Intriguant, c'est le mot. Il n'y a pas beaucoup d'indications sur le monde dans lequel se déroule l'histoire, et du coup, plein d'interprétations possibles.Je serais curieuse de lire son roman, s'il sort.Fabien Lyraud a écrit :Memory of her de Greg Linklater : Ca faisait longtemps que BCS ne nous avait pas régalé d'une petite merveille New Weird. [...] Assez intrigant et superbe.
23
Il y a deux ans Michael Anthony Ashley s'était déjà fait remarquer avec sa novella To kiss the granite choir ( imaginez une histoire de Scott Lynch revisité par Jack Vance poour vous faire une idée de l'histoire). Après deux ans de silence il récidive et l'attente valait le coup. A nouveau avec une novella. Des samouraï, des guêpes démons, de la sorcellerie, tels sont les ingrédients de ce récit qui nous plonge dans un monde secondaire d'inspiration nippone. Ashley va sans doute devenir un des grands de la fantasy. Ca ne fait aucun doute.http://www.beneath-ceaseless-skies.com/story.php?s=170http://www.beneath-ceaseless-skies.com/story.php?s=171
24
Encore une nouvelle remarquable dans ce numéro.The god thieves par Derek Kunsken est une nouvelle de fantasy uchronique nous introduisant dans une renaissance italienne où la magie existe, où les dieux antiques ont été capturé et transformé en arme ou leurs âmes a servi à élaborer des dispositifs magiques. Nous suivons un héros agent secret dans une aventure digne de James Bond. Nous avons même droit aux gadgets mais ici ils sont de natures magiques et ont une nature très particulière. C'est une histoire qui va bien sûr à 100 à l'heure mais avec une réflexion sur l'âme, les sacrifices nécessaires... Bref la lecture est hautement recommandées :http://www.beneath-ceaseless-skies.com/story.php?s=182
26
The death of Roach : Difficile dans le récit de cet affrontement entre un peuple pauvre et un riche empire de ne pas voir une transposition du conflit Israelo Palestinien dans un monde de fantasy. L'héroïne finira par découvrir que le terrorisme n'est pas la solution et que parfois il faut faire passer la compassion avant la justice.Ce texte est ambitieux, ose vraiment quelque chose mais finalement n'est jamais lourd comme on pourrait le craindre vu que l'on touche un thème politique. A lire.
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Le temps des bilans est arrivé. Donc je vous propose la liste des meilleurs textes 2011 du webzine. Avis 100% subjectif. Richard Parks : The ghost of Shinoda ForestCat Rambo : Love ResurectedGreg Linklater : The memory of herBradley Beaulieu : Of the spices of SanandiraMichael John Grist : Bone DiamondGarth Upshaw : ButterflyRichard Parks : The tiger turnRose Lemberg : Held cold in syllabes of lightMichael Anthony Ashley : Hence the king from KagehanaDerek Kunsken : The God thievesSpencer Ellsworth : The death of Roach
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Merci Fabien pour ce best of :)Quand tu as créé ce sujet, ton enthousiasme conjugué à tes critiques ainsi que celles de Luigi Brosse m'ont fait sauter le pas (enfin plutôt sauter le "clic" 
) et depuis Noël (où j'ai eu mon reader qui va bien m'aider pour la VO) j'ai téléchargé une trentaine de n°.J'ai tout juste commencé The Sacrifice Pit et je ne vais pas m'arrêter là 
Ca me prendra le temps que ça prendra mais je les lirais et ça aura aussi l'avantage d'améliorer mon anglais en douceur pour me lancer plus tard dans un roman en VO sans trop souffrir. Et qui sais (?) peut être que ce sera le livre d'un auteur dont j'aurais suivit le parcours grace à Beneath Ceaseless Skies :)Sinon, pour compléter le best of de Fabien on peut aller ici où il y aura la sélection perso du webzine himself
) et depuis Noël (où j'ai eu mon reader qui va bien m'aider pour la VO) j'ai téléchargé une trentaine de n°.J'ai tout juste commencé The Sacrifice Pit et je ne vais pas m'arrêter là Ca me prendra le temps que ça prendra mais je les lirais et ça aura aussi l'avantage d'améliorer mon anglais en douceur pour me lancer plus tard dans un roman en VO sans trop souffrir. Et qui sais (?) peut être que ce sera le livre d'un auteur dont j'aurais suivit le parcours grace à Beneath Ceaseless Skies :)Sinon, pour compléter le best of de Fabien on peut aller ici où il y aura la sélection perso du webzine himself30
Pour ceux qui s'intéresse comme Albéric aux cover arts, il y a une section entière du site qui leur est consacrée avec une présentation de l'illustrateur et un lien sur son siteAlbéric a écrit :Merci bien pour le best off, mais et pour les cover arts ?
