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je l'ai commandé, c'est, avec la première loi (que j'attends en poche), une trilogie qui avait éveillé ma curiosité.Je finis les Livres du Nord de la Compagnie noire et je l'attaque :)J'm'attends à un récit "Funky" :p

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Lecture achevée dans la soirée, une bien bonne lecture que nous offre G.Larke, rien de bien novateur (2 formes de magies en "guerre"...), des perso "clichés" (une femme à la vie dure pleine de rage...) mais intéressant à suivre et efficacement mis en valeur (même les zoiseaux :p), un rythme certain sans être soutenu et un monde qui pour un premier tome ne se dévoile pas trop...mais propose de bonnes choses.J'ai bien aimé les correspondances avec l'ethnologue ça donnait un coté Colonial Fantasy (mouais je sais comme si y avait pas assez d'appellation:x), mais surtout ça ouvre des brèches pour les trames futures, tout comme le traitement des religions/Magies pouvant nous offrir par la suite des surprises...Une trilogie qui s'annonce simple, sobre, efficace mais de qualité.Pas ma lecture de l'année mais très très loin des plus mauvaises :p (hein Lamentation)7.5/10 > j'attends la suite !Sais pas trop s'que j'vais enchainer là :(

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Je viens de terminer le premier tôle des Îles Glorieuses et contrairement à beaucoup ici, j'ai bien aimé. C'est exactement le type de fantasy que j'apprécie. On y faire la part belle à ethnologie et au dépaysement. On a pas l'impression de se trouver dans la xéme version d'un moyen âge anglais. Ici il y a un vrai travail d'ethnologie fiction. On est assez proche d'auteurs comme MZ Bradley ou Ann McCaffrey. C'est une forme de fantasy que l'on ne voyait plus trop ces dernières années dans les nouveaux auteurs. Il semblerait donc avec Glenda Larke que ce soit en train de revenir en Australie.( Je ne sais pas d'ailleurs si c'est un courant qui est train de se développer là bas. Il faudrait demander aux boulimiques de VO qui ont l'habitude de lire de la fantasy des antipodes. )Pas novateur, certes. Mais c'est le retour d'un type de fantasy que l'on avait perdu de vue depuis presque dix ans. En tout cas chez nous en France. Il est vrai que Pocket nous avait abreuvé largement à l'époque de Jacques Goimard et qu'ensuite son successeur est passé à autre chose.