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Un petit avis rapide en passantHansel et Grethel, est une merde sans nom totalement ennuyeuse même par un jour de mauvais tps et hotel transilvania est totalement consternant

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narsil_99 a écrit :Un petit avis rapide en passantHansel et Grethel, est une merde sans nom totalement ennuyeuse même par un jour de mauvais tps et hotel transilvania est totalement consternant
Eh bah ! Perso j'étais plutôt intéressé (par Hansel et Grethel) mais là tu viens de me mettre le doute... Si tu pouvais nous donner un avis plus détaillé, je suis preneur ;)

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Je crois que j'ai pas dit que Spring Breakers c'était pas bien.Donc Spring Breakers, c'est pas bien.A part le taf de Debie à la photo, Franco, et la BO, c'est même carrément nul.Les films, c'est mieux quand ça s'effondre pas au bout de 15 minutes tellement ça n'a rien à raconter.

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HAnsel et gretel, revisite le compte bah en faite non même pasDétailler un peu plus, H&G ont tué la sorcière de la maison en pain d'épice, et en on fait leur métier et maintenant il se font payer comme mercenaire dans des villages pour les en débarrasser.Ainsi il arrive dans bled cliché ou un "shérif" veut brûler une sorcière (une jolie rousse) mais h&g se la joue badass et à coup de fusil en plastique énorme (et très gros) la sauve et commence a mener l’enquête.S'en suit divers combat contre des sorcières qui maîtrise plus le kung-fu que la magie apparemment et quelques courses poursuites ou les chevaux sont remplacé par des balaisJ'arrete là car je ne voudrais pas spoiler les rare courageux qui voudront tenter l'aventure quand même.Mais je dirais ceci-Le jeu d'acteur est vraiment mauvais et les 3/4 des acteurs ont un visage totalement innexpressif , les effets spéciaux, sont mauvais, moches, les décors font carton pâte à 2 francs, les espèces de gadgets j'en parle même paset une intrigue complètement téléphonéIl en ressort un film vraiment ennuyeuxEt en plus obliger de se le taper avec un 3d encore une fois inutile*Bref ne perdez pas votre tps avec c film

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Je me demandais ce que donnait Hansel et Gretel, me voilà fixée.Je retiens donc Cloud atlas (au passage, je viens de commander le livre...) et Jappeloup.Peut-être Oz.Encore faut-il que la neige fonde et que je ne reste pas bloquée chez moi. J'ai déjà manqué en janvier un ou deux films que je voulais voir mais qui n'étaient plus au programme du cinéma quand la météo s"est arrangée.

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Allez, Die Hard 5, pour le plaisir !John McClane est toujours flic à New-York et, pour retrouver son fils, Jack, il décide de voyager jusqu'à Moscou. Ce qu'il ignore c'est que son fils est un agent de la CIA et qu'il se retrouve empêtrer dans une escalade politico-criminelle entre Yuri Komorov et Chagarin qui risque de lui coûter la vie... Ce n'est pas encore cette fois que John va avoir des vacances !Près de 6 ans après le médiocre épisode 4 signé par le non moins médiocre Len Wiseman, la franchise Die Hard est tiré de son sommeil par John Moore, autre tâcheron Hollywoodien. Si Willis rempile dans le rôle de John McClane, et à l'instar de ce qu'il se passa pour Indiana Jones, Jai Courtney interprète son fils, Jack. Autant dire que peu de choses laissaient augurer d'un bon long-métrage et encore moins à la hauteur de la première trilogie. Après 1h30 de film, autant dire que nos attentes étaient encore trop hautes.John Moore arrive à monter une course-poursuite assez cool dans les rues puis sur les autoroutes moscovites...et à filmer ça comme un pied. Puis un affrontement avec un hélicoptère sur un fond crépusculaire...et encore une fois, filmé atrocement. Voila. On en a finit avec le bon dans ce long-métrage (passons sur le quota féminin, aussi intéressant qu'un cornichon, et simplement utilisé pour certains atouts mammaires.) Le reste n'est simplement qu'une catastrophe qu'on appréhendait. Si le quatrième volet était tout juste passable, celui-ci est juste d'un ridicule et limite d'une vulgarité peu commune. L'image d'un McClane se jetant d'un toit en faisant un doigt d'honneur au ralenti en dis long sur le respect de Moore pour le personnage culte de McTiernan.Car oui, John McClane fait office de pitre dans la première moitié du film, flingue un ou deux méchants, roule sur les voitures avec un camion, insulte les gens autour, sort des blagues débiles et finalement, retrouve son fils pour prouver qu'il est le plus fort et qu'il peut tout faire. Oui, Moore fait n'importe quoi. Le personnage de Jack se révèle rapidement insipide, et tout le talent de Courtney (pourtant très bon dans Jack Reacher) n'y peut rien. D'ailleurs, même Willis n'y croit pas. Ne parlons pas du reste du casting, tout aussi insipide, et de toute façon plombé par des personnages caricaturaux et imbéciles, la palme à Radivoje Bukvic dans le rôle d'Alik. Si vous avez toujours rêver de voir un méchant faire des pas de danse en mangeant une carotte (sisi, ils ont osé), alors Die Hard 5 est fait pour vous. Mentionnons aussi le personnage d'Irina, qui ne sert à rien, ne fait rien, si ce n'est trahir et à un moment, nous montrer son soutien-gorge. L'image de la femme forte par John Moore, c'est quelque chose.Pire encore, pour un film d'action, pas de scène de baston, aucune, même avec des champions bodybuildés qui se promènent torse nu à Prypiat...Oui, car dans Die Hard, on peut aller comme on veut à côté de la centrale de Tchernobyl, y aller en voiture depuis Moscou, éradiquer les radiations (Vite, appelez Fukushima)... et bien entendu, ne jamais porter de combinaison quand on s’appelle McClane. Heureusement, John Moore veut cultiver le peuple américain et rappelle qu'une centrale nucléaire a un peu explosé un jour là-bas. Oui, le peuple américain doit être con. Excusons donc Moore. L'histoire elle-même ne réserve que peu de surprises, il y aura de la trahison, voir de la double trahison, un hélicoptère Hind, du sentimentalisme père-fils d'une subtilité atteinte que par Plue Belle la Vie auparavant. Bref, oui, la saga Die Hard est morte.Voila voila. Die Hard 5 n'apporte rien à la saga, l'achève même joyeusement, accumule les clichés et les incohérences les plus incroyables, se fout de ses acteurs et de leurs personnages. Franchement, repassez vous le génial Une Journée en Enfer de MacTiernan, de cette époque où John McClane était une icône du cinéma d'action honnête, divertissant et même un peu plus que ça.