Cover ArtQuand on voit le travail de certains on aimerait que d'autres en prennent de la graine:)31
N° 87 Ce dernier vaut surtout pour The last Gorgon de Rajan Khana qui met en scène une chasseuse de monstre dans une Grèce antique steampunk. Et où la morale est que le monstre n'est pas forcément celui que l'on croit.Quant à the castle that Jack built de Emily Gilman ( qui je crois bien est la femme de Felix Gilman), j'aurais bien aimé aimer ce texte, mais malheureusement je n'ai eu que peu d'affinité avec le héros qui a un comportement assez particulier. Mais malgré tout c'est un assez bon texte qui parlera surtout à ceux qui aime les ours.
32
Le dernier numéro vaut pour la nouvelle de Justin Howe : shadows over Hexmouth Street.Une nouvelle new weird dans un monde quasi victorien (mais où la technologie repose sur l'alchimie) qui n'est pas sans évoquer la Nouvelle Crobuzon de China Miéville. Bref un auteur que l'on aurait envie de suivre s'il continue dans cette voie.
33
Le mois de mars a été le mois de la science fantasy. J'en parle assez rapidement vu que ce type de fantasy n'intéresse, malheureusement que peu d'entre vous. ( d'ailleurs j'attends le podcast sur le mélange fantasy / SF avec impatience si c'est toujours d'actualité) En fait il s'agit de SF avec des morceaux de fantasy dedans. Personnellement moi j'adore le mélange quelque soi le dosage. Un mois quatre nouvelles dues aux plumes de Chris Willrich, Ann Ivy, Megan Arkenberg ( plus convaincante que pour ses nouvelles de fantasy traditionnelles) et la spécialiste du genre Yoon Ha Lee. Quatre nouvelles vraiment excellentes.
34
Numéro 92 :Je dois avouer que le texte de Tom Croshill,Bearslayer and the Black Knight m'a laissé froid. L'idée de faire évoluer deux superhéros dans un monde médiéval, chacun étant le protecteur d'un peuple était une fausse bonne idée. L'autre texte, Sinking among lilies de Cory Skerry est un texte de sword and sorcery classique mettant en scène un chasseur de monstres mais qui s'avère au final bien moins manichéen que ce qu'on était en droit de s'attendre. Les monstres ne sont pas toujours ceux qu'on croit.Numéro 93 The Ivy Smothed Palissade de Mike Allen est un texte de dark fantasy où une jeune orpheline après avoir fait le mur se retrouve confronté aux forces des ténébres et va apprendre à les connaître. Un texte avec des réminiscence de Tanith Lee.Pridecraft de Christian K Martinez use d'un point de départ inverse de celui de la plupart des auteurs de fantasy. Ici les humains sont de misérables esclaves de deux autres espèces qui dominent le monde. Ils sont réduits au travail dans les usines tandis que les deux autres espèces se consacrent exclusivement aux tâches intellectuel. Quand un de ces humains arrivés à une position sociale enviable pour ceux de son espèce - ingénieur- ne peut plus supporter sa condition d'esclave, la révolte est proche.
