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Whatsss the problemssss ? Parseltonge does notssss spellssssss likessss englishssss(pfrtr, un seveux sur la langue), alors j'imagine que pour contrer son tic sifflant il exagère à l'envers :sifflote:

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Foradan a écrit :Je me demande si les limites du spoiler teaser ne sont pas atteintes.
Et dépassées même je dirais, autant diffuser carrément la fin du film...

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Par contre, ils y vont fort sur les retouches (par rapport à d'habitude, ce qui n'est pas peu dire). C'est bien d'avoir un poster rien que pour McGonagall, mais elle a l'air d'avoir subi un sacré lifting.

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J'aime bien celui d'Harry. Il dégage une certaine agressivité plutôt cohérente avec sa situation dans le film.Par contre pour les retouches, j'suis d'accord, ils abusent. La pov' Minerva :o

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C'est bizarre, j'ai l'impression qu'avant ils savaient faire de meilleurs montages photoshop. Tout se perd ma bonne dame. :pM'enfin j'ai quand même hâte de voir le film (en espérant qu'ils auront moins abusé sur le maquillage que là sur le lissage, en effet :p).

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Première a écrit :Trop chère, l'avant-première d'Harry Potter et les Reliques de la Mort - Partie 2 à Bercy ne plait pas à tout le monde...L'annonce d'une avant-première parisienne de la dernière partie d'Harry Potter au Palais omnisport de Bercy avait déjà fait couler beaucoup d'encre, en partie à cause de son prix : 25 euros la séance. Pourtant, les 8000 places ont été vite achetées par des fans de la saga et, le 12 juillet prochain, la salle sera pleine de spectateurs !Une situation qui déplait fortement à l'ARP, la société civile des auteurs, réalisateurs et producteurs. Au delà du tarif qu'ils jugent trop élevé, ils critiquent le fait que ces 8000 places vendues d'un coup seront autant de manque à gagner pour les salles de cinéma parisiennes, tout en mettant le doigt sur un fait rare : cette avant-première sera affranchie de la TSA, une taxe qui s'applique sur le prix des billets vendus dans les salles de cinéma en France. Elle monte à 10% du prix du billet sur l'ensemble des salles et des films visionnés et sert à remplir le compte de soutien généré par le Centre National de la Cinématographie. En bref, avec une telle avant-première exonérée de ces 10% de taxe, le cinéma français perd de l'approvisionnement qui financerait d'autres projets de films. L'ARP met donc les pouvoirs publics en garde contre ce type d'événements...
Ah oui, tout de même...