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Comme prévu, je suis allée voir Cloud Atlas. Après un début où je me suis quelque peu ennuyé, j'ai fini par accrocher à l'histoire. Le passage d'une époque à l'autre est bien fait. Par contre, j'ai comme l'impression qu'il y a des liens entre différents personnages qui ont dû m'échapper.Jappeloup: je conseille aux amateurs d'équitation. Il y a un petit changement sur la façon de gagner la médaille d'or ( en fait il a gagné l'or quand le concurrent suivant à fait tomber une barre). J'espérais un peu voir la lutte contre le grand blanc Milton, mais celui-ci n'a pas été montré dans le film. Bravo à guillaume Canet: il faut réussir à les sauter, des obstacles de cette taille !

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Une belle découverte, scandaleusement distribué, encore... The Sessions :Mark fait paraître une petite annonce : "Homme, 38 ans, cherche femme pour relation amoureuse, et plus si affinités. En revanche paralysé… Amatrices de promenade sur la plage s’abstenir...". L’histoire vraie et bouleversante d’un homme que la vie a privé de tout, et de sa rencontre avec une thérapeute qui va lui permettre d’aimer, "comme tout le monde".Histoire difficile et très délicate, The Sessions nous est offert par un réalisateur peu connu, Ben Lewin. Pour arriver à transposer cette aventure peu banale à l'écran, il fallait un casting de choc et le trio John Hawkes/Helen Hunt/William H.Macy rassurait quand à cette préoccupation. Reste pourtant que l'abord du sexe chez les handicapés pouvait soit virer au ridicule soit au mélodrame pleurnicheur. Surprise, The Sessions s'avère n'être ni l'un ni l'autre.Bâtit d'après les écrits de Mark O'Brien, The Sessions tente de briser les tabous en affrontant frontalement le sexe chez les personnes handicapés. Nous faisons d'abord la connaissance de Mark, un tétraplégique poète et écrivain au sens de l'humour prononcé, mais également fortement croyant. Obligé de passer la majeure partie de sa vie dans un poumon d'acier, il ne peut certes pas bouger mais peut sentir. Immédiatement, on se prend d'affection pour ce drôle de bonhomme.Premier piège d'éviter, Lewin évite de s'apitoyer sur le sort de son héros, il nous expose la réalité et nous fait pénétrer par le biais d'une voix off où Mark exprime ses pensées, même les plus improbables. Ce personnage délicieux, notamment par sa propension à tout prendre avec humour mais aussi celle de faire preuve d'un humanité touchante, ne serait rien sans le jeu magistral de John Hawkes, déjà vu dans Deadwood ou dans Martha Marcy May Marlène. Comédien prodigieux, il ne peut faire passer son jeu d'acteur que par son visage, et doit dans le même temps tenir la rigidité musculaire d'un tétraplégique. Dire qu'il est formidable serait être en dessous de la réalité tant son jeu est juste, alternant tendresse, force et chagrin avec une insolente facilité. Mais se limiter à cet aspect serait faire l'impasse sur toute la partie où Lewin nous montre les fameuses sessions avec le thérapeute sexuel très particulier auquel a recours Mark O'Brien. Incarnée par Helen Hunt, elle se montre à la hauteur de la tâche et n'hésite pas à dévoiler son intimité pour restituer dans la plus pure vérité ces entretiens. Personnage des plus atypiques, elle possède en outre une interaction fascinante non seulement avec Mark mais aussi vis-à-vis de la sexualité. En jouant la sobriété et en n'hésitant jamais à alterner les registres de langages (et en le justifiant d'ailleurs), Lewin enraye toute vulgarité et retransmet quelque chose de très sobre et authentique. Tellement d'ailleurs, qu'on atteint vraiment l'émotion du doigt que dans quelques rares occasions, chose surprenante pour un tel sujet. Mais les rares fulgurances sont bien là et s'avèrent superbes. La plus belle restant