35
Dans les numéros 97 et 98 nous avons un texte en deux parties de Michael J DeLuca. Nous retrouvons avec plaisir son univers mêlant western et mythologie grecque. Cette fois ci il revisite une situation emblématique du western : l'attaque du train. Mais ici ce sont des hors la loi centaures qui sont les protagonistes de la fameuse attaque. Avec en plus des personnages bien travaillés et une critique de la colonisation. Je précise que le niveau d'anglais de l'auteur est très abordable ( coucou Albéric, c'est pour toi que je dis ça )
)36
Gros plan sur le numéro 102 :The angel Azrael delivers small mercies de Peter Darbyshire : du weird western avec des anges qui règlent leur compte dans un far west post apocalyptique. Plutôt pas malBeyond shrinking world de Nathaniel Katz : Dans un monde grignoté par le Dehors, un homme est envoyé au delà de cette zone de néant pour implorer l'intervention de la Cartographe, une demi déesse qui a le pouvoir de façonner le monde en traçant des cartes. Un texte très original avec un excellent worldbuilding.
37
Comme l'an dernier le best of 2012 de la webrevue :Les meilleurs textes :- The last gorgon par Rajan Khanna- Shadow under Hexmouth Street de Justin Howe- The mote dancer and the firelife de Chris Willrich-Scry de Anne Ivy- Juggernaut de Megan Arkenberg- The book of locked doors de Yoon Ha Lee- Pridecraft de Christian K Martinez- Death and the Thunderbird de Michael J DeLuca- Beyond the Shrinking world par Nathaniel Katz- The ascent of unreason par Marie Brennan- Three Little foxes par Richard Parks- Luck Fish par Peta Freestone- Scorn of the pregrinator par John E.O Stevens- Storms in Arisbat de Thérèse Arkenberg.Des runner ups. Des textes qui m'ont un peu moins plu mais qui sont excellents tout de même.- A place to stand par Grace Seybold- The Ivy-smothered Pallisade par Mike Allen- Shade of Amber par Mary Croke- The magic of dark and hollow places de Adam Callaway- Ratcatcher de Garth Upshaw- The Angel Azrael delivers some mercies de Peter Derbyshire- Casualities de Alec Austin
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Je continue toujours à suivre le zine mais j'avais lâchement laissé tomber ce sujet. En plus en ce moment je relis d'anciens textes pour me rafraichir la mémoire.
Dans le dernier numéro on lira surtout The Forge d'Andrew Dykstal.
Le roi Alec a été assassiné. Son assassin est arrêté mais au moment de l'exécuter sa tête refuse de se séparer de son corps. Les autres tentatives d'exécution son tout aussi calamiteuse et le condamné est toujours vivant. Bref il y a de la magie dans l'air. Un garde royal est persuadé que l'assassin n'a pas agi seul et a été commandité. Aidé par une magicienne il enquête sur cette ténébreuse affaire.
Une nouvelle très classique mais qui tient bien en haleine.
Par contre on passera son chemin sur le texte de R.Z Held. Une histoire de sirènes que je confesse n'avoir pas terminé tellement je la trouvais ennuyeuse.
Dans le numéro précédent
The gods come to Sredna de T.S Adams
Voyage pour un motif religieux, avec une controverse en fond. Où le héros est un sympathique jeune homme qui doit convoyer un animal sacré : un tricératops. Un texte sympathique avec de l'humour.
Two sides of home de Timothy Muddie
Joyce revient dans sa ville natale pour aider sa famille à rechercher son cousin Ozzie, jeune homme qui a longtemps été un souffre douleur. Elle va donc parcourir la ville et s'adresser aux deux factions religieuses qui se partagent le terrain. Evidemment les choses sont assez tendues entre les deux groupes. Et les dieux sont peut être plus vivant qu'on le croit. On est dans l'arcanepunk avec un monde fin 19éme / début 20éme. Ce qui rend le récit original. L'on évolue dans une ville ouvrière, on traîne dans des bars, on voyage en train. Une nouvelle assez intéressante sur le rôle des groupes religieux dans la cité.
Dans le dernier numéro on lira surtout The Forge d'Andrew Dykstal.
Le roi Alec a été assassiné. Son assassin est arrêté mais au moment de l'exécuter sa tête refuse de se séparer de son corps. Les autres tentatives d'exécution son tout aussi calamiteuse et le condamné est toujours vivant. Bref il y a de la magie dans l'air. Un garde royal est persuadé que l'assassin n'a pas agi seul et a été commandité. Aidé par une magicienne il enquête sur cette ténébreuse affaire.
