soeurs, le réalisateur immerge son monde quasi-instantanément. C'est avec grand plaisir que l'on retrouve Nikolaj Coster-Waldau (le Jaime Lannister de Game of Thrones) dans le rôle de Lucas, un oncle marginal mais aimant. Malheureusement, son personnage restera complètement sous-exploité sans que l'on comprenne vraiment son importance (Les rêves ?). De l'autre côté, Jessica Chastain tient le vrai rôle principal, celui d'Annabel, une rockeuse peut encline à l'esprit familial. Transfigurée, elle offre une bonne prestation, d'autant plus convaincante qu'atypique pour l'actrice. C'est pourtant ailleurs que se trouve la force du film.Tout d'abord, son ambiance, excellente, parfaite fusion de fantastique et d'horreur. Le fantôme Mama reste à bien des égards une superbe figure. Graphiquement impeccable, elle permet à Andreas Muschietti de parler de la figure de la mère, dans toute sa folie et tout son amour extrême. Bien sûr, tout ça sent le déjà-vu mais passe très bien dans l'histoire puisque l'espagnol n'a pas son pareil pour distiller une poésie macabre tout au long du métrage jusqu'à cette apothéose marquante au bord de la falaise. De même, les nombreuse séquences dans la maison et avec les filles filent de beaux frissons au spectateur, prouvant que Muschietti sait ménager ses effets.Mais surtout, le très gros point fort du film : Victoria et Lily. Déjà, les deux jeunes actrices s'avèrent épatantes, surtout dans leurs rôles difficiles d'enfants sauvages. La plus jeune, Lily fait des étincelles, son interprète, Isabelle Nelisse a tout de la surdouée, à l'écran, la gamine n'est rien de moins que bluffante d'autant plus qu'elle ne parle presque pas et fait tout passer par les émotions, les cris, et la gestuelle. Quant à Victoria, même si un cran en-dessous, elle n'en reste pas moins une excellente surprise de même. Muschietti convainc d'ailleurs bien plus dans le registre du relationnel et de l'évolution des deux soeurs, on aurait même préféré qu'il se concentre essentiellement là-dessus. C'est là aussi la déception du long-métrage tant le reste, l'histoire de Mama (exceptée la toute fin) reste conventionnelle et vue et revue en mieux ailleurs. En ne sachant pas trancher sur la direction à prendre, l'espagnol se perd un peu et accumule les clichés du film de fantômes (Le docteur qui part seul, de nuit, à la cabane dans la forêt, qu'il voudrait y passer qu'il ne s'y prendrais pas autrement, en passant par un cycle jour-nuit très... rapide parfois.)Au delà de ses défauts et maladresses, Mama reste une bonne petite surprise servie par un esthétisme et une ambiance réussies, des acteurs parfois incroyablement bons et une poésie sous-jacente du plus bel effet. A voir, sans aucun doute pour les amateurs. Et n'oubliez pas de visionner L'échine du Diable de Guillermo Del Toro si vous avez aimé, une petite perle du genre.