certainement la remise de la lettre à Cheryl dans sa voiture où Helen Hunt se révèle simplement brillante et brise instantanément le coeur du spectateur.Malgré toute la dose d'émotions inhérente au sujet, Lewin ne se laisse pas dépasser. Il entretient tout du long un registre comique discret et élégant. Notamment par le personnage du Père Brendan et les discussions/confessions de Mark. Décalées, drôles et surtout justes, elles donnent une place certes congrue à l'écran à William H.Macy mais lui offre un rôle très beau et qui lui permet de composer un personnage à la mesure de son talent. L'autre comique vient des assistants de Mark, notamment Vera incarnée par Moon Bloodgood, et qui offre par la même occasion un autre point de vue intéressant sur le sexe et l'amour. Finissons en toute logique par la fin, inévitable et forcément très émouvante mais qui achève de convaincre de la force et de la portée du long-métrage.The Sessions constitue la surprise annoncée lors des festivals. Impeccablement interprété, toujours sobre et incroyablement touchant, il fait en outre preuve d'une audace certaine à aborder un sujet aussi délicat.Une pépite à ne pas rater.

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Vu Cloud Atlas : bien vraiment bien, une grande puissance évocatrice, un film qui fait réfléchir sans prendre la tête c'est très réussi. Mais c'est pas le "choc" que la bande-annonce me laissait espérer. Il y a une sorte de progression lente et sereine qui ne fait pas dans le sensationnel et c'est sans doute la force du film. J'espérais plus d'intensité, mais finalement c'est plus mon attente qui n'était pas forcément "justifiée" qu'un défaut du film. Pour moi, ne serait-ce que parce que cela m'a donné envie de découvrir le livre, c'est donc une adaptation réussie.:sifflote: Je déplore un tout petit peu que pour nous faire passer leur philosophie, la famille Wachowski en passe par des biais déjà utilisés dans Matrix. Je ne sais pas si c'est proche ou pas de l'esprit du roman mais j'aurais aimé ne pas recroiser M. Smith et Néo. Ensuite pas de longueurs parce que des tas de fils d'histoires à suivre mais parfois, le mieux est l'ennemi du bien et trop d'infos tue l'info. Il y a des décors, des histoires que l'on a envie de suivre de plus près, des personnages avec qui on a envie de passer plus de temps. Voilà ça et les grimages supposés futuristes dans la trame Sonmi ce sont mes seuls bémols. Pour le reste : les thèmes abordés et la liberté de ton évoquée par Littlefinger (ne lisez pas sa critique AVANT d'avoir vu le film !!:p ) sont essentiels et passionnants. Concernant la réincarnation je dois dire que j'avais préféré le traitement de The Fountain et sur la persistance de l'amour mon best of restera encore longtemps Eternel Sunshine OTSM mais dans Cloud Atlas la force de l'universalité, de l'intemporalité, l'inexorabilité de la roue des âmes tout cela ne peut pas laisser indifférent.Et j'ai apprécié que les réalisateurs ne tirent jamais sur la corde sensible (même si la romantique en moi a eu le cœur serré à plusieurs reprises) ce n'est pas de sensiblerie qu'il s'agit, c'est d'âme et de transformation de l'humanité. Contrairement à Littlefinger, je ne trouve d'ailleurs pas le film désespéré (rien à voir avec le pessimisme morbide d'un Spielberg dépressif au temps de A.I. :tetemur: )Toutes les trames trouvent une résolution cohérente et emplie de promesses pour la suite à part peut-être
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C'est le genre de film dont je sors en me disant "pourvu que les gens soient prêts pour ce type d'idées et de messages parce qu'il est grand temps qu'on avance" Pas sûre que ce soit le cas mais ce serait chouette que beaucoup de gens tentent l'expérience. :totoro: avant que le film tombe dans les oubliettes comme le supposait NeoSib :/