Une nouvelle très classique mais qui tient bien en haleine.
Par contre on passera son chemin sur le texte de R.Z Held. Une histoire de sirènes que je confesse n'avoir pas terminé tellement je la trouvais ennuyeuse.
Dans le numéro précédent
The gods come to Sredna de T.S Adams
Voyage pour un motif religieux, avec une controverse en fond. Où le héros est un sympathique jeune homme qui doit convoyer un animal sacré : un tricératops. Un texte sympathique avec de l'humour.
Two sides of home de Timothy Muddie
Joyce revient dans sa ville natale pour aider sa famille à rechercher son cousin Ozzie, jeune homme qui a longtemps été un souffre douleur. Elle va donc parcourir la ville et s'adresser aux deux factions religieuses qui se partagent le terrain. Evidemment les choses sont assez tendues entre les deux groupes. Et les dieux sont peut être plus vivant qu'on le croit. On est dans l'arcanepunk avec un monde fin 19éme / début 20éme. Ce qui rend le récit original. L'on évolue dans une ville ouvrière, on traîne dans des bars, on voyage en train. Une nouvelle assez intéressante sur le rôle des groupes religieux dans la cité.
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Une rétrospective 2018 partie 1. Les textes qui m'ont le plus marqué dans le webzine cette année là.
The wyvern rider and Those of the land de Jeremy Tegrotenhuis
Ceux du pays ont quatre âmes. Mais le Capitaine n’en a que trois. Il pense que son âme manquante est retenue sur le Machaenarium, un navire mythique. Malgré cela il commande son équipage d’humaines et d’avins ( des hommes oiseaux)
Lorsqu’une chevaucheuse de wyvern lui propose de lui donner les coordonnées du Machaenarium en échange d’un service évidemment il saute sur l’occasion. Un récit vraiment épique, avec des combats, du mystère, des personnages travaillés. On est clairement dans la flintlock fantasy mais une flintlock fantasy traitée comme de la sword and sorcery.
Drawing the borders de Tamara Vardomskaya
Une jeune magicienne est recruté par un de ses pairs à cause de son don pour le dessin. Le pays est entourés de frontières magiques infranchissables depuis d’un autre état a lancé une malédiction. Et l’héroïne grâce à son don lié à la magie est peut être à même de faire tomber les frontières. Mais la réalité est plus complexe.
Shadowdrop par Chris Willrich
Le point de vue de cette histoire est original puisque le héros est un chat. Une chat qui a son intelligence et manipule un peu de magie mais qui reste malgré tout un chat. Ce qui pose problème quand l’animal en question découvre une conspiration. Avec ses camarades félins il va tout faire pour la déjouer et attirer l’attention des humains dessus. Dans le même univers de sword and sorcery haut en couleur que sa série des Bones and Gaunt. Texte très agréable à lire et très original.
Shaterring the hand de Marc Criley
Kayta et Tsimmit sont des insectoïdes, des soldats pris dans un conflit absurde. Ils ont sacrifié l’une sa main et l’autre son tarse. Mais ils doivent toujours combattre. Et ils se rebellent contre ce système. Mais il y a toujours un prix à payer.
Cold ink de Dean Wells
On retrouve l’univers steampunk de Dean Wells. Hester, imprimeuse découvre que son amante occasionnelle Verity est recherchée par un homme étrange. Au pub de madame Hume, aidée de quelques habitués elle arrive à faire fuir l’homme mystérieux. Quels sont ses tatouages étranges sur le corps de Verity ? Et pourquoi certains de ceux qui se sont interposés cette nuit là sont retrouvés assassinés ? Hester va mener son enquête, une dangereuse enquête qui déboucher sur des vérités qu’elle aurait préféré ne pas trouver. Le texte vaut surtout par sa galerie de personnages assez haut en couleur et son sous texte politique d’actualité. On retrouve avec plaisir l’univers de Dean Wells. Un univers au futur antérieur. Une Angleterre victorienne qui n’a jamais cessé et qui a son empire colonial aussi dans l’espace.
