Là, j'ai ri, beaucoup. Les fans de manga apprécieront au vu de la réputation de l'éditeur dans le milieu.Nous avons aussi la chance d’appartenir à un groupe solide et connu qui a déjà fait ses preuves dans le domaine de l’édition en France et à travers le monde, ce qui rassurant quant à la pérennité des collections.
Il n'est jamais trop tard pour s'en rendre compte.La promotion est essentielle si nous voulons que nos ouvrages aient la visibilité nécessaire pour que le public les connaissent et, pourquoi pas, les lisent !
Mouahaha. Là aussi, ça fait peur.Honnêtement, il y a des choses intéressantes dans le catalogue, mais si ça part comme ça, ça va se planter aussi rapidement que la première fois. Pour moi, Panini a récupéré le label histoire de combler un peu le trou laisser par le départ de DC chez Dargaud, tout comme Eclipse s'était un peu monté pour combler le manque de la perte de la licence Warhammer. Et à 70 titres à l'année, c'est clair que le catalogue ne sera pas lisible, les libraires déjà envahis de "vraies" nouveautés risquent fort de ne pas faire beaucoup de place pour des relances de bouquins déjà passés une première fois il y a deux ans.Mais notre objectif majeur est d’installer une véritable relation de confiance avec nos lecteurs. Un peu comme l’ont brillamment réussi les éditions Soleil en BD.
(sans animosité aucune hein 
)Perso j'avais souvent trouvé mon bonheur dans leur catalogue, ils ont l'air d'avoir pensé leur stratégie, à voir. Effectivement le nombre de titres semble important (je ne parle même pas d'une énième collection bit-lit), mais s'appuyer sur la structure de Panini peut aider en terme de visibilité, en particulier sur les gros point de vente.Bah disons qu'on aurait pu remplacer Soleil par Bragelonne et BD par Imaginaire et que ça aurait donné exactement le même effet (sur moi en tout cas). Sauf que ça t'aurait peut-être moins choqué ?Herbefol a écrit :Mouahaha. Là aussi, ça fait peur.Mais notre objectif majeur est d’installer une véritable relation de confiance avec nos lecteurs. Un peu comme l’ont brillamment réussi les éditions Soleil en BD.
Rien que cette phrase, ça m'a fait abandonner la lecture de la suite de son édito. Alors ou nous mettons dans la case fantasy des livres que lui met ailleurs ou ce monsieur ne lit que de la sf.Et sinon, si on laissait sa chance à l'initiative ? Non ? On attends de voir et après éventuellement on critique et on analyse. Je pense aussi que c'est un poil suicidaire comme stratégie hein, je ne fais pas dans l'angélisme béat, mais j'attends de voir. Tirez à vue sur tout ce qui bouge je ne trouve pas ça super constructif.notamment du côté de la SF, domaine pour l’essentiel déserté depuis des annéespar les structures plus importantes au profit d’une fantasy longtemps fréquentable d’unpoint de vue commercial mais d’une vacuité littéraire affligeante dans son ensemble,
A qui la faute. D'un coté un lectorat de SF populaire qui veut lire du space opera classique et de l'autre des éditeurs qui proposent de la hard science ou de la SF post moderne. Ce n'est pas parce que les Américains le font qu'il faut les imiter.notamment du côté de la SF, domaine pour l’essentiel déserté depuis des années
Ce qu'a fait la SF pendant longtemps en France. Parce que Fleuve Noir, c'était pas franchement la littérature de haut niveau.Sinon, Bifrost fait comme d'habitude : ils pissent dans la soupe tout en se plaignant qu'elle a mauvais goût.Littlefinger a écrit :Mouiais, et aussi pour une règle simple qu'un éditeur se plaît à rappeler : "Donnez de la merde au public et il en redemande".
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