En ce qui concerne TaBA, le troisième volet, on peut tout de même pressentir que le destin promis aux
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Chérubins et à Mini-Sandokan va transpercer de nombreuses poitrines...
. D'ailleurs, de façon générale, la fin de l'histoire annonce
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de longs passages plutôt éprouvants pour les spectateurs qui ne raffolent pas des batailles comme c'est mon cas, même si les flash-backs, sensationnels dans UJ, en donnent un avant-goût visuellement mémorable. Peut-on vraiment se languir d'assister à la bataille des 5 armées ?
En fait, s'il y a fidélité au livre,
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qui est sobre et même pudique sur ces aspects,
TaBA devrait être
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transpercé de deuils et de tragédie, puis de douloureuse mélancolie tout le long du retour de Bilbo en Comté, partout où il repassera par les lieux fréquentés à l'aller par les nains.
. En un mot, pas sûr que les spectateurs accoutumés aux
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happy ends pur hollywood quittent la salle avec des hourras joyeux en bandoulière. Je vois plutôt des béquilles
, ce qui ne veut pas dire que le film ne sera pas célébré comme un chef d'oeuvre à cause de ça, justement.Bref, pour compenser ces rivières de
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larmes, le refleurissement de Dol Guldur par Galadriel et l'exil de Sauron
seront tout particulièrement bienvenus de mon point de vue. Et j'aimerai aussi, si c'est prévu, voir Bilbo,
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débarrassé de l'Anneau, parcourir Dale, Lacville et Erebor reconstruites, comme il avait dit en rêver dans le SdA.