Periling Hand de Justin Howe
Morholt après un accident se voir greffer une main en bois. Non seulement c’est un récolteur et un syndicaliste mais aussi un des meilleurs joueurs de siège, un jeu de carte. Il apprend fortuitement que les incasts d’une ville voisine ont été tué ( des humains vivants en symbiose avec un écheveau végétal). Mais il est peut être à cause de certaines de ses aptitudes le seul à sauver ceux de sa ville.
Un texte inclassable se déroulant dans la cadre d’une ville arboricole, ce qui donne lieu à certains moments originaux. Un texte qui montre que l’arcanepunk est un des courants qui donne sans doute les textes les plus originaux.
A circle of steel and bone de RK Duncan
Meinrad, commandeur des chevaliers teutonique quelques part en Europe orientale voit des meurtres inimaginables être commis dans sa commanderie. Son enquête le conduit vers un être surnaturel.
Moyen âge et horreur cosmique au programme. L’adversaire des chevalier pourrait sans problème être une créature du bestiaire lovecraftien.
Martyr’s art de JP Sullivan
Chalcedony est une Martyre. Elle possède le pouvoir de soulager ceux qu’elle protège de leur douleur. Elle ne parvient pas à protéger son frère lorsqu’il est battu en duel par Niko, le capitaine du port pour un litige à propos d’un navire. La maison auquel appartient le navire, pour laquelle travaillait son frère, cherche à tout prix à le retrouver. Mais les événements prennent un tour tragique qui oblige la Martyr à s’y intéresser de plus près.
Un bon texte. L’ambiance m’a rappelé jaworski.
The bodice, the hem, the woman, death de Karen Osborne
À Amaurel les âmes sont enchâssées dans des joyaux et servent de source d’énergie. La ville et en guerre. Et Lia et sa mère sont malmenées par les gardes de la ville qui dérobent les âmes qu’elles conservaient précieusement. Lia n’a qu’une idée en tête partir. Et convaincre sa mère réticente que c’est la seul solution. Mais la fuite risque de s’avérer plus compliquée quand les fantômes s’invitent à la fête. Et ils ne sont pas contents.
Un texte qui mêle arcanepunk et post apocalyptique. Avec une pointe de réflexion féministe.
A legacy of shadow de Christopher M Cevasco
Rallos est un métis mi homme mi woodwere. Des villageois lui proposer de tuer un autre demi sang issu lui d’une autre espèce, les Defilers. Rallos accepte. Mais il découvre quelque chose de bien différent de ce qu’on lui a décrit. Il devra surmonter ses préjugés.
Un texte de sword and sorcery sur fond de racisme et de xénophobie où les choses ne sont pas forcément qu’elles paraissent. Et où le monstre finalement se cache dans le cerveau des hommes trop faibles pour accepter la différence.
Old no eyes par Christopher Mahon
Yute a rendez vous avec un ancien condisciple de l’école de magie, Tenza, qui a besoin de son aide sans sa quête de l’immortalité. Mais ce dernier le harcelait à l’époque et Yute compte bien prendre sa revanche. Et lorsque ce Tenza lui sert sa vengeance sur un plateau il n’hésite pas.
Un texte plein d’humour - noir - sur le thème de quel est pris qui croyait prendre.
A story of woe de P.Djeli Clarck
Rana appartient à l’ordre des Diseurs de Vérité qui vénèrent la déesse du chagrin. Ces prêtresses sont capable d’agir sur le woe, des esprits qui vivent en symbiose avec chaque humain, que ce soit pour guérir ou pour tuer. Rana est envoyé en mission à Aruth pour rencontrer quelqu’un. Mais sa présence ne passe pas inaperçue et attire l’attention de la dirigeante de la cité.
Un beau texte avec un worldbuilding solide.
The weaver and the snake de Blaine Vitalo
La fascination d’une Tisserande qui transforme les animaux en matière première pour un serpent géant qui ravage le pays.
The gostpotion games de Christian K Martinez
Une sorcière participe à un concours de potion peu ordinaire puisque les ingrédients sont des fantômes.