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Hop, Hop, Pacific Rim de Guillermo Del Toro :Réalisateur formidable, l'espagnol Guillermo Del Toro possède une sacrée filmographie. Entre les deux Hellboy et ses perles plus intimistes comme L'échine du Diable ou le Labyrinthe de Pan, voilà que le monsieur trouve le temps d'accomplir un rêve de geek, une sorte de rencontre entre Godzilla et Transformers, un Evangelion mécha bad-ass du nom de Pacific Rim. Assez éloigné de ses précédentes productions bien plus modestes (quoique Hellboy 2 ?), Pacific Rim a tout du méga-blockbuster d'été. Avec une forte concurrence, peut-il pourtant se démarquer ?Alors que tout le monde sur Terre attendait une invasion extra-terrestre venant des étoiles, c'est du fond du Pacifique où se produira la brèche et d'où émergeront les envahisseurs. Et quels envahisseurs ! Des monstres immenses, aptes à terrasser des villes entières, rapidement surnommé Kaïju. Pour les affronter, les hommes vont bâtir d'imposants robots, les Jaegers, contrôlés par deux pilotes reliés psychiquement et émotionnellement. Mais alors que les humains pensent dominer, les Kaïjus deviennent plus forts, plus grands...et plus nombreux. Devant une défaite inéluctable, les derniers Jaegers s'unissent pour un plan désespéré.Vous vous souvenez de Transformers ? Ces robots géants qui se voulaient extrêmement impressionnants ? Oubliez-les. C'est fini. Avec Pacific Rim, Del Toro enterre Michael Bay. Dans un prologue de 15 minutes qui place les enjeux et la situation, il plonge le spectateur dans une apocalypse en cours. La séquence, en plus de mettre dans l'ambiance quasi-immédiatement, se ponctue par un premier affrontement entre Gypsy Danger et un Kaïju. Difficile d'exprimer alors ce qu'il se passe à l'écran tant le combat s'avère monumental et la musique de Ramin Djawadi totalement bad-ass. Del Toro filme avec un brio incroyable et file des frissons en quelques minutes. D'emblée, le ton est donné. Pacific Rim va vous exploser les mirettes. Bien entendu, le meilleur reste à venirEvidemment, la seconde partie calme un peu cette petite dose d'adrénaline en ouverture et pose son intrigue. Assez conventionnelle, et c'est le talon d'Achille du film, elle n'en reste pas moins efficace. Expédition de la dernière chance et retour de l'enfant prodige, tout est assez déjà-vu mais manié avec talent. A ce titre, les acteurs remplissent parfaitement le cahier des charges, Elba en tête dans son rôle de commandant inflexible mais aussi Charlie Hunnam, finalement très bon pour assumer son lead-in avec classe et arrogance. Comme souvent chez Del Toro, les seconds rôles assurent, entre l'excellent Charlie Day en scientifique allumé et les excentriques Ron Perlman/Burn Gorman respectivement en contrebandier exubérant et en chercheur tendance TOCqué. Un peu moins convaincu par Rinko Kikuchi qui ne trouve le ton juste que dans la seconde moitié du film. Car malgré tout, Del Toro tente de donner un peu plus que de l'épique.Et là, oui, le film ne peut pas totalement atteindre le but recherché. Un peu court sur l'émotion (de façon surprenante, on sera plus touché par l'adieu tout en non-dits du père et du fils Hansen que par celle de Pentecost/Mori) du fait d'un certain manque de place pour leurs développements, le long-métrage se rattrape avec cette très bonne idée de symbiose mentale entre les deux pilotes et les séquences de flash subliminaux qui auraient mérités plus de place. Autre déception, la toute fin attendue et le manque d'originalité dans la relation entre le commandant et Mako qui pour le coup souffre clairement d'un manque de prise de risque, chose inhabituelle chez Del Toro. Plus attendu, son humour lui reste égal à ce qu'on trouvait dans ses précédentes productions, décalé et original, mais qui ne plaira surement pas à tout le monde.Alors finalement, pourquoi Pacific Rim s'avère aussi réussi avec tous ces défauts ? Parce que Del Toro, et on le savait déjà, reste envers et contre tout un putain de réalisateur. A l'instar de son très classe Blade II, Pacific Rim enchaîne les séquences monstrueuses. L'apothéose viendra avec l'attaque de deux Kaïjus sur Hong-Kong et la sortie pour les arrêter des 4 Jaegers. Notons au passage l'excellente idée de montrer des robots de nationalité différentes (Chinois, Australien, Russe et Américain), tellement