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Merci pour cette critique, j'ai bien envie d'aller le voir ce film ! :)
j'aurais aimé ne pas recroiser M. Smith et Néo.
Vraiment ? Ou alors j'ai pris ta remarque au 1er degré ?
et sur la persistance de l'amour mon best of restera encore longtemps Eternel Sunshine OTSM
Eternal Sunshine ça reste aussi amha l'une des plus belles odes à l'amour vu au cinéma, par contre j'ai eu bien plus de mal avec le traitement fouillis de The Fountain...

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@ Witch : Le livre et le film mettent en avant un espoir, je suis tout à fait d'accord mais, je trouve que c'est tout de même le désespoir qui domine.
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Pour la persistance de l'amour, je suis pour The Fountain, film très subtil mais un de mes chef d'oeuvres intemporels. Je n'ai pas du tout aimé Eternel Sunshine pour le coup. Mais ça fait longtemps...

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Vu Cloud Atlas hier, magnifique moment de cinéma ! Je rejoins Witch sur pas mal de points. Je n'avais qu'une envie à la fin du film : lire le livre pour me replonger dans ces différents mondes ! Ça n'a pas été l'immense claque que j'attendais mais je suis sortie de la salle émue et les yeux pleins d'étoiles :D Le début était un peu confus mais très vite on s'habitue et on suit avec curiosité ces 6 histoires qui s'imbriquent les unes dans les autres. On en a pour notre argent puisque les réalisateurs nous offrent 6 genres de films différents ! L'univers visuel est fascinant, le scénario prenant (on ne voit pas passer les 3h), les personnages sont attachants et très bien joués. Le film est aussi "ludique" puisqu'on s'amuse à essayer de reconnaître les acteurs dans leurs multiples rôles (les maquillages sont hélas parfois mal faits !) et de faire des liens entre chaque arc. J'ai l'impression d'avoir manqué plein de petits détails que je verrai sans doute avec un autre visionnage et que je comprendrai sans doute mieux après avoir lu le livre. J'ai vu que le film ne marchait pas très bien en termes de box office, c'est bien dommage (mauvaise promo ? film peu attirant pour le grand public ?) En bref, j'ai vécu ce film comme une expérience cinématographique marquante et je le recommande vivement !En ce qui concerne Eternal Sunshine, je l'ai beaucoup apprécié, et pour The Fountain, je l'ai trouvé magnifique mais j'ai tellement pleuré (il porte vraiment bien son nom ^_^) que je pense avoir manqué beaucoup de choses, il faut que je le revoie !

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Vu Les Croods hier (oui bon ça engendre beaucoup moins de réflexion que Cloud Atlas) et je conseille, on a vraiment bien ri :D.N'hésitez pas si vous avez des enfants, et même si vous n'en avez pas d'ailleurs ;).

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Alors là... Je pense que ça tient surtout à savoir si l'enfant est capable de rester assis toute la durée du dessin animé...Sinon je ne sais pas trop, peut être trop jeune pour tout apprécier mais je ne peux rien affirmer je ne m'y connais pas trop en enfants :D.

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Tout à fait capable de rester 1h30 devant un film :p C'était surtout pour voir s'il y avait des scènes ou des mots pouvant choquer pour son âge.Par exemple Les Mondes de Ralph est très bien, sauf au tout début du film pendant la réunion des "méchants anonymes" (au moment où y'en a un qui arrache le cœur du zombie). Perso j'ai trouvé ça absurde même pour des gamins de 6 ans... Heureusement j'avais vu l'animé avant de le montrer à mon fils, comme ça j'ai pu lui épargner ce passage inutile et limite gore.

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Je n'ai pas vu les Mondes de Ralph alors je ne peux pas vraiment comparer, mais je ne pense pas qu'il y ai vraiment de scènes choquantes...Perso je me disais qu'il plairait bien à ma nièce qui aura 5 ans en août, mais elle a été élevée au Petit Dinosaure et la Vallée des Merveilles (le premier, le meilleur de la série, merveilleux film, enfin avant qu'ils ne refassent le doublage bien sûr pfff quelle idée) où il y a des moments où les petits peuvent avoir un peu peur pendant que les héros se font pourchasser par le "Dents Tranchantes".Personne d'autre n'est allé le voir pour mieux conseiller Yksin ???