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au même titre qu'Eless, je suis devenu addict à la fantasy avec les SDA à 12 ans et j'ai ensuite enchainé avec la trilogie de l'elfe noire....Cela fait plus de 15 ans maintenant ( :( ) mais je garde le souvenirs d'un univers qui m'a amné tres loin....J'ai souvent repensé à racheter un bouquin de Salvatore mais au vu des critiques, je pense que je vais rester avec mes souvenirs de gamins.....

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Salvatore s'en tire mieux dans un contexte ''commandé'' avec certaines limites imposés. Drizzt est agréable a lire, même parmi les trilogie suivant celle de l'elfe noir y'a quand même du divertissant...même si on est clairement 1 ou 2 niveau en dessous.Dans un contexte différent avec Starwars, il a fait du bon boulot pour le 1ier tome du nouvel ordre Jedi.Le problème semble se posé quand il n'a plus de limite, l'ombre pourpre, les Drizzt du moment sa popularité lui a permis de faire ce qu'il voulait.Et y'a un truc que je remarque avec Salvatore, les fans sont des fans de Drizzt, pas des fans de Salvatore (même ceux qui n'ont rien contre lui)

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Et y'a un truc que je remarque avec Salvatore, les fans sont des fans de Drizzt, pas des fans de Salvatore (même ceux qui n'ont rien contre lui)
c'est vrai!!!!

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C'est pas faux. Personnellement je lis Drizzt et pas Salvatore. Drizzt c'est le bouquin que tu lis après un gros morceau (genre la Horde du Contrevent) pour faire tomber la pression. C'est de la fantasy classique, avec un message sur la tolérance parfaitement voyant. Mais c'est sympa, y'a quelques personnages travaillé, d'autres sont simplement des archétypes. Et ça s’essouffle, arrivé à plus de 10 tomes.Donc en résumé, Drizzt je continuerais à le lire mais j'irais pas acheter du Salvatore, surtout quand pour le même prix chez milady on a accès à du Gemmell ou du Peter V. Brett.

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Je suis pour car grâce à cet auteur et son personnage de Drizzt, j'ai découvert la fantasy et avec l'âge, mes goûts on évolué je me suis mis lire plusieurs auteurs très différent les un des autres comme: Martin, Jordan,Gemmell, Kay, Sackpole, Williams et j'en passe. Alors si cet auteur peut donner le goût à d'autre de lire de la fantasy et découvrire cette merveilleuse littérature alors oui je suis pour.

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Aledan a écrit :Personnellement je lis Drizzt et pas Salvatore...Donc en résumé, Drizzt je continuerais à le lire mais j'irais pas acheter du Salvatore...
En même temps sans Salvatore, pas de Drizzt. C'est quand même lui l'inventeur du personnage. Après je défends pas l'auteur parce que je ne suis pas fan de son style d'écriture, mais c'est impossible de dissocier les deux.C'est comme si je disais, je lis Toubib mais pas Glen Cook... Pour moi ça n'a pas de sens.

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si je peux me permettre la question "pour ou contre" n'a pas forcément de sens ou alors il faut la comprendre "vous aimez" ou "vous n'aimez pas". ?On pourrait être "contre" si RAS était nuisible, là franchement je ne vois en quoi cela serait le cas...Bien sur les gouts et les couleurs c'est selon chacun, j'ai juste un peu de mal à comprendre la fronde contre cet écrivain. :huh:Certes :- ce n'est pas forcément bien écrit mais pas + mal que GRRMartin (pour l'avoir lu en VO je peux vous assurer que la traduction en VF améiore la qualité de l'écriture).- c'est plutôt manichéen (mais pas + que David Eddings)Mais:- on le taxe de ne pas être original...Mais l'univers qu'il a développé autours des Elfes noirs est justement très original et novateur: la ville de Menzoberranzan, le matriarcat et les différentes familles, les Driders, Narbondel, le Zin-carla... A la limite Drizz't lui même ne m'intéresse pas, personnage un peu trop lisse à mon goût...- De l'action à toutes les pages ! A comparer avec Hobb (ho p***n son assassin royal si bien écrit mais que c'est loooooooooooong)Ce n'est que mon avis mais on ne lit pas Salavatore comme on lit Scott Lynch (j'adore), en tout cas on n'y vas pas pour chercher la même chose: L'aventure avec un grand "A", la mise en scène de dieux, démons et autres personnages ultra puissants il n'y a amha que Salvatore pour les mettre en scène de manière cohérente.SI en plus on est roliste à AD&D comme moi depuis de nombreuses années (j'avoue que ça aide à aimer la série), les écrits de Salvatore sont carrément jubilatoires.voila ce n'est qu'un humble avis. :)

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Bienvenue ! Et cet avis va dans le sens de la remarque de Gilthanas, il me semble ;) Jamais lu son Druss (tous ceux qui aiment le perso ne crachent pas dans la soupe heureusement) mais effectivement ce n'est pas parce que l'auteur ne fait pas l'unanimité (et franchement je m'y suis tellement peu intéressée que je ne sais pas les raisons du comment du pourquoi et je m'en moque un peu) que l'on doit forcément jeter le bébé avec l'eau du bain :) J'ai un bon souvenir de la seule trilogie que j'ai lue de Salvatore mais je serais quand même loin de le placer au premier rang des "metteurs en scène" cohérents. Il me semble que la fantasy ne manque pas d'auteurs (alors pas forcément tous aussi bankable que lui) qui maitrise la construction d'univers ambitieux.

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On pourrait être "contre" si RAS était nuisible, là franchement je ne vois en quoi cela serait le cas...
Il faut tout de même prendre en compte le fait que le sujet est maintenant très vieux et qu'il ne faut peut-être pas considérer ce "pour ou contre" au premier degré. :)

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http://ecx.images-amazon.com/images/I/51Sv7zcxQ%2BL._SY300_.jpg
“The Companions is the best novel [R.A.] Salvatore has ever written. It’s insanely courageous, profoundly powerful, masterfully constructed, and easily Salvatore’s most ambitious work to date.”—Paul Goat Allen, BarnesandNoble.com “After a quarter of a century, R.A. Salvatore just keeps getting better and better, and The Companions is another masterful leap forward for one of the greatest fantasy epics of all time.”—Philip Athans, best-selling author of Annihilation and The Haunting of Dragon’s CliffThis latest installment in New York Times best-selling author R.A. Salvatore's beloved fantasy saga, The Companions moves Salvatore's signature hero Drizzt into a new era of the Forgotten Realms. As Drizzt's fate hangs in the balance, he reflects on the lives of the trusted allies who stood by his side throughout his early life--the friends now known as the Companions of the Hall. Meanwhile, the first stirrings of the Sundering begin.
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