bonne qu'on regrette l'éviction trop rapide des Russes et des Chinois (Le robot Chinois a une classe terrible). Dans cette longue séquence, Del Toro va toucher le sommet. Il enchaîne les plans cultes : La garde du robot chinois, la charge du Russe, l'arrivée de Gypsy Danger, la sortie des Frères Hansen puis quasiment tous les plans du combats sur les quais et dans la ville. Le tout forme un morceau de bravoure juste hallucinant visuellement. Un stupéfiant tour de force qui fera date. Vraiment. Il en sera de même, dans une moindre mesure pour l'affrontement final, dantesque au possible et relativement surprenant.La créativité du papa d'Hellboy au cinéma n'est plus à prouver. Encore une fois, elle fait merveille. Entre le design des robots et des monstres, la panoplie des armes ou encore les tenues des pilotes et leurs cockpits, c'est un vrai festival. Mieux, Del Toro donne une vrai consistance à son monde avec le trafic des organes de Kaïjus morts et les modifications des villes (le mur, les ossements). Il crée une ambiance particulière en mélangeant les influences asiatiques et celles, plus bourrines, des combats. Plongé dans les affrontements titanesques, on retient son souffle, on vibre, on exulte, De Toro réussi son pari et offre un vrai beau moment d'épique. Pacific Rim trouve sa force dans le fait q'il assume son statut de blockbuster monstre halluciné et hallucinant. On attendra longtemps avant de voir sa pareille au cinéma.Un parfait rêve de geek, voilà ce que vient d'accomplir Del Toro avec Pacific Rim. Malgré un manque de profondeur (attendu) et un relatif raté niveau émotions/relations, Pacific Rim donne au mot épique tout son sens et renvoie les Transformers dans le bac à sable. C'est intense, c'est à couper le souffle, c'est efficace...en bref c'est très certainement le meilleur blockbuster de l'année.

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J'ai vu ce soir World War Z et ça sera bref hein (petit sentiment de honte en passant après Littlefinger lol), bon ben y a des zombies... fait pas bon avoir une formation scientifique parce qu'on note vite des trucs totalement louches, et enfin, pourquoi mais pourquoi le héros survit toujours à tout hein, même aux crashs d'avions ???Brad Pitt, de l'action et quelques sursauts pour moi !Et pi voilà !

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Petite question qui m'intrigue, tu fais quoi dans la vraie vie Littlefinger si ce n'est pas trop indiscret ? (je suis allée parcourir les 36 pages du topic approprié mais soit je n'ai pas vu ton post, soit... je n'ai pas vu ton post :))

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http://medias.unifrance.org/medias/32/136/100384/format_page/le-congres.jpg
Le Congrès d'Ari Folman.Adaptation du roman de SF le Congrès futuriste par le réalisateur de valse avec Bachir.Une sorte d'ovni cinématographique réinventant les codes de l'animation pour transcender l'adaptation de ce chef d'oeuvre de la SF. Difficile de le critiquer. Le film est découpé en deux parties: la première en film, la seconde en film d'animation. L'incrustation du film d'animation dans le récit est complètement logique et intégrée. Soyez prévenus, le film commence lentement avec la description de la fin d'un monde connu, celui du cinéma traditionnel au profit du cinéma d'animation en motion capture. Avec l'arrivée de l'animation, le film prend la forme d'un trip à l'acide complètement barré et halluciné avec une esthétique particulière.Malgré cela, le scénario, fort complexe et original, continue de suivre son cours tout en permettant quelques critiques sociales acerbes, entre autres sur: l'omniprésence du divertissement dans la société de consommation, du contrôle des masses par le divertissement, des coûts exorbitants de cette industrie qui pourraient être mieux utilisés, de l'usage des drogues pour fuir une réalité désespérante, la consommation de technologies toujours plus rapidement obsolètes,etc... Le thème central du film, la liberté prend définitivement tout son sens dans la partie animée du film et dans le final bouleversant et cynique sur le coût réel d'une forme de liberté. L'utilisation de l'animation par Folman confine au génie et magnifie ce film en chef d'oeuvre.Pour moi, 9-10 sur 10, le meilleur film de 2013 pour l'instant.@ Littlefinger: j'attends de lire ta critique ;)