Examination cloth de Jonathan Edelstein
Un étudiant doit passer un examen. Répondre à des questions écrites sur une pièce de tissus. Mais les questions sont aléatoires et il n’y a pas deux sujets pareils, la magie des épouses egun y veille. Mais quand le candidat a certaines notions de tissage qui font qu’il comprend un peu trop les coulisses de l’examen est ce de la triche ?
Un texte qui vaut surtout par son contexte africain.
The wyvern rider and Those of the land de Jeremy Tegrotenhuis
Ceux du pays ont quatre âmes. Mais le Capitaine n’en a que trois. Il pense que son âme manquante est retenue sur le Machaenarium, un navire mythique. Malgré cela il commande son équipage d’humaines et d’avins ( des hommes oiseaux)
Lorsqu’une chevaucheuse de wyvern lui propose de lui donner les coordonnées du Machaenarium en échange d’un service évidemment il saute sur l’occasion. Un récit vraiment épique, avec des combats, du mystère, des personnages travaillés. On est clairement dans la flintlock fantasy mais une flintlock fantasy traitée comme de la sword and sorcery.
Drawing the borders de Tamara Vardomskaya
Une jeune magicienne est recruté par un de ses pairs à cause de son don pour le dessin. Le pays est entourés de frontières magiques infranchissables depuis d’un autre état a lancé une malédiction. Et l’héroïne grâce à son don lié à la magie est peut être à même de faire tomber les frontières. Mais la réalité est plus complexe.
Shadowdrop par Chris Willrich
Le point de vue de cette histoire est original puisque le héros est un chat. Une chat qui a son intelligence et manipule un peu de magie mais qui reste malgré tout un chat. Ce qui pose problème quand l’animal en question découvre une conspiration. Avec ses camarades félins il va tout faire pour la déjouer et attirer l’attention des humains dessus. Dans le même univers de sword and sorcery haut en couleur que sa série des Bones and Gaunt. Texte très agréable à lire et très original.
Shaterring the hand de Marc Criley
Kayta et Tsimmit sont des insectoïdes, des soldats pris dans un conflit absurde. Ils ont sacrifié l’une sa main et l’autre son tarse. Mais ils doivent toujours combattre. Et ils se rebellent contre ce système. Mais il y a toujours un prix à payer.
Cold ink de Dean Wells
On retrouve l’univers steampunk de Dean Wells. Hester, imprimeuse découvre que son amante occasionnelle Verity est recherchée par un homme étrange. Au pub de madame Hume, aidée de quelques habitués elle arrive à faire fuir l’homme mystérieux. Quels sont ses tatouages étranges sur le corps de Verity ? Et pourquoi certains de ceux qui se sont interposés cette nuit là sont retrouvés assassinés ? Hester va mener son enquête, une dangereuse enquête qui déboucher sur des vérités qu’elle aurait préféré ne pas trouver. Le texte vaut surtout par sa galerie de personnages assez haut en couleur et son sous texte politique d’actualité. On retrouve avec plaisir l’univers de Dean Wells. Un univers au futur antérieur. Une Angleterre victorienne qui n’a jamais cessé et qui a son empire colonial aussi dans l’espace.
Periling Hand de Justin Howe
Morholt après un accident se voir greffer une main en bois. Non seulement c’est un récolteur et un syndicaliste mais aussi un des meilleurs joueurs de siège, un jeu de carte. Il apprend fortuitement que les incasts d’une ville voisine ont été tué ( des humains vivants en symbiose avec un écheveau végétal). Mais il est peut être à cause de certaines de ses aptitudes le seul à sauver ceux de sa ville.
Un texte inclassable se déroulant dans la cadre d’une ville arboricole, ce qui donne lieu à certains moments originaux. Un texte qui montre que l’arcanepunk est un des courants qui donne sans doute les textes les plus originaux.
A circle of steel and bone de RK Duncan
Meinrad, commandeur des chevaliers teutonique quelques part en Europe orientale voit des meurtres inimaginables être commis dans sa commanderie. Son enquête le conduit vers un être surnaturel.
Moyen âge et horreur cosmique au programme. L’adversaire des chevalier pourrait sans problème être une créature du bestiaire lovecraftien.
Martyr’s art de JP Sullivan
Chalcedony est une Martyre. Elle possède le pouvoir de soulager ceux qu’elle protège de leur douleur. Elle ne parvient pas à protéger son frère lorsqu’il est battu en duel par Niko, le capitaine du port pour un litige à propos d’un navire. La maison auquel appartient le navire, pour laquelle travaillait son frère, cherche à tout prix à le retrouver. Mais les événements prennent un tour tragique qui oblige la Martyr à s’y intéresser de plus près.
Un bon texte. L’ambiance m’a rappelé jaworski.
The bodice, the hem, the woman, death de Karen Osborne
À Amaurel les âmes sont enchâssées dans des joyaux et servent de source d’énergie. La ville et en guerre. Et Lia et sa mère sont malmenées par les gardes de la ville qui dérobent les âmes qu’elles conservaient précieusement. Lia n’a qu’une idée en tête partir. Et convaincre sa mère réticente que c’est la seul solution. Mais la fuite risque de s’avérer plus compliquée quand les fantômes s’invitent à la fête. Et ils ne sont pas contents.
Un texte qui mêle arcanepunk et post apocalyptique. Avec une pointe de réflexion féministe.
A legacy of shadow de Christopher M Cevasco
Rallos est un métis mi homme mi woodwere. Des villageois lui proposer de tuer un autre demi sang issu lui d’une autre espèce, les Defilers. Rallos accepte. Mais il découvre quelque chose de bien différent de ce qu’on lui a décrit. Il devra surmonter ses préjugés.
Un texte de sword and sorcery sur fond de racisme et de xénophobie où les choses ne sont pas forcément qu’elles paraissent. Et où le monstre finalement se cache dans le cerveau des hommes trop faibles pour accepter la différence.
Old no eyes par Christopher Mahon
Yute a rendez vous avec un ancien condisciple de l’école de magie, Tenza, qui a besoin de son aide sans sa quête de l’immortalité. Mais ce dernier le harcelait à l’époque et Yute compte bien prendre sa revanche. Et lorsque ce Tenza lui sert sa vengeance sur un plateau il n’hésite pas.
Un texte plein d’humour - noir - sur le thème de quel est pris qui croyait prendre.
A story of woe de P.Djeli Clarck
Rana appartient à l’ordre des Diseurs de Vérité qui vénèrent la déesse du chagrin. Ces prêtresses sont capable d’agir sur le woe, des esprits qui vivent en symbiose avec chaque humain, que ce soit pour guérir ou pour tuer. Rana est envoyé en mission à Aruth pour rencontrer quelqu’un. Mais sa présence ne passe pas inaperçue et attire l’attention de la dirigeante de la cité.
Un beau texte avec un worldbuilding solide.
The weaver and the snake de Blaine Vitalo
La fascination d’une Tisserande qui transforme les animaux en matière première pour un serpent géant qui ravage le pays.
The gostpotion games de Christian K Martinez
Une sorcière participe à un concours de potion peu ordinaire puisque les ingrédients sont des fantômes.
Examination cloth de Jonathan Edelstein
Un étudiant doit passer un examen. Répondre à des questions écrites sur une pièce de tissus. Mais les questions sont aléatoires et il n’y a pas deux sujets pareils, la magie des épouses egun y veille. Mais quand le candidat a certaines notions de tissage qui font qu’il comprend un peu trop les coulisses de l’examen est ce de la triche ?
Un texte qui vaut surtout par son contexte africain.
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Les nouvelles marquantes de 2018 pour moi, deuxième partie.
Silence in blue glass de Margaret Ronald
Arthur Swift est invité par son frère à une réception qu’il organise chez lui. Il doit y avoir une transaction commerciale concernant une de ses associées. Arthur est stupéfait de se rendre compte que l’autre partie est représenté par Miéni, la Kobbold avec laquelle il a mené plusieurs enquêtes auparavant. Mais la femme meurt et Arthur et Miéni se voient obligés d’enquêter. Ce meurtre est il lié à la transaction concernant les mines de cobalt.
Pas la meilleure aventures des deux personnages à mon avis.
Weft de Rahul Kanakia
Un chasseur de prime est chargé de retrouver la fille d’un cuisinier qui a manifesté des pouvoirs magiques. Mais il manifeste des états d’âme et ne souhaite pas la tuer. Il doit avant tout se débarasser de ses coéquipiers.
Fireskin de Joanne Rixon
Quand une guerrière se réveille avec la peau perpetuellment en feu, elle se lance dans une quête pour régler le problème une fois pour toute.
The cry of desire in a shrouded land de Emily McIntyre
C’est la saison des araignées à la Cité des Anges. Le destin d’une esclave rencontre celui d’un vendeur de thé miraculeux. Et peut être que l’esclave a donné un coup de pouce au destin pour avoir une occasion de changer de vie. Le texte vaut surtout pour son univers de type Mille et Une Nuit.
Benefactor of silence de Nin Harris
L’héroïne est une réfugiée et une musicienne. Elle a fui son pays dont la population a été conquise et exterminée par une autre nation et vit maintenant dans une cité état où elle essaie de s’intégrer. Elle rencontre une autre musicienne mais réfugiée de la nation ennemie. Comment vont elles pouvoir oublier le passé. ?
Suite for accompanied cello de Tamara Vardomskaia
Rielle est musicienne et compositrice. Son ancien maître lui demande d’accompagner sa fille au piano lors du concours de violoncelle auquel elle doit participer. Mais tout se complique quand elle découvre que la fille en question n’est pas tout à fait ce qu’elle prétend être.
An aria for the Bloodlords de Hannah Strom-Martin
Les vampires (Bloodlords) gouvernent le monde depuis qu’ils ont vaincu les démons. Un compositeur monte un opera. Sa chanteuse est peut être une vampire. Et elle a des objectifs politiques. la magie, les démons, la révolution sont les sujets autour du quel tourne ce texte.
Silence in blue glass de Margaret Ronald
Arthur Swift est invité par son frère à une réception qu’il organise chez lui. Il doit y avoir une transaction commerciale concernant une de ses associées. Arthur est stupéfait de se rendre compte que l’autre partie est représenté par Miéni, la Kobbold avec laquelle il a mené plusieurs enquêtes auparavant. Mais la femme meurt et Arthur et Miéni se voient obligés d’enquêter. Ce meurtre est il lié à la transaction concernant les mines de cobalt.
Pas la meilleure aventures des deux personnages à mon avis.
Weft de Rahul Kanakia
Un chasseur de prime est chargé de retrouver la fille d’un cuisinier qui a manifesté des pouvoirs magiques. Mais il manifeste des états d’âme et ne souhaite pas la tuer. Il doit avant tout se débarasser de ses coéquipiers.
Fireskin de Joanne Rixon
Quand une guerrière se réveille avec la peau perpetuellment en feu, elle se lance dans une quête pour régler le problème une fois pour toute.
The cry of desire in a shrouded land de Emily McIntyre
C’est la saison des araignées à la Cité des Anges. Le destin d’une esclave rencontre celui d’un vendeur de thé miraculeux. Et peut être que l’esclave a donné un coup de pouce au destin pour avoir une occasion de changer de vie. Le texte vaut surtout pour son univers de type Mille et Une Nuit.
Benefactor of silence de Nin Harris
L’héroïne est une réfugiée et une musicienne. Elle a fui son pays dont la population a été conquise et exterminée par une autre nation et vit maintenant dans une cité état où elle essaie de s’intégrer. Elle rencontre une autre musicienne mais réfugiée de la nation ennemie. Comment vont elles pouvoir oublier le passé. ?
Suite for accompanied cello de Tamara Vardomskaia
Rielle est musicienne et compositrice. Son ancien maître lui demande d’accompagner sa fille au piano lors du concours de violoncelle auquel elle doit participer. Mais tout se complique quand elle découvre que la fille en question n’est pas tout à fait ce qu’elle prétend être.
An aria for the Bloodlords de Hannah Strom-Martin
Les vampires (Bloodlords) gouvernent le monde depuis qu’ils ont vaincu les démons. Un compositeur monte un opera. Sa chanteuse est peut être une vampire. Et elle a des objectifs politiques. la magie, les démons, la révolution sont les sujets autour du quel tourne